Arbres en ville, ville en Vie !
Les arbres en ville sont régulièrement menacés par différents projets d’aménagement urbain : construction de logement, réaménagement de chaussée,...
Pourtant, les arbres en ville rendent de nombreux services éco-systémiques et sont essentiels pour nous aider à lutter contre les effets du réchauffement climatique.
Partout en France, riverains, associations ou collectifs se mobilisent pour préserver les arbres en ville.
Retrouvez l’ensemble des campagnes en cours sur cette thématique et rejoignez celle la plus proche de chez vous.
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Campagnes (11)
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MarseilleDestruction de 10ha de Nature en VilleCe projet, de 1933, est obsolète et contraire aux impératifs écologiques de notre temps. À l'heure où les preuves scientifiques s'accumulent sur l'impact dévastateur du réchauffement climatique et la nécessité de réduire drastiquement notre empreinte carbone, construire de nouvelles autoroutes, rocades ou boulevards est une aberration environnementale, sociale et économique. Les raisons de notre opposition sont multiples et fondées : • Impact environnemental désastreux : Le B.U.S. entraînerait la destruction de 10ha d’espaces naturels et cultivés, de plus d’un millier d’arbres et arbustes entrainant inévitablement une augmentation du ruissellement des eaux pluviales. Le B.U.S. porterait atteinte à la biodiversité et à notre littoral avec l’arrivée de 40 000 voitures jours face à la mer. • Aggravation de la pollution : Une voie de circulation automobile de cette envergure ne ferait qu'accroître le trafic routier et, par conséquent, la pollution sonore (pour 400 bâtiments) et les émissions de gaz à effet de serre (CO2, NOx, particules fines). La qualité de l'air, déjà préoccupante dans notre agglomération, se dégraderait davantage, avec des conséquences directes sur la santé des habitants (maladies respiratoires, cardiovasculaires), et particulièrement pour 30 établissements sensibles (crèches, écoles, hôpitaux – centre de soins, EHPAD). • Coût pharaonique et investissement mal orienté : Le financement d'un tel projet représente un coût de près de 400 millions d’€uros pour les contribuables, une somme qui pourrait être bien mieux investie dans des solutions de mobilité réellement durables et bénéfiques pour tous. Le projet de BUS est en totale contradiction avec les engagements écologiques nationaux et internationaux, et de développement des mobilités douces et des transports en commun. Il s'agit d'une vision du passé qui ignore les enjeux du présent et les défis de demain. Nous demandons : · L’Annulation de la construction du Boulevard Urbain Sud afin de préserver les espaces de nature en Ville · La sanctuarisationdes 8,5 hectares de nature en ville menacés : Le parc de la Mathilde, Les jardins familiaux Aiguier, La pinède du Roy d’Espagne · Une réorientation radicale de la politique d'aménagement du territoire et des transports, en privilégiant systématiquement les modes de mobilité douce et durable plutôt que de s'enfermer dans des solutions routières dépassées. · D'engager, en concertation avec les citoyens et les acteurs locaux (Etat, région, département, métropole, ville…), une véritable politique de mobilité durable et d’urbanisme tourné vers l’avenir. Des solutions concrètes et adaptées aux besoins de notre ville, en phase avec les enjeux écologiques et sociaux du 21e siècle, existent : · Aménagement de l'espace public pour les piétons (Promotion des "villes du quart d'heure", espaces verts, parcs, jardins partagés...) · Renforcement massif des transports en commun · Développement accéléré des infrastructures cyclables sécurisées, continues : · Promotion active du covoiturage En adoptant ces solutions, Marseille pourrait non seulement réduire drastiquement ses émissions de gaz à effet de serre, améliorer la qualité de l'air et le cadre de vie de ses citoyens, mais aussi créer de nouveaux emplois, renforcer la cohésion territoriale et se positionner en leader de la transition écologique pour notre pays. Les travaux du Boulevard Urbain Sud sont prévus dans les prochains mois, il y urgence à se faire entendre, signez cette pétition pour un avenir plus sain, plus vert et plus respirable pour tous !11 748 sur 15 000 SignaturesCréée par CanBus Collectif
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Le MansSauvegardons les 200 arbres de l'avenue Bollée au MansDans un contexte de dérèglement climatique il est nécessaire de garder ces arbres (et de restreindre la circulation des voitures thermiques). Le projet actuel doit donc être revu. Argumentation sur la nécessité des arbres 🌳 Francis Hallé, grand spécialiste des arbres, docteur en botanique et biologique, ancien professeur de l’université de Montpellier, nous donne les arguments dans son petit livre "Du bon usage des arbres - Un plaidoyer à l’attention des élus et des énarques". • Un vieil arbre ne se remplace pas : les plantations prévues en remplacement des arbres abattus ne seront équivalentes que dans 25 ans. Francis Hallé écrit : "remplacer un vieil arbre par dix jeunes arbres est une arnaque écologique". • Ces grands arbres humidifient l’air en diminue la température. Un excellent climatiseur en période de canicule ! • Ces grands arbres purifient l’air, le dépolluent. « La fonction de purification ne concerne pas uniquement le CO2, mais aussi les particules de métaux lourds, plomb, cadmium, manganèse, ...." Ces pollutions sont sources d'importantes nuisances pour la santé humaine. Les grands arbres stockent trente à soixante-cinq fois plus de polluants atmosphériques que ne peuvent le faire les jeunes arbres dont le tronc n'atteint pas 10 centimètres de diamètre ».8 953 sur 9 000 SignaturesCréée par Collectif de défense des arbres de l’avenue Bollée
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ProvinsSAUVONS LES ARBRES MENACES D’ABATTAGE A PROVINS !Aujourd’hui, nous continuons à nous opposer à la réalisation de la 2ème phase du projet, avec 3 objectifs précis : OBJECTIF N°1 : Urgence pour les frênes du Boulevard d’Aligre! Jusqu’au 15 août, 32 frênes sont en sursis, menacés d’abattage alors que leur état ne le justifie pas. Il est donc important d’agir immédiatement et avant les vacances d’été. Nous demandons à la Mairie de Provins de reporter ces abattages jusqu’à ce qu’une étude de l’état phytosanitaire et mécanique des arbres concernés ait été menée par un expert INDÉPENDANT de la mairie, expert qui ne sera chargé ni directement ni indirectement des abattages qui s’avéreraient indispensables. OBJECTIF N°2 : Suppression du “plan de renouvellement” des arbres Les documents que nous avons pu obtenir par recours gracieux auprès de M. le Préfet de Seine-et-Marne évoquent un “plan de renouvellement” des arbres, qui est en fait un plan d’abattage. Il prévoit l’abattage de 44 autres arbres de la promenade dans un délai qui peut aller de 5 ans (4 ans désormais) à 10 ans, sans que l’échéance précise puisse être connue. Les 254 arbres restants, parmi les plus anciens de la promenade, semblent maintenus pendant dix ans avant leur “renouvellement”. Le plan de la mairie vise donc un total de 367 arbres depuis 2024 dont la majeure partie sont des arbres centenaires. Rappelons que l’on connaît aujourd’hui la valeur des arbres anciens, tout ce qu’ils apportent à notre santé, combien ils sont importants pour le stockage du carbone, et quel rôle ils jouent dans le maintien de la biodiversité. Il ne peut plus être question de “gérer” un espace arboré en planifiant le remplacement régulier des plus vieux par de jeunes plants, avec l’espoir de garder toujours un “parc” de jeunes arbres. D’autant plus que le taux de mortalité des arbres plantés en 2024 (blessures causées par le chantier, survie aléatoire en raison du changement climatique) accentuera le “déboisement” de la Promenade. Cette vision désormais dépassée, qui s’apparente à un consumérisme public, est délétère pour le vivant en général et dangereuse pour l’environnement. Aussi nous demandons à la Mairie de Provins de supprimer son plan d’abattage et de faire procéder à une surveillance des arbres par un expert indépendant de la Mairie, qui ne sera chargé ni directement ni indirectement des travaux d’abattage qui pourraient s’avérer nécessaires pour la sécurité du public. Cette surveillance permettrait d’engager une gestion au cas par cas plus adaptée à l’évolution naturelle et imprévisible des plantations. OBJECTIF N°3 : Moratoire sur les travaux d’extension de la Promenade jusqu’en Ville haute Les travaux déjà réalisés ont abouti à une artificialisation du sol de la promenade et d’une partie des berges de la Fausse Rivière (pose d’un enrobé, construction de gradins en béton et remodelage de la berge au prix de l’éviction de la biodiversité qu’elle recélait). Le projet d’extension de la “requalification” de la promenade jusqu’en ville haute ne fera que prolonger cette artificialisation. L’objectif affiché est de permettre des “liaisons douces” par le biais de la “voie verte”. Mais ces liaisons douces existent depuis longtemps puisque la promenade est utilisée en l’état par les cyclistes. Quant au début de cette seconde tranche des travaux, nous n’avons pas d’information. Il est possible qu’elle suive immédiatement la réalisation de la 1ère tranche (fin 2025 ou début 2026). Une réfection du sol peut être envisagée pour rendre la promenade plus praticable, mais il existe des solutions plus naturelles - et d’ailleurs moins coûteuses - que l’enrobé. Quant à la “requalification” complète de la promenade sur toute son étendue, il paraît indispensable que les habitant(e)s soient associés au processus de décision, dans la mesure où il s’agit de lieux qui leur sont chers et qui font partie de leur patrimoine culturel et naturel. Dès lors, nous demandons à la mairie de Provins de suspendre tous travaux et toutes préparations de travaux visant la promenade jusqu’à une information complète et contradictoire suivie d’une consultation des Provinois(es). Notre promenade, nos arbres, nos berges, ont déjà suffisamment souffert de ce projet daté et inutile. Il est temps que les autorités écoutent ce que disent les principaux intéressés. Nous soutenir dès maintenant par votre signature, c’est nous permettre d’anticiper. Forts de votre appui, nous pourrons faire entendre notre voix avant les prochaines échéances. C’est aussi nous permettre de sensibiliser à cette cause, par l’effet du nombre, des publics nouveaux. Avec vous, nous pouvons encore sauver nos arbres centenaires et une promenade pleine de charme qui donne asile à de nombreuses espèces protégées.4 122 sur 5 000 SignaturesCréée par Association Provins Nature et Avenir (APNA)
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ÉcommoySauvons deux sequoias et d'autres essences à Ecommoy (Sarthe)Les effets combinés de l'évapotranspiration et de l'ombrage des arbres contribuent localement à baisser significativement la température de l'air et à lutter contre les îlots de chaleur urbain. La température peut être abaissée de 7 °C entre le milieu de la rue et la zone ombragée, dixit le rapport de la cour des comptes en 2024 (sources : https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/2024-03/20240312-RPA-2024-CDVI-adaptation-villes-changement-climatique.pdf) De façon générale, vous le savez sans doute, les arbres de grande taille ont une meilleure capacité à stocker du carbone (donc, à capter le carbone de l'air pour réduire le CO2 dans l'atmosphère), à diminuer la pollution atmosphérique, et permettent d'éviter plus efficacement le ruissellement des eaux pluviales. En effet, les arbres ayant un diamètre de tronc plus grand ont une plus grande biomasse ligneuse (quantité de bois), ce qui leur permet de stocker davantage de carbone que les plus petits arbres. De la même manière, l'interception des précipitations et des polluants atmosphériques augmenterait avec la plus grande taille de la canopée (les cimes des arbres dominants) et la surface foliaire totale (surface totale de toutes les feuilles) associée à une plus grande taille. Les grands arbres sont donc généralement plus efficaces que les plus petits pour fournir ces services de régulation, indispensables en milieu urbain et surtout dans un contexte de changements climatiques (sources : Alison Munson, écologue et Anaïs Paré, professionnelle de recherche pour la Chaire de recherche sur l'arbre urbain et son milieu (CRAUM)). Un petit article de presse glâné sur la captation du CO2 par le sequoia : https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2024-03-19/menace-en-californie-le-sequoia-geant-se-plait-en-europe-et-c-est-une-bonne-nouvelle-pour-le-climat-2ac1391d-3e2d-4074-9a83-de291e7686eb Résumé de cet article de l’AFP mars 2024 : - le sequoia a la capacité de séquestrer plus de carbone que d’autres espèces. - Nous avons constaté que les séquoias géants britanniques sont bien adaptés au Royaume-Uni et sont capables de capter une grande quantité de dioxyde de carbone (CO2) également », explique Ross Holland, auteur principal de l’étude, par l’université britannique UCL Pour respecter les accords de Paris et limiter le réchauffement climatique, il faudra atteindre la neutralité carbone en 2050. Nous demandons à conserver TOUS les arbres présents sur la parcelle du futur projet de ludo-médiathèque à Ecommoy. Cette pétition est portée par des habitant.e.s d'Ecommoy, du bassin de la communauté de communes de l'Orée de Bercé Bélinois, le GNSA sarthois (Groupe National de Surveillance des Arbres) et le groupe local Greenpeace Sarthe2 680 sur 3 000 SignaturesCréée par maryline b.
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Bussy-Saint-GeorgesMonsieur le Maire, sauvons les arbres de notre centre-ville !Historique : Le 29 Novembre 2021, le comité de quartier du centre-ville a signalé : • de nombreux arbres mourants sur l'Avenue Marie Curie en entrée de ville (200 chênes). • la disparition de la moitié des 44 arbres sur les parkings/trottoirs du boulevard Pierre Mendès France et la présence de goudron sur une dizaine d'arbres survivants. Cet abattage semble correspondre à une procédure irrégulière. Nous n'avons pas eu connaissance d'arrêté municipal ou préfectoral, ou d'arrêté d'abattage dans le cadre de travaux. Le 1er juin 2022, le comité de quartier du centre-ville a signalé 8 pieds d'arbres sur-minéralisés sur la nouvelle Place Fulgence Bienvenue. Si on ajoute les 16 arbres abattus Rue Henry de Montfreid pour la réalisation de nouveaux stationnements, le bilan est négatif pour ce quartier. Au total : • Au moins 16 arbres sont en danger immédiat et plusieurs dizaines sont mourants. • Au moins 28 arbres ont été abattu et non remplacés. Rappels utiles : Les arbres sont vivants et ils ont besoin d'un apport en eau et en nutriments pour s'épanouir en ville : laisser un espace végétalisé et perméable au pied de l'arbre est indispensable pour sa survie à long terme. De la végétation pousse au pied de l’arbre, le nourrit, et inversement. L’arbre capte l’eau plus facilement et devient plus résistant. Préserver les arbres du centre-ville, c'est conserver notre titre de Ville des Parcs et Jardins, et c'est lutter efficacement contre les ilots de chaleur urbaine l'été. Situation actuelle : Depuis les signalements du comité de quartier il y a 3/4 ans, rien de concret ne fut réalisé par la commune pour remédier à la situation en dehors de la pose de pots géants Av. Pierre Mendès France à la place des arbres abattus. La foret urbaine plantée par EpaMarne en entrée de ville ne compensera pas cette perte située dans d'autres lieux. Nos demandes : Par conséquent, nous, citoyennes et citoyens de la ville, indépendamment des comités, associations et partis, demandons publiquement à la mairie de Bussy-saint-Georges : 1. d'aménager les pieds des arbres sur la place Fulgence Bienvenue et le boulevard Pierre Mendès France : retirer les goudrons/revêtements et laisser au minimum 1m2 de terre. Protéger ces zones de tout stationnement. 2. de remplacer les arbres abattus ou malades par des essences variées, adaptées à la ville et résistantes au changement climatique. Ce remplacement doit être réalisé dans la même rue. 3. de demander au plus vite à EpaMarne un remplacement des arbres mourants Avenue Marie Curie avant la fin de la ZAC pour que cela ne soit pas à la ville de payer. 4. de généraliser ces bonnes pratiques aux autres quartiers de la commune.2 104 sur 3 000 SignaturesCréée par Mathieu C.
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Trith-Saint-LégerNON A L'ABATTAGE DES 27 ARBRES DE LA RUE DE L'ÉGALITÉLe conseil municipal projette d’aménager la rue de l’Égalité (rue du collège Langevin). Cette action s’inscrit dans le cadre d’un enfouissement des câbles et de rénovation des canalisations d’eau et de gaz. Une ébauche du projet a été présentée en septembre et novembre 2022 en commission municipale. Vue l’absence de pistes cyclables et l’abattage de 27 arbres de la rue, la commission n’a pas validé le projet. D’autorité, Monsieur le Maire a arrêté le projet définitif et l’a communiqué aux riverains lors d’une réunion publique le 22 novembre 2022 en l’absence des élus de la commission. 18 personnes étaient présentes. Le nouveau projet présente des intérêts, notamment des noues (petits fossés) pour l’infiltration de l’eau de pluie, une voie exclusivement piétonne sécurisée car séparée de la chaussée et un travail sur le visuel pour apaiser la circulation des véhicules. Monsieur le Maire choisit d’oublier que les arbres d’alignement sont de par la Loi protégés (Loi 3DS, Décret n° 2023-384 du 19 mai 2023). Leur abattage s’inscrit dans des conditions très particulières et exceptionnelles liées à la sécurité que seul le préfet peut décider. Ce choix «d’aménagement paysager» qui est celui du Maire, ne peut justifier la disparition de ces arbres patrimoniaux. Dans un contexte climatique où la nécessité d’adaptation des villes est plus qu’urgente et compte tenu que d'autres solutions existent comme la surélévation du trottoir, choix retenu pour l'autre côté de la rue, ce projet est une aberration d’une autre époque. NOUS DEMANDONS LA REVISION DU PROJET D’AMENAGEMENT PREVU RUE DE L’ÉGALITÉ AVEC EN 1ER LIEU, UN MORATOIRE POUR LES ARBRES, le temps d’étudier l’état des sujets par un organisme indépendant, avec une approche strictement phytosanitaire et mécanique (et donc sécuritaire, pour le végétal et pour les personnes). NOUS DEMANDONS A ETRE ASSOCIES A LA PRESENTATION DES CONCLUSIONS DE CETTE ETUDE COMPLEMENTAIRE. Pour lutter contre les phénomènes d’îlots de chaleur urbain, les vieux arbres ont toute leur utilité. Ils sont même les derniers remparts parce qu’ils nous apportent de la fraicheur en période de canicule (-10° à l’ombre), captent certains polluants et particules auxquels nous sommes exposés, participent à l’infiltration des eaux pluviales, stockent du carbone et produisent de l’oxygène bien plus efficacement qu’un jeune arbre. Enfin, ils favorisent la présence de nombreuses espèces animales et végétales et contribuent à la fertilité de nos sols... Tous ces aspects de notre qualité de vie sont en jeu. Ce projet va conditionner cette rue pour les 50 prochaines années. Il ne peut se décider sans prendre en compte le contexte socio-climatique actuel. Nous le disons depuis notre élection, Trith-saint-Léger est une ville dans laquelle le végétal doit garder une grande place car il a une grande utilité. A une époque chaque naissance donnait lieu à la plantation d’un nouvel arbre baptisé du nom de l’enfant. Pourquoi aujourd’hui faut-il nous battre pour préserver ce cadre de vie ? Pourquoi alors que la situation climatique n’a jamais été aussi préoccupante, la municipalité en place refuse toujours de considérer les atouts des arbres et des voies pour les mobilités actives bénéfiques pour toutes les trithoises et tous les trithois ?1 032 sur 2 000 SignaturesCréée par Christophe V.
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GardanneNON A L'ABATTAGE DE DEUX CEDRES CENTENAIRES - URGENCE - CENTRE VILLE GARDANNESignez cette pétition et n'hésitez pas à envoyer un mail à la mairie de Gardanne pour appuyer notre démarche. Merci à tous!989 sur 1 000 SignaturesCréée par Delphine B.
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BaixasSauvons les arbres menacés d'abattage dans le parc du foyer rural de BaixasSuite aux réclamations des citoyens de la commune de Baixas concernant le besoin de stationnement, la décision des élus est de transformer le parc de jeu du foyer rural en parking. Pour cela, ils envisagent d’abattre la quasi-totalité des arbres présents. Au total, ce parc contient 1 olivier, 9 muriers platanes, 3 platanes, 3 palmiers, 2 cyprès et 1 troène du Japon. Même s’ils ne sont pas classés, la plupart de ces arbres sont suffisamment âgés pour rendre des services écosystémiques remarquables. Ils sont une ressource indéniable pour la biodiversité. Ils stockent le carbone présent dans l’air vers le sol, créent de l’oxygène, améliorent la qualité de l’air et constituent un îlot de fraîcheur et d’ombre dans un village qui en compte bien peu. Les sacrifier va à l’opposé des préconisations actuelles pour lutter contre le réchauffement climatique et faire évoluer le village vers plus de résilience face aux fluctuations à venir. Les scientifiques sont formels. Le constat est alarmant. Le département glisse rapidement vers le stade de désert. La sécheresse s’installe, la qualité de l’air se dégrade avec la hausse des émissions de gaz à effet de serre, les nappes phréatiques s’assèchent, les sols appauvris se dégradent de plus en plus et la biodiversité s’effondre … Il faut agir ! 25 ans, c’est le temps dont nous disposons pour changer de trajectoire. (source : Plan bleu méditerranée) Les arbres et la végétalisation sont une des meilleures solutions pour nous permettre d’envisager un avenir résilient, avant qu’il ne soit trop tard. Planter des arbres, végétaliser les milieux urbains, créer des forêts péri-urbaines, et conserver le patrimoine arboré doivent être au cœur de nos préoccupations et de celles des élus. Ils ont pour mission de tout mettre en œuvre pour notre avenir. Il faut donc effectuer les aménagements tout en respectant et priorisant la vie des arbres. Le goudron et le béton emmagasinent la chaleur et créent une hausse des températures. Les arbres permettent d’éviter ce réchauffement en faisant de l’ombre (jusqu’à 10 degrés d’écart), ce qui protégera les véhicules. De plus, de nombreux arbres du village sont en mauvais état. Pour cause, le goudron ou le marbre qui étouffe leurs racines et les empêche de se déployer sainement. Certains sont morts et d’autres le seront bientôt. Il existe de nombreuses alternatives au goudron et à la bétonisation. Des aménagements perméables permettent aux arbres, l’accès à l’eau de pluie, ainsi que d’éviter les risques d’inondation annoncées par les études scientifiques. Des dalles de parking ajourées sont une des solutions envisageable. Nous exigeons à ce que les arbres du parc de jeu du foyer rural soient conservés, et que les arbres du village soient entretenus dans le respect des règles écologiques. Au-delà de ce projet, il est temps que l'aménagement soit réfléchis en fonction de la biodiversité et que soient prises des mesures nécessaires à l’adaptation de notre village face aux risques et aux conséquences du réchauffement climatique. Protégeons nos grands arbres avant qu'il ne soit trop tard.644 sur 800 SignaturesCréée par Nathalie A.
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CleonSauvons le Bois des Coutures à Cléon !Fin août à Cléon, 2 hectares de forêt étaient rasés en quelques jours. Aujourd’hui dans le Bois des Brûlins, il ne reste plus trace des arbres cinquantenaires qui accueillaient les cabanes et les jeux des enfants, les balades du dimanche. La destruction du bois des Brûlins pourrait devenir le symbole des décisions politiques court-termistes qui ne peuvent plus être reproduites. Mais 13 hectares de forêt sont menacés un peu plus loin, dans le cadre du projet de ZAE des Coutures. Le 13 juillet 2017 déjà, dans l’enquête publique, la Préfète indiquait que « le projet nécessitera le déboisement de la quasi-totalité de la zone comprise dans un ensemble considéré comme un corridor écologique et constitutive d’habitats favorables pour des espèces de faune protégées ». La Métropole a déjà initié en 2020 la demande de dérogation pour détruire les espèces protégées présentes sur le site. Si rien n'est fait, nous pourrons dire adieu aux écureuils roux, hérissons d'Europe, aux chauve-souris, aux rossignols philomèle, ainsi qu'à la belle ancolie commune. Plus que jamais aujourd’hui, il faut stopper la destruction des espaces naturels et la bétonnisation, si nous voulons lutter contre le dérèglement climatique et préparer notre adaptation à ses impacts. Cet été, les éléments climatiques destructeurs se sont multipliés, jusqu’aux terribles inondations dans le Gard à la mi-septembre. Le rapport du GIEC publié en juillet est sans appel, c’est maintenant qu’il faut agir, y compris si cela veut dire revoir ou stopper des projets en cours. Plus tard, ce sera trop tard. L’arrêt de la bétonnisation, et la préservation de nos poumons verts, doivent être des priorités absolues pour répondre à l'urgence climatique, déclarée en décembre 2020 par la Métropole. Les nouveaux projets, l'aménagement du territoire, doivent être pensés désormais à la lumière de ce qui est bon pour notre santé, pour notre environnement et pour l'avenir de nos enfants. De nombreuses friches peuvent être utilisées pour accueillir de nouvelles activités ou des habitations. Utilisons l’espace dont nous disposons, construisons la ville sur la ville, et stoppons l’artificialisation. A Cléon, il est encore temps d’agir, sauvons le bois des Coutures !384 sur 400 SignaturesCréée par Verts et Solidaires -.
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EuNon au bitumage du chemin vert de EuLors d’un entretien avec Eddie Facque, président de la CCVS, nous avons eu confirmation que l’aménagement du chemin vert du Petit Caux aurait bien lieu. Estimés à un peu moins de 2 millions d’euros, les travaux – semblent-ils subventionnés à 80% par l’Etat, la région Normandie et le Département de Seine-Maritime – comprennent l’élagage et la coupe des arbres et buissons, la restauration des ouvrages d’art, la réalisation d’une bande de bitume de 3 mètres de large – entraînant l'élargissement du chemin à 6 mètres minimum – sur 7 kilomètres et, en principe, la plantation d’arbres en lieu et place de ceux qui auront été abattus. Nous avons redit au président notre opposition à cette hérésie et mis en avant les presque 7000 signatures enregistrées à ce jour de citoyens s’opposant eux aussi à ce désastre. Nos arguments, tant environnementaux que financiers, n’ont reçu aucun écho. Nous vous invitons à nous retrouver le samedi 19 novembre à 14h30 à l’entrée du chemin vert, à Eu. Venez nombreux, en famille, à pied, en vélo, à cheval…pour marquer à nouveau votre opposition à ce projet contre nature !!160 sur 200 SignaturesCréée par Sarah G.