Coalition nationale contre les grands projets routiers
Découvrez tous les collectifs en lutte contre les grands projets d'aménagement routiers et leurs pétitions. Si vous aussi, vous pensez qu'une autre voie est possible, soutenez-les en signant leurs pétitions !
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MontpellierOui à un Contournement apaisé à l'Ouest de Montpellier ! Non à l'autoroute urbaine (COM Vinci) !L'État a confié à Vinci-ASF la création d'une autoroute urbaine de 6,2 km traversant du nord au sud l'ouest de Montpellier et Saint-Jean-de-Védas. Vinci le déclare dans ses écrits devant la justice, premier objectif du COM : « assurer une continuité du grand itinéraire autoroutier entre l’A 75 et l’A9 vers Clermont-Ferrand, dans la logique de l’orientation globale nord/sud et sud/nord de la concession ASF. » Les autres objectifs, « meilleure fluidité et sécurité du trafic sur l’A 709, meilleure desserte de la zone urbaine de Montpellier, rendre leur vocation urbaine aux voiries métropolitaines restantes aujourd’hui congestionnées – en renforcement de la vocation première de l’A709 », sont essentiellement destinés à faire passer le projet auprès des autorités locales. Au demeurant, l’A 709 est déjà saturée ! Le début des travaux est prévu pour 2026 pour une livraison 2030. Le Collectif AutreCOM s’est constitué pour proposer une alternative viable au projet Vinci qui ne répond pas selon nous, aux besoins réels de mobilité locale. Notre collectif demande que le projet du COM soit réévalué au regard des enjeux climatiques, sociaux et environnementaux actuels, et pour anticiper les besoins en mobilités sur le long terme. Les déplacements pendulaires autosolistes provoquent la surcharge de cette voirie. Pour soustraire un nombre significatif de véhicules et y fluidifier le trafic, les solutions passent à la fois par le traitement des zones névralgiques dûment repérées et par le développement massif des transports collectifs périurbains en site propre tout au long du trajet avec un accès facile aux pôles d’échanges, ainsi que des pistes cyclables. Nos associations proposent que la maîtrise d’ouvrage soit prise en charge par les collectivités locales et non par un acteur privé. POURQUOI S’OPPOSER AU COM VINCI? Fluidification du trafic local et liaison autoroutière : deux objectifs peu compatibles L’emprise au sol prévue irait jusqu’à 10 voies sur une de ses trois sections, pour un gain de temps pour les usagers de 3% sur le trajet soit quelques minutes à peine. Pourtant la part du trafic de transit actuel est évaluée à seulement 10 %, dont 4% de poids lourds (PL). Ce projet démesuré et couteux (>300 millions d’euros) est conçu pour permettre un triplement du nombre de véhicules (de 25 000 à plus de 70 000 véhicules par jour) : le COM est en effet un des chaînons manquants de cet axe européen qui doit traverser la France depuis le Nord de l’Europe et le Havre, éviter l’Ile de France, en allant jusqu’au Sud vers les ports de Méditerranée et l’Italie. Il attirerait donc des milliers de PL et les flux touristiques, comme ceux qui saturent déjà la vallée du Rhône. Dans ces conditions, l’objectif d’amélioration du trafic local semble totalement illusoire. Agissons ensemble ! Merci de signer et diffuser cette pétition ! Pour plus d’info sur notre opposition et sur notre projet alternatif, rendez-vous ici et sur les réseaux sociaux facebook et instagram Avec de nouveaux recours et évènements, 2025 sera une année cruciale pour notre collectif. Participez à la collecte de dons sur Hello Asso. https://www.helloasso.com/associations/action-climat-montpellier/collectes/mobilisation-contre-le-com4 399 sur 5 000 SignaturesCréée par Collectif AutreCOM
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Le PertuisRN88 : STOP à la destruction de 190ha d'espaces naturelsDébut 2020, sur fond de campagne électorale, Laurent Wauquiez alors Président de la Région Auvergne - Rhône-Alpes (AURA), annonce la reprise d'un projet vieux de 30 ans : la construction de la déviation de 2 bourgs de la RN88. La déclaration d'utilité publique du projet, abandonné depuis par l'Etat, est alors périmée depuis 2007. Le projet coûtera 226 millions d'euros selon la Région AURA qui en finance 90%. Il coûtera en réalité probablement beaucoup plus, entre 500 et 600 millions d'euros selon ses opposant·es. L'augmentation du trafic routier aura également un impact sur la pollution de l'air, l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre, et la pollution sonore. Pendant et après les travaux, la biodiversité est et sera lourdement impactée par la disparition de corridors écologiques et la destruction d'habitats de plus de 100 espèces animales et végétales. Un collectif d'habitant·es, de paysan·nes et de défenseur·euses du vivant s'est autour de "La Lutte des Sucs" pour défendre l'arrêt de ce projet mortifère. Depuis 5 ans, 5 nouvelles espèces protégées ont été découvertes sur le site : la Crossope aquatique (une musaraigne à enjeu fort), le Campagnol amphibie (un rongeur à enjeu fort), le Cuivré des marais (un papillon à enjeu fort), le Crapaud Calamite (un amphibien à enjeu modéré), et le Triton palmé (un amphibien non cité dans l'étude d'impact). Pourtant, alors que le maître d'ouvrage ne possède pas la maîtrise foncière des terrains pour les zones de compensation environnementale, les travaux ont débuté avec l'abattage de dizaines d'hectares de forêts, la destruction de murets anciens, la défavorabilisation de terres agricoles, et la construction de plusieurs ouvrages d'art. En 5 ans, de nombreux recours ont été déposés devant la justice, notamment par France Nature Environnement, mais après une annulation partielle de l'autorisation environnementale par le Tribunal administratif de Clermont-Ferrand fin 2024, le processus judiciaire est amené à se poursuivre en Cour d'appel pour obtenir son annulation totale. Nous n'avons pas le temps d'attendre. Nous, collectifs et associations en soutien à la Lutte des Sucs qui se bat contre la destruction de ces écosystèmes, demandons au Préfet de Haute-Loire de suspendre les travaux et à la Région Auvergne - Rhône-Alpes de mettre en étude des solutions alternatives respectueuses de l'environnement. Pour le même prix, il est possible de penser des liaisons de bus cadencées entre Saint-Étienne et le Puy-en-Velay, développer le fret ferroviaire, penser de petites déviations des 2 bourgs en 2x1 voie ou en limiter la vitesse à 30km/h. Ces alternatives crédibles et moins onéreuses (proposées par plusieurs organisations) n'ont pourtant jamais été envisagées sérieusement par la Région AURA. Il est encore temps, mais il est urgent d'agir : seulement une petite partie du projet est sortie de terre, mais d'ici début 2026, le plus gros des travaux risque de mettre définitivement en péril les écosystèmes. Mobilisons-nous pour stopper ce projet ! Crédit photo : LS - rue43120 Personnalités et organisations soutenant la pétition (màj 22/02/2025) : • Geneviève AZAM, économiste et maîtresse de conférences à l'Université Toulouse-Jean-Jaurès • Audrey BOEHLY, journaliste scientifique • Nicolas BONNET, député du Puy-de-Dôme • Catherine BONY, Conseillère régionale Auvergne Rhône Alpes • Julien CHAPUIS, biologiste et cofondateur du collectif Loire Sentinelle • Marie CHUREAU, activiste pour le climat • Renaud DAUMAS, paysan et conseiller régional • Étienne DAVODEAU, auteur de bande dessinée • France Nature Environnement AuRA • France Nature Environnement Haute-Loire (43) • Fabienne GRÉBERT, Conseillère régionale, Présidente du groupe des écologistes à la Région Auvergne-Rhône-Alpes • Greenpeace Clermont-Ferrand • François JARRIGE, historien • Michel JARRY, président de France Nature Environnement AuRA • La Lutte des Sucs • MC danse pour le climat, techno-activiste • Maxime MEYER, Conseiller régional, Co-président du groupe des écologistes à la Région Auvergne-Rhône-Alpes • Corinne MOREL DARLEUX, essayiste et romancière • Barbara RÉTHORÉ, biologiste et cofondatrice du collectif Loire Sentinelle • Andrée TAURINYA, députée de la Loire • Audrey VERNON, comédienne • Vincent VERZAT, Partager c'est sympa26 652 sur 30 000 SignaturesCréée par Greenpeace Clermont-Ferrand & La Lutte des Sucs
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DreuxNon à l'autoroute A154-A120 !Monsieur le Ministre des Transports, Monsieur Le Ministre de la Transition Ecologique et de la cohésion des territoires, Notre collectif est né en janvier 2023 pour venir renforcer les actions des associations membres de la FEEL (Fédération Environnement Eure-et-Loir) contre ce projet anachronique, voici pourquoi : 👉 Alors que l’État a pris des engagements bas carbone, ce projet est aux antipodes des enjeux de réduction de gaz à effet de serre : il a été pensé il y a plus de 20 ans et ne serait réalisé qu’à horizon 2030 ! La DUP (Déclaration d'Utilité Publique) de 2018 et son chiffrage à plus d'1 milliard d'euros et 350 000 tonnes de CO2 sont hors sujet aujourd'hui ! 👉 Avant toute chose, chaque mètre de bitume pompe 1 litre d’eau de nos nappes phréatiques qui sont chaque année de plus en plus menacées, et empêchent nos agriculteurs de produire à plein régime (-40% de droit à irrigation en 6 ans). La ressource en eau va devenir si rare qu’on sera bientôt rationnés et tout supplément de surface artificialisée contribue directement à augmenter les problèmes de graves inondations en alternance avec de graves sécheresses ! 👉 Ce projet va à l'encontre des objectifs que la France s’est fixés en matière d’artificialisation : 660 hectares de terres agricoles seraient artificialisées, et 90 hectares d’espaces forestiers traversés. Au total : 750 hectares de terres fertiles seraient ainsi menacées. Par ailleurs, la destruction massive d’habitats naturels affecterait directement la faune et la flore, donc la chaîne alimentaire dont nous faisons partie. 👉 Les fortes pollutions de l’air et les nuisances sonores attendues dans les 35 communes limitrophes affecteraient de plein fouet les riverains et riveraines, en plus d’augmenter l’accidentologie dans les villages, ce qui obligerait les mamans à déposer les enfants en voiture contre poussettes et vélos aujourd'hui…. 👉 Poussé par des élus locaux, notamment sur Chartres et Dreux, ce projet n’a aucune cohérence économique : d’une part au vu du coût pour le concessionnaire (qui aura besoin d’une énorme subvention d’équilibre), d’autre part pour les 35 communes qui devraient prendre en charge toutes les mesures d’accompagnement, et enfin pour les Euréliens navigant tous les jours entre Chartres et Dreux qui ne voudront pas sacrifier leur budget vacances pour payer le péage pour leur trajet quotidien (prix du simple trajet à 6 €) et qui contourneront l’autoroute, comme de nombreux PL, en passant par les villages (presque 100 communes sont concernées) Pour ces raisons, nous demandons aux collectivités locales et à l’État d'agir : notre collectif exige un arrêt du projet d'autoroute afin de préserver le cadre de vie eurélien et régional, et s’associe bien entendu à l’arrêt de tous les projets autoroutiers en France avec la Déroute des Routes car ils contribuent à tuer progressivement nos ressources naturelles en France, eau, agriculture et biodiversité ! D'ici peu, vous allez nous annoncer la liste des projets autoroutiers maintenus par le gouvernement. L'Etat n'ayant encore rien engagé sur ce projet, il est encore temps de le stopper. Nous vous demandons, Monsieur le Ministre des Transports, de bien vouloir entendre cet appel citoyen massif afin de vous éviter un nouvel A69 ici en Eure-et-Loir, à une heure de la capitale. Pour les mêmes raisons, nous vous demandons, Monsieur Le Ministre de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires, de bien vouloir revoir votre liste des 167 projets sortis de la loi ZAN afin de conserver l’esprit dans lequel cette loi ZAN a été votée pour réduire les surfaces artificialisables de la France. Ce ministère doit protéger tous les français, dans la durée, des impacts directs de cette artificialisation sur le dérèglement climatique et sur les catastrophes “dites naturelles” pour lesquelles nous sommes évidemment responsables. STOP ! Comment pouvez-vous qualifier ces projets destructeurs de projets d’envergure nationale et européenne d’intérêt général majeur alors qu’ils menacent directement nos ressources et sont accélérateurs de catastrophes “naturelles” ? Ces projets n’ont par ailleurs pas été sélectionnés de façon démocratique mais arbitraire, et ce, au détriment de tous les vivants sur le sol français ! Si vous avez des enfants et des petits-enfants et que vous vous souciez de leur avenir, vous DEVEZ abandonner ce projet d'autoroute d’une autre époque, et investir dès maintenant et massivement dans la réouverture des petites lignes de train et dans le fret ferroviaire, comme engagé dans le Contrat Plan Etat Région de l'été 2023. Nous sommes de plus en plus nombreux en Eure et Loir à dire NON au projet de mise en concession de nos RN12 et RN154 : je suis agricultrice bio et ma baisse de ressource en eau menace mon activité, je suis père de 2 enfants et agriculteur, et mon exploitation va être coupée en deux sans compensation, je suis maman d'une petite fille en poussette dans un village calme aujourd'hui mais qui demain sera traversé par des convois de poids lourds, je suis ingénieur en génie civil à la retraite et je travaille sur des alternatives ferroviaires, je suis papa de deux enfants et maire d'un village sacrifié au coeur d'une vallée classée, je suis agriculteur conventionnel et ma propriété deviendra invendable quand les poids-lourds passeront sous mes fenêtres pour éviter de payer l'autoroute, je suis étudiant et vraiment inquiet pour mon avenir, je suis habitant d’un village d’Eure-et-Loir et je ne veux pas d’une plateforme logistique dans mon jardin. Et vous, Madame, Monsieur, chers concitoyens Euréliens, pourquoi vous opposez-vous à ce projet d'autoroute en Eure-et-Loir ? Contactez-nous, signez et partagez cette pétition adressée à nos deux ministres. Le Collectif Non A154 A12013 088 sur 15 000 SignaturesCréée par Le Collectif Non A154 A120
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Saint-Rambert-d'AlbonNon aux nouveaux échangeurs A7S’appuyant sur des chiffres fantaisistes, des études orientées, affublant le béton et le goudron de vertus écologiques, le concessionnaire Vinci ressort un vieux projet de construction de plusieurs nouveaux demi-échangeurs sur l’Autoroute A7, notamment à Saint Rambert d’Albon et Saint-Barthélémy-de-Vals dans la Drôme. Les villages du nord Drôme ne sont ni enclavés, ni sous-développés. Alors pourquoi donner la priorité au trafic routier ? ⛔ En plus de son inutilité, ce projet aurait des conséquences désastreuses pour la région : ⚠️Ce serait ouvrir le territoire à encore plus d’artificialisation des terres nourricières et de la spéculation qui l’accompagne, par des entreprises fragilisées par leur dépendances aux flux mondiaux instables. ⚠️ Ce serait augmenter le trafic de l’autoroute mais aussi et surtout de tout le réseau secondaire et communal, avec des villes et villages déjà asphyxiés par les camions et les voitures : Saint Sorlin, Manthes, Moras en Valloire, tous les villages de la Galaure, les communes le long de l’axe Romans / Saint Donat / Bren / Saint Barthélémy, les villages d’Andancette et Andance, les hameaux du Creux de la Thine et de Villeneuve de Vals. Saint Vallier et Sarras peuvent s’apprêter à revivre l’enfer des embouteillages de triste mémoire. ⚠️ Ce serait augmenter le trafic et augmenter la pollution atmosphérique, la pollution des sols et des nappes phréatiques. ⚠️ Ce serait signer l’arrêt de mort de la biodiversité. Ce serait afficher clairement que les derniers couples de bruant ortolan, espèce protégée d’oiseau emblématique des Fouillouises, peuvent mourir comme le révélateur du mépris des politiques locales aux autres vivants. ⛔ Non au gaspillage d’argent public ! L’argent public serait mieux employé à développer d’autres politiques qui favoriseraient la souveraineté alimentaire, qui soutiendraient l’initiative locale en la rendant moins dépendante des grandes agglomérations et des flux mondialisés. Cela pourrait être au service de politiques pour renforcer les modes de déplacement doux : en relançant le ferroviaire sur les deux rives du Rhône et faisant des gares de Sarras, Saint Vallier, Andance, Andancette et Saint Rambert des lieux de vie, en réalisant un réseau de voies cyclables maillant tout le territoire, ou encore en réutilisant le Rhône même pour de courtes distances. Autant de propositions concrètes à réaliser rapidement qui permettraient de penser qualité de vie et projection dans le futur avec plus de sérénité. Le projet qui devait avoir lieu à Saint-Paul-Trois-Châteaux a été suspendu : il est encore possible de stopper ceux du nord de la Drôme ! Signez cette pétition pour dire stop avec nous, et partagez-là autour de vous !3 208 sur 4 000 SignaturesCréée par Point de Bascule, Vivre et Assez
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AndrésyNon à l'A104 bis, Oui à la préservation de notre environnementLa continuité de l’autoroute A104 est abandonnée par l'État. Avec un investissement de 200 millions d'euros, le département se substitue à l'État pour connecter l'A15 à l'A13. En 2012, malgré un avis "Négatif" du commissaire enquêteur lors de l'enquête publique, la préfecture des Yvelines passe outre et signe la Déclaration d'Utilité Publique. https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2023/10/Bandeau-petition-2.png Ce projet, vendu comme une solution de décongestion du trafic local, se révèle obsolète. Les données actuelles indiquent que le trafic a diminué ces dernières années. Le trafic sur le Pont de Poissy a, par exemple, chuté de façon constante depuis 2006. 📌 En 2017, le département a même fourni des chiffres montrant une baisse cumulée de 10,2%, malgré une augmentation de la population de 10%. La période post-Covid a probablement accentué cette diminution. Une étude du cabinet Egis, commandée par le département, prédit que la réalisation de cette nouvelle voie à quatre voies entraînera une congestion du réseau routier d'ici 2032 ! 🚗 Par exemple, le trafic sur le pont de Conflans passerait de 25 700 véhicules par jour à 96 860 véhicules par jour ! 🚗 Sur la nouvelle voie d'Achères à Triel, plus de 40 000 véhicules par jour sont prévus par le département ! 🚗 De plus, aux heures de pointe, la liaison entre l'A15 et l'A13 connaîtrait une saturation, avec des véhicules se déversant sur les réseaux secondaires via les nombreux ronds-points du tracé, traversant ainsi nos villes. Les impacts environnementaux de ce projet sont préjudiciables : ❌ pour la santé des habitants, en particulier aux 9 000 enfants scolarisés le long du tracé. ❌ par l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre, ce qui va à l’encontre des demandes de l’Etat dans son objectif de neutralité carbone d'ici 2050. ❌ par l’accroissement de la consommation énergétique de 14%, contredisant les appels à la sobriété énergétique. ❌ pour la biodiversité, l'arrêté sur les espèces protégées est lacunaire, il ne mentionne pas certaines espèces répertoriées officiellement et attestées par des experts ❌ pour le patrimoine des berges de Seine, impactant les promenades, les pistes cyclables et les îles d'Andrésy et de Carrières sous Poissy. 📢 Ce projet n'est pas d'intérêt public majeur, n'apporte aucune solution et aggrave la situation sur les plans environnemental, sanitaire, financier, contribuant ainsi au dérèglement climatique. Abandonner ce projet est le seul geste d'utilité publique. Nous appelons le département des Yvelines, nos élus locaux et nationaux, ainsi que le préfet des Yvelines, à agir dans l'intérêt général en abandonnant ce projet.16 061 sur 20 000 SignaturesCréée par Denis M.
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Garges-lès-GonesseNON au projet routier du BIP, OUI à la préservation des espaces naturels !Vous habitez Soisy, Montmorency, Deuil, Groslay, Montmagny, Sarcelles, Arnouville ou Garges ? Alors votre ville serait traversée ou longée par le BIP ou "avenue du Parisis", un projet de route 2x2 ou 2X3 voies large comme une autoroute dont la construction pourrait démarrer en 2024. Il est encore temps de stopper ce projet ! 🚗🚛 La construction du tronçon Est (Groslay - Sarcelles - Arnouville - Garges) est bloqué depuis 2016 par un recours juridique porté par le collectif Vivre sans BIP. Après sa victoire en appel en 2022, le département du Val d'Oise, qui porte le projet, s’est pourvu en cassation. S'il gagne en justice dans les prochains mois, la construction du tronçon Est pourrait démarrer dès l'année prochaine ! Ensuite il ne resterait que 5 km à réaliser pour relier la A1 à la A15. Ne doutons pas qu'ils passeront en force pour boucler le BIP ! Ce projet routier serait une catastrophe. 👉 Le BIP couperait nos villes en deux, détruisant au passage une centaine d'hectares d'espaces naturels (chemins de randonnée, bois, jardins partagés, friches riches en biodiversité...), un trésor aux portes de nos villes préservé jusqu'ici de l'urbanisation ! 👉 Ce projet routier détruirait aussi la ferme Lemoine : ses espace maraichers dont les légumes sont en vente directe auprès des habitants, et ses magnifiques prairies, l'un des derniers poumons verts à proximité de Sarcelles, Garges et Arnouville ! 👉 Comme toutes les nouvelles routes, cette voie rapide provoquerait un afflux de trafic additionnel. Ce trafic induit augmenterait la circulation routière actuelle, phénomène démontré depuis les années 90 et reconnu par l'ADEME (1). Cette route s'engorgerait rapidement de camions circulant de la A1 à la A15, entre la zone d'entrepôts la plus grande d'IDF à Garonor et les entrepôts de Roissy qui viennent d'être agrandis (Fedex, DHL) à l'Est, jusqu'au port de Gennevilliers et le futur entrepôt géant "Green Dock" à l'Ouest. On estime le futur trafic entre 40 et 60 000 véhicules/jour minimum ! (source : enquête publique) 👉 En attirant plus de trafic, cette route 2X2 voies provoquerait une forte augmentation de la pollution atmosphérique et sonore. Alors que nous respirons trop de pollution et que nous sommes déjà sous les couloirs aériens de Roissy ! 👉 La santé de 10 000 enfants est menacée ! Une quarantaine d'écoles de la crèche au lycée sont situés le long du tracé du BIP. Un véritable scandale ! On sait désormais que les enfants sont les premières victimes de la pollution de l'air et que le bruit entraine des retards d'apprentissage. 👉 Le BIP augmenterait les émissions de CO2 ! Le passage progressif à la voiture électrique ne suffira pas à atteindre nos objectifs climatiques comme le montrent les études. Une réduction du trafic routier est nécessaire au profit de transports collectifs ou de mobilités actives comme le souligne le GIEC. Voilà pourquoi nous demandons l'abandon définitif de ce projet d'un autre siècle, conçu dans les années 30 😱 Depuis le monde a changé ! La biodiversité et le climat sont menacés, des routes ont été construites partout (près de 100 m2 par Français, plus que de surface habitable !), la mobilité doit être transformée et les habitants désirent une meilleure qualité de vie. La majorité des maires sur le tracé et la plupart des habitants sont opposés à ce projet. Nous souhaitons un projet alternatif d'avenir qui préserve ces espaces naturels ! ✊ Nous pouvons obtenir l'abandon définitif de ce projet si nous nous mobilisons ! Signez et partagez cette pétition ! (1) https://theconversation.com/pourquoi-supprimer-des-autoroutes-peut-reduire-les-embouteillages-17156212 267 sur 15 000 SignaturesCréée par Amis de la Terre val d’Oise et Collectif Vivre sans BIP
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Abandonnez le projet d’A31 bis !L’A 31 bis, pourquoi est-ce une très mauvaise idée ? 🚗🚗🚗 Ce projet est totalement inefficace et coûteux : dérouler du macadam réduira les bouchons juste un temps car cette autoroute, à nouveau attractive, verra son trafic augmenter et les bouchons revenir (1). 👩⚕️ Ce projet qui voudrait traverser des zones habitées denses, porte atteinte à notre santé - 40 000 décès / an (5000 décès en Grand-Est) sont dûs à une exposition aux particules fines (PM2,5), en partie issues des gaz d’échappement, pneus et freins. Cette exposition c’est aussi 8 mois d’espérance de vie en moins. (2) - 14 % des cancers du poumon , 24 % des AVC et 8 à 13 % des cancers du sein (5) sont liés à l’exposition à ces PM2,5. Le diagnostic d’asthme chez l’enfant augmente aussi de 50 % (6). - L’exposition à l’oxyde d’azote issue du trafic routier est quant à elle responsable de 7000 décès / an (7) et augmente le risque de cancer du sein de 9% - L’exposition au bruit favorise l’hypertension. 🚧 Ce projet bafoue les intérêts des utilisateurs potentiels C’est dix ans de travaux, donc dix ans de bouchons décuplés. À la fin, c’est l’évidence d’un péage en plus pour un gain de temps incertain. 🌎 Ce projet porte atteinte au climat et à la biodiversité Camions, véhicules particuliers utilitaires génèrent près de 30% des émissions de gaz à effet de serre en France. En favorisant l’augmentation du trafic routier, l’État va à l’encontre de l’Accord de Paris (2015) et des orientations de l’Union Européenne (2021) qui ont fixé à 40 % puis à 55 % la réduction globale des émissions GES d’ici 2030, et la neutralité carbone en 2050. Il est urgent de réduire nos émissions de gaz à effet de serre dès maintenant. Il est scandaleux d’envisager la traversée d’une forêt classée pour sa biodiversité. Plus les mesures contre le dérèglement climatique tardent plus les solutions seront pénibles et coûteuses. A-t-on d’autres choix ? Oui ! ✔️ Consacrons les 2 milliards € de l’A 31 bis dans ces alternatives plus réalistes, plus modernes, plus responsables et plus rapidement mises en œuvre ! 1. Faisons du Sillon lorrain un laboratoire européen des mobilités du 21° siècle, un modèle des transitions urgentes qui s’imposent à nous ! 2. Nous voulons un Réseau Express Métropolitain à haute fréquence, rapide, confortable, attractif qui nous fera oublier les TER actuels : le réseau existe ! 3. Nous devons repenser les mobilités rurales et créer des gares multi-modales (TER-auto-bus-vélo…) 4. Nous voulons que soient suffisamment taxés les poids-lourds pour rendre attractifs les transports ferroviaire et fluvial. Que la voie ferrée Lérouville-Longuyon soit consacrée au fret. 5. Que soient organisés et développés le co-voiturage et le télétravail 6. Repensons nos territoires pour réduire les nécessités de déplacements ✍️ Madame, Monsieur, si vous partagez notre analyse, merci de signer la pétition ! Sources : (1) https://theconversation.com/plus-de-capacite-routiere-plus-de-trafic-il-faut-revenir-a-la-loi-fondamentale-de-la-congestion-pour-mieux-la-combattre-124836 (2) https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2021/pollution-de-l-air-ambiant-nouvelles-estimations-de-son-impact-sur-la-sante-des-francais (3) European Society for Medical Oncology - septembre 2022 (4) https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/09/30/la-pollution-de-l-air-accroit-le-risque-d-avc-de-maladies-cardiovasculaires-et-de-deces_6143872_3244.html (5) https://www.atmo-france.org/actualite/correlation-averee-entre-pollution-atmospherique-et-cancer-du-sein (6) https://www.aphp.fr/actualite/liens-entre-asthme-et-pollution-le-point-sur-les-travaux-menes-lap-hp (7) https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/10/04/cancers-du-sein-une-nouvelle-etude-souligne-l-impact-de-la-pollution-de-l-air_6144410_3244.html10 443 sur 15 000 SignaturesCréée par Alternatives 31
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Les risques des trois grands projets d’aménagements routiers de La Manche• Des projets inutiles au vu de l’évolution démographique • Le trafic est en stagnation depuis plusieurs années sur les axes routiers concernés1. Ce constat reflète un taux démographique négatif sur l’ensemble de la Manche. La population du département est en diminution, qui plus est sa tranche active (15-64 ans) qui a diminué de 9% entre 2008 et 20192. Cette tendance ne semble pas près de s’inverser : « Si les tendances démographiques récentes se prolongeaient, le nombre de seniors manchois progresserait de 17 % d’ici à 2030 »2. De tels projets d’infrastructures apparaissent donc totalement inadéquats au regard des évolutions démographiques à venir. 1 DDTM 50 / 2 insee.fr • Un coût financier outrancier pour le contribuable • Les coûts de ces projets sont vertigineux : plus de 96 Millions d’euros pour l’axe Saint-Lô – Coutances (estimation 2021 que l’on sait d’ores et déjà largement sous-estimée), au moins 47 Millions d’euros pour la rocade Ouest de Cherbourg (estimation 2008). Par ailleurs, 69 Millions d’euros ont déjà été investis par le conseil départemental et la région Normandie pour les contournements de Marcey-les-Grèves et Sartilly (Axe Granville-Avranches). Sans compter les coûts liés aux compensations écologiques de ces travaux, ni l’augmentation majeure du prix de l’énergie et des matières premières qui induiront automatiquement des surcoûts considérables. Comment ne pas s’indigner de ces choix d’investissement d’argent public alors que la France traverse une crise économique et énergétique majeure et que les Français sont appelés à plus de sobriété ? • Des conditions de vie dégradées pour les habitants du territoire • La circulation de véhicules à 110 km/h près d’habitations, ce sont autant de nuisances auditives, visuelles, olfactives supplémentaires pour les habitants du territoire ! Sans compter la pollution de l’air qui sera aggravée par les vitesses autorisées sur les 2x2 voies ! • Des infrastructures aggravant les conditions de circulation • Paradoxalement, la création de nouvelles routes dans un réseau routier peut réduire la performance globale de ce réseau, lorsque les entités se déplaçant choisissent leur route individuellement (Paradoxe de Braess1). Cet effet concerne l’axe Saint-Lô-Coutances par exemple, dont la construction risque de renforcer l’effet goulot d'étranglement sur les 2 giratoires situés aux 2 bouts de l'axe, mais également sur la commune de La Chapelle - Belval. Sur l’axe Granville-Avranches, on risque de la même façon de voir s’accroître l’effet entonnoir aux principales sorties de cet axe en concentrant les automobilistes qui souhaitent emprunter la route la plus efficace. Un effet totalement contre-productif et de l’argent public d’autant plus gaspillé ! • Des projets en inadéquation avec la politique nationale de revitalisation des centres villes • Le renforcement des centres villes est prôné par les programmes politiques et notamment Petites Villes de Demain. L’urbanisation le long d’un nouvel axe ne paraît ni entrer en cohérence avec cette stratégie, ni être réalisable au regard de l’enveloppe foncière restante au niveau départemental. De nombreux bourgs et petites communes situées de long des axes routiers risquent de devenir des villages dortoirs. • Une fragilisation accrue de notre agriculture • Comment ne pas s’inquiéter également pour l’agriculture de notre département, territoire productif où l’on espère pouvoir consommer toujours plus localement. Les projets routiers sont très gourmands en consommation foncière et risquent de nuire à la production agricole du département, déjà fragilisée par les aléas climatiques en hausse et la conjoncture économique. Sur l'axe Saint-Lô – Coutances par exemple, pas moins de 85 exploitations agricoles, parmi lesquelles des terres bio et AOP, risquent d’être affectées par la parcellisation et l’artificialisation des zones agricoles. Une incohérence totale vu le contexte actuel de tension pour la sécurité alimentaire de notre pays. • Une aberration environnementale, des déséquilibres écologiques aggravés • Alors que la COP 27 se tient en Egypte, comment ne pas dénoncer le non-sens écologique de ces projets ! La construction de routes supplémentaires, ce sont autant de surfaces non végétalisées qui rendent encore plus difficile la résilience de notre environnement face aux étés caniculaires. Ce sont aussi toujours plus de faune et de flore saccagées par la bétonisation, toujours plus de zones humides détruites (250 concernées sur l’axe Saint-Lô-Coutances, zones essentielles pour la reproduction des amphibiens ainsi que pour les équilibres hydrologiques). Ce sont également des cours d’eau fortement impactés par un ruissellement plus important et une diminution de la possibilité d’infiltration de l’eau de pluie par les sols. Ce sont enfin des zones boisées encore plus morcelées, tel que le bois du Mingrey, dont les chemins d'accès des grands mammifères seraient impactés et qui déserteraient ce bois qu'ils affectionnent. Le collectif D972, l'association Agissons pour le climat Granville Terre et Mer et Extinction Rébellion Sud Manche se rassemblent aujourd'hui pour pour demander une vraie concertation citoyenne et trouver des solutions alternatives !889 sur 1 000 SignaturesCréée par Philippine B.
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La Roche-sur-YonNon à la rocade Sud de La Roche-sur-YonQuartier de Saint-André d'Ornay à La Roche-sur-Yon (Vendée), la densité du trafic pose problème. Mais la rocade Sud n’est pas la solution, au contraire : elle est un problème de plus et à l’heure de l’urgence climatique une aberration écologique ! Créer cette rocade ce serait : - saccager la Vallée de l’Ornay, sa faune et sa flore, sacrifier des terres agricoles, artificialiser des sols précieux et priver de tranquillité riverains, randonneurs et promeneurs - déplacer le problème - amener à brève échéance des pressions en termes d’urbanisation de la zone. Nous demandons l’arrêt immédiat des travaux engagés, au nom de l’urgence climatique et environnementale. Nous demandons par ailleurs que soit respecté et renforcé l’arrêté municipal interdisant la traversée de Saint-André d'Ornay aux poids lourds (sauf desserte locale). Nous demandons enfin que soient engagées une vraie réflexion sur la mobilité à l’échelle de l’agglomération de La Roche-sur-Yon, en y associant les habitant·e·s. Nous n’avons pas de planète B. NON au petit contournement sud de La Roche-sur-Yon, OUI à une solution alternative efficace et durable !695 sur 800 SignaturesCréée par Collectif Sauvons la vallée L'Ornay
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Saint-PéraySaint Péray : non au projet de déviationCette déviation ne réduirait pas les bouchons (1) o Augmentation du trafic routier : construire de nouvelles infrastructures conduit à augmenter à terme le trafic routier global et les nuisances qui vont avec : bouchons, bruit, pollution de l'air o Dépendance à la voiture : Cette nouvelle route nous enfermerait dans une dépendance à la voiture alors que l'essence va coûter de plus en plus cher ! Cette déviation est incompatible avec un avenir viable pour l’humanité o Augmentation des émissions de Gaz à effets de serre : Le transport routier est le premier secteur contributeur des émissions de gaz à effet de serre du territoire à l’échelle locale de la Communauté de Commune et à l’échelle nationale o Non-respect des engagements climatiques : A l’échelle nationale ce secteur contribue largement à l’échec de la France dans le respect de ses engagements climatiques (+2,2% par rapport aux objectifs 2019 pour le transport) o Quelles études pour envisager l'avenir ? Il n’existe pas d’étude publique permettant de rendre compte des émissions polluantes générées par cette infrastructure en intégrant l’évolution à prévoir du trafic routier Cette déviation détruirait le patrimoine de notre territoire o Sécurité alimentaire : Elle réduirait notre capacité de résilience alimentaire. Le tracé passe sur la plaine fertile de Saint Peray, des terres agricoles seraient artificialisées. o Destruction du vivant : Elle contribuerait à la destruction de la biodiversité et accentuerait encore le morcellement des espaces naturels dans un contexte d'extinction massive des espèces à l'échelle mondiale. En outre, cela irait à l'encontre de l'objectif national de zéro-artificialisation nette des sols (2). Ce projet de déviation illustre un manque de démocratie locale Cette déviation n'a pas fait l'objet d'un dialogue citoyen suffisant avec les habitants : très peu de réunions publiques, des élus considérant le projet comme "acté" avant le terme des procédures légales, etc. Lors de l’enquête publique une LARGE MAJORITÉ d’avis déposés par la POPULATION LOCALE étaient défavorables au projet se déviation d'après le rapport d'enquête publique. Aidons nos élus à dire STOP à ce projet du passé, NON à une déviation incompatible avec un territoire durable et agréable à vivre pour nous et nos enfants ! Pour suivre les actualités sur cette mobilisation vous pouvez aussi rejoindre la page Facebook https://www.facebook.com/Alternatives-%C3%A0-la-d%C3%A9viation-routi%C3%A8re-de-Saint-Peray-101214461819874/ et le site internet d'ALTERRE Nous travaillons avec les associations environnementales du territoire, notamment avec Frapna Drome Nature Environnement ! Pour des détails sur le projet de tracé : https://www.alterre-asso.org/index.php/details-sur-le-projet-de-deviation-routiere/ https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2024/10/Plan-deviation-Saint-Peray-.png (1) Ce phénomène a été étudié par Anthony Downs en 1962 et par de nombreux universitaires après lui. Quelques articles sur ce sujet https://theconversation.com/plus-de-capacite-routiere-plus-de-trafic-il-faut-revenir-a-la-loi-fondamentale-de-la-congestion-pour-mieux-la-combattre-124836 https://repository.upenn.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1087&context=real-estate_papers https://www.numerama.com/sciences/636929-climat-il-faut-arreter-de-construire-de-nouvelles-routes.html (2) : https://www.strategie.gouv.fr/publications/objectif-zero-artificialisation-nette-leviers-proteger-sols4 872 sur 5 000 SignaturesCréée par Association ALTERRE