100 signatures atteintes
Destinataire(s) : Entreprises Bertolami et Gaussin, Mairie de Crest, 3CPS, CCVD, Région Aura, département de la Drôme, Eurovia, Gama, MAIF, Biovallee...
Non à la navette autonome Beti à Crest & en Vallée de la Drôme, pour d'autres projets de société
Nous voulons l’abandon de toute expérimentation ou implantation de navettes autonomes de type Beti ou autres à Crest et en Vallée de la Drôme.
D’un point de vue écologique et social, aucun véhicule robotique « high tech » bardé de caméras, de capteurs et de logiciels complexes ne peut être une solution positive pour le présent ou l’avenir.
En effet, la fabrication et le fonctionnement de ces robots complexes nécessite de créer et maintenir une très lourde infrastructure industrielle mondialisée. Des mines de matières premières plus ou moins rares aux usines d’assemblage, ce sont de lourdes structures très matérielles qui sont nécessaires, lesquelles génèrent des émissions de CO2, des pollutions, déforestations, déplacements de populations, gouvernances politiques hiéarchiques et autoritaires, réseaux logistiques mondialisés, etc.
Toutes ces choses ne sont pas soutenables écologiquement et socialement, donc elles sont indésirables.
Nous n’en voulons en aucun cas.
A la place de Beti et de ses avatars, nous désirons élaborer, d’abord localement, collectivement et (vraiment) démocratiquement d’autres projets de sociétés, basées sur la démocratie réelle, l’écologie, l’égalité sociale, le respect également des autres peuples terrestres (animaux, végétaux ou humains), le respect des limites planétaires et la protection effective du climat.
En matière de mobilité, il y a plein d’autres options possibles que l’inflation mortifère de robots autonomes, de smartphones et d’objets connectés (reliés à la 5G, une autre technologie néfaste) : comme par exemple des changements radicaux dans l’urbanisme et les politiques de logements, le low tech, la relocalisation de certaines activités et leur détachement du modèle productiviste capitaliste, la marche, le vélo, la création de quartiers/hameaux avec des services de base au lieu de l’étalement urbain gourmand en terres et nécessitant routes et véhicules, etc.
De nombreuses pistes sont à élaborer et mettre en place collectivement, loin de cette fuite en avant désastreuse dans les véhicules robots autonomes qui renforce un modèle délétère de société et qui ne résoud rien.
Ensemble luttons contre Beti et son monde, pour un avenir vivable et désirable, pour des sociétés à taille humaine.
D’un point de vue écologique et social, aucun véhicule robotique « high tech » bardé de caméras, de capteurs et de logiciels complexes ne peut être une solution positive pour le présent ou l’avenir.
En effet, la fabrication et le fonctionnement de ces robots complexes nécessite de créer et maintenir une très lourde infrastructure industrielle mondialisée. Des mines de matières premières plus ou moins rares aux usines d’assemblage, ce sont de lourdes structures très matérielles qui sont nécessaires, lesquelles génèrent des émissions de CO2, des pollutions, déforestations, déplacements de populations, gouvernances politiques hiéarchiques et autoritaires, réseaux logistiques mondialisés, etc.
Toutes ces choses ne sont pas soutenables écologiquement et socialement, donc elles sont indésirables.
Nous n’en voulons en aucun cas.
A la place de Beti et de ses avatars, nous désirons élaborer, d’abord localement, collectivement et (vraiment) démocratiquement d’autres projets de sociétés, basées sur la démocratie réelle, l’écologie, l’égalité sociale, le respect également des autres peuples terrestres (animaux, végétaux ou humains), le respect des limites planétaires et la protection effective du climat.
En matière de mobilité, il y a plein d’autres options possibles que l’inflation mortifère de robots autonomes, de smartphones et d’objets connectés (reliés à la 5G, une autre technologie néfaste) : comme par exemple des changements radicaux dans l’urbanisme et les politiques de logements, le low tech, la relocalisation de certaines activités et leur détachement du modèle productiviste capitaliste, la marche, le vélo, la création de quartiers/hameaux avec des services de base au lieu de l’étalement urbain gourmand en terres et nécessitant routes et véhicules, etc.
De nombreuses pistes sont à élaborer et mettre en place collectivement, loin de cette fuite en avant désastreuse dans les véhicules robots autonomes qui renforce un modèle délétère de société et qui ne résoud rien.
Ensemble luttons contre Beti et son monde, pour un avenir vivable et désirable, pour des sociétés à taille humaine.
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
Au lieu de subir constamment les décisions unilatérales des élus locaux et de se soumettre aux logiques capitalistes et technologiques sans avenir, il est important de se réunir pour lutter ensemble et faire grandir des projets de sociétés vivables et désirables, socialement justes et écologiquement soutenables.
Les catastrophes sociales, écologiques, climatiques en cours méritent bien mieux que du solutionnisme technologique. On a besoin de vraies améliorations sociales et politiques, pas de robots « high tech ».
Et si on mettait fin à la résignation et la soumission par rapport à tous ces projets présentés abusivement comme bons et inéluctables ?
Ce projet aberrant de navette autonome Beti est une bonne occasion pour commencer à se relever, réfléchir et agir.
Une pétition n’est qu’un (très) modeste début en ce sens.
C’est à nous toustes d’aller beaucoup plus loin ensemble, le plus loin possible.
Les catastrophes sociales, écologiques, climatiques en cours méritent bien mieux que du solutionnisme technologique. On a besoin de vraies améliorations sociales et politiques, pas de robots « high tech ».
Et si on mettait fin à la résignation et la soumission par rapport à tous ces projets présentés abusivement comme bons et inéluctables ?
Ce projet aberrant de navette autonome Beti est une bonne occasion pour commencer à se relever, réfléchir et agir.
Une pétition n’est qu’un (très) modeste début en ce sens.
C’est à nous toustes d’aller beaucoup plus loin ensemble, le plus loin possible.