• Se promener dans les forêts de Moselle toute l' année
    Permettre aux personnes et aux familles de se promener, faire de la randonnée, un sport dans les forêts de Moselle sans activité chasse toute l' année. Etre le premier département de France aux forêts entièrement dédiées aux Mosellans, aux visiteurs, au tourisme naturel et aux animaux de compagnie.
    81 sur 100 Signatures
    Créée par Myriam E.
  • REFUS D'IMPLANTATION D'UN 5ème POULAILLER BIO INDUSTRIEL SUR LA COMMUNE DE ST MARTIN DES BOIS (41)
    En effet, le 5ème permis de construire vient d'être accordé et donné sans aucune enquête publique préalable. Le quota maximal des animaux n'est pas atteint par la création de plusieurs sociétés. Cette concentration de bâtiments à l'entrée du village pose des problèmes et suscite des inquiétudes non solutionnées : 1/ La préservation de l'environnement (quid de l'épandage, de l'ammoniac présent dans les fientes des poules ?) 2/ La circulation des camions de livraison sur des routes non adaptées et traversant plusieurs villages (7 jours/7) 3/ Quel avenir pour le développement touristique de notre belle région ? 4/ Le bétonnage des terres agricoles 5/ La dépréciation de la valeur des biens immobiliers situés à proximité des installations est à prévoir (de l'ordre de 25%) 6/ La pollution visuelle 7/ La prolifération des nuisibles (rats, mouches avec les maladies vectorielles susceptibles d'être transportées) 8/ Un risque sanitaire élevé 9/ Les odeurs et les bruits générés (7 jours/7) 10/ Qu'est-ce que ce type de projet transmet comme image de l'Agriculture d'aujourd'hui ? 11/ La "conscience animale". Dans la charte des poules pondeuses bios, nous relevons la coupe du bec, la possibilité de 3 traitements antibiotiques en sus des vaccinations et traitements habituels .... A une époque où l’environnement et le bien-être animal sont des préoccupations majeures pour beaucoup d'entre nous, comment peut-on accepter ce genre de constructions et d’élevage ? MERCI à tous les signataires de cette pétition. Nous avons également créé une adresse mail permettant à des personnes pouvant nous aider concrètement de nous contacter : [email protected] Il devient essentiel d'arrêter de faire n'importe quoi et de faire les choses en conscience (pour notre planète, pour les animaux, pour ce que l'on va laisser derrière nous). Chaque lutte est importante, soyons la voix de ceux qui ne peuvent s'exprimer.
    208 sur 300 Signatures
    Créée par COLLECTIF DES RIVERAINS DE ST MARTIN DES BOIS ET MONTOIRE (41)
  • Sérignan : Si plus d'alternatives végétariennes à la cantine
    Cette campagne est importante pour moi car je suis flexitarienne et non pas végétarienne, même si j'aimerais beaucoup... Je suis forcée de manger de la viande chez mon père, j'ai parlé de mes idées et mes valeurs et je me suis opposée plusieurs fois à la consommation de viande qu'on m'obligeait d'avoir, en vain. Je n'ose plus le faire de peur d'être encore réprimandée, j'aimerais avoir le courage de continuer, c'est pourquoi je m'engage ici à faire en sorte que je puisse faire valoir ces idées au sein de l'établissement où je passe la plupart de mon temps et où je mange le plus souvent. J'ai envie de faire quelque chose contre la destruction grandissante de notre environnement et pour ces animaux qui meurent chaque jours et qui, pour la plupart du temps, se retrouvent à la poubelle... Aidez moi à faire entendre la raison et l'empathie qu'il y a en nous. Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). De plus, manger de la viande tous les jours augmenterait les risques de maladies cardiovasculaires. L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Chère équipe de cuisine et chef cuisinier du lycée Marc Bloch, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous aimerions que vous introduisez dès maintenant dans notre lycée : - Une alternative végétarienne équilibrée et de qualité pour tous les jours -Une diminution de viande dans les repas Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines, pourquoi pas Sérignan? OUI, Sérignan doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4
    156 sur 200 Signatures
    Créée par Grand C.
  • Maire de la ville d'Angers et Président d'Angers Loire Métropole : libérez-nous du tout-voiture !
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur Béchu, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
    447 sur 500 Signatures
    Créée par Suzanne M.
  • Limiter à 70 km/h la vitesse sur les rocades
    La vitesse est dépassée. Ce qui compte c'est notre santé et la planète! C'est une recommandation de la convention citoyenne pour le climat. C'est déjà mis en oeuvre à Lyon, à Rennes. Depuis le lancement de la campagne, malheureusement, un jeune homme de 21 ans vient d'être tué sur cette rocade alors qu'il était à pied.
    45 sur 100 Signatures
    Créée par Robert V.
  • Bergès : Nous voulons - de viande et de poisson, et de produits industriels
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Directrice du lycée Aristide Bergès - Morgane Ezanno, remplaçante de Mme Buer , il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Aristide Bergès ? OUI, le lycée Bergès doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4
    169 sur 200 Signatures
    Créée par Leelou 🔥. Picture
  • Dieppe : Nous voulons + de repas végétariens
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Proviseur du Lycée du Golf de Dieppe - M. Auberville, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Dieppe? OUI, Dieppe doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4
    79 sur 100 Signatures
    Créée par Natacha R.
  • Stop aux subventions et au développement de l'aéroport de Tours
    Alors que le secteur aérien représente plus de 7% de l’empreinte carbone nationale, que le trafic aérien double tous les 15 ans, que prendre l’avion pour effectuer un trajet au niveau national est au moins 40 fois plus polluant qu’utiliser le train, et que l'avion “vert” à hydrogène reste à ce jour une illusion, il est urgent de réduire le trafic aérien et d’opérer la transition du secteur pour avoir une chance de contenir le réchauffement climatique sous la barre des +1,5°C. Pourquoi est-ce important ? Notre collectif se mobilise en faveur de l’effort de réduction du trafic aérien. Aujourd'hui, 3 millions d'euros d'argent public sont dédiés à l'aéroport de Tours chaque année sur les budgets de la Région Centre-Val de Loire, du Département d'Indre-et-Loire et de la Métropole de Tours. Nous demandons : 1. La fin des subventions et autres avantages mis en place au niveau local ou national en faveur de l’aéroport Tours 2. L'abandon du projet d’extension de développement de l’aéroport de Tours (vols commerciaux et d'affaires) 3. La fin des vols Tours-Marseille et Tours-Londres pour lesquels des alternatives existent en train en moins de 5 heures et 30 minutes => source : https://www.oui.sncf/ 4. L'investissement prioritaire dans les alternatives comme le train, pour assurer le maintien des lignes ferroviaires locales et le développement de l’offre de trains de jour et de nuit et la rendre accessible à tou.te.s 5. L'accompagnement à la reconversion des salariés du secteur qui seront impactés (aéroport de Tours et autres entreprises du secteur aéronautique) Soutenir cette campagne locale, c'est demander plus de transparence sur l'utilisation des financements publics, c’est aussi demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tou.te.s, pour une société soutenable et juste. Nous ne manquerons pas de vous proposer des moyens d’action concrets dans les semaines à venir ! ANV COP21-Orléans ANV COP21-Tours Extinction Rebellion-Orléans Extinction Rebellion-Tours Grands Parents pour le Climat Touraine Greenpeace Tours Les Désobéissants-Tours Résistance Climatique
    2 694 sur 3 000 Signatures
    Créée par Gardons les pieds sur Terre
  • Non à l’autoroute urbaine de l’avenue d’Aix-les-Bains à Seynod
    Si on veut sortir de la logique du tout-voiture à Annecy, l’abandon de ce projet sous sa forme actuelle est essentiel. Avec le Pôle métropolitain Annecy-Chambéry, on peut s’attendre à une augmentation importante des échanges entre les deux villes et donc du trafic routier sur cette entrée d’Annecy, comme on peut s’attendre à ce que les véhicules de livraison des prestataires d’Amazon soient tentés de passer par là pour réduire les temps de parcours, sans oublier un trafic induit important que provoquera inéluctablement le doublement des voies. A noter que le tunnel sous le Semnoz serait venu également gonfler le trafic routier. L’abandon récent du projet est une raison de plus de demander la révision du projet de réaménagement de l’avenue d’Aix-les-Bains. Mais ne nous réjouissons pas trop vite, l’été 2020 a été marqué par des bouchons record autour du lac d’Annecy, dixit la présidente de l’agglomération du Grand Annecy, Frédérique Lardet, et ce serpent de mer peut ressortir un jour si le trafic routier continue d’exploser ainsi dans le bassin annécien. On doit aussi se mobiliser pour la préservation du cadre de vie et de la santé des habitants de Seynod où se concentrent déjà de trop nombreux axes routiers. On ne peut pas se satisfaire de se soucier à Annecy uniquement des bords du lac. L’enquête publique menée pour le projet LOLA (Liaison Ouest du Lac d’Annecy avec le tunnel sous le Semnoz) est à ce titre révélatrice de ce manque d’équité entre les différents quartiers d’Annecy et du Grand Annecy. L’étude d’impact s’est limitée aux deux rives du lac et a totalement ignoré l’autre côté du tunnel avec pourtant un trafic attendu de 25 000 véhicules supplémentaires par jour. Dans ce souci d’équité, le projet de réaménagement de l’avenue d’Aix-les-Bains doit faire l’objet lui aussi d’une enquête publique. Soutiens : Groupe local Greenpeace d'Annecy Le collectif Moins d'Autos Plus de Vélos à Annecy est récent et ne demande qu'à grandir. Il est ouvert à tout citoyen souhaitant s'investir dans cette mobilisation. Le soutien d'associations ou de collectifs est également le bienvenu. N'hésitez pas à nous contacter à [email protected] .
    411 sur 500 Signatures
    Créée par Moins d'autos plus de Vélos à Annecy
  • Stop à l'implantation d'un entrepôt géant d'Amazon à Petit Couronne ! Ni ici ni ailleurs...
    Un entrepôt de 160 000 m2, 330 000 colis par jour, un flux quotidien de 1000 à 3000 poids lourds. Et cela, rien qu'ici ! Actuellement plusieurs projets du même type sont en cours en France. Alors que la crise sanitaire creuse les inégalités et détruit notre économie, Amazon et son patron Jeff Bezos, la plus grande fortune mondiale, profitent de la situation. Amazon a la folie des grandeurs, mais à quel prix ? Les géants du e-commerce fraudent massivement en évitant par exemple la TVA, ce qui crée une concurrence déloyale avec les autres commerces et représente un manque à gagner de 1,5 Milliard par an, soit le montant du déficit de l'hôpital public ! En trichant, Amazon menace la survie des commerces de proximité, déjà durement impactés par la crise sanitaire. En moyenne, pour un nouveau poste créé, l’entreprise détruit 4 emplois dans les autres filières du commerce. Les promesses d'embauche sont trompeuses, car la plupart des emplois promis seront de courte et/ou très courte durée lors des pics d'activité, et l'entrepôt géant sera probablement automatisé dans les 5 ans suivant sa construction. Amazon encourage la surproduction et la surconsommation, alors que l'urgence climatique nous demande de réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Cela n'est pas cohérent avec les objectifs de la France fixés par la signature de l'Accord de Paris ! Ce projet met en danger les habitant.e.s de notre Métropole. Les pompiers ont rendu un avis défavorable sur cet entrepôt, en concluant à une "incapacité opérationnelle à agir" en cas d'incendie. Un an après la catastrophe de Lubrizol, il n'est pas responsable de laisser s'installer près de nos villes une entreprise qui ne protège ni ses salarié.e.s, ni les habitants autour. Voici le monde selon Amazon. Et ce n'est pas le monde dont nous voulons ! ➡️ Nous devons empêcher l’expansion du groupe Amazon en luttant contre son installation dans la Métropole Rouennaise. Nous disons NON à la construction de cet entrepôt qui aura des conséquences désastreuses pour notre économie locale et pour le climat. Rejoignez le combat en signant cette pétition ! Pour plus d'infos : https://www.amisdelaterre.org/campagne/amazon-surproduction/
    687 sur 800 Signatures
    Créée par Stop Amazon 7 6. Picture
  • Lille - Monsieur Castelain : libérez-nous du tout-voiture !
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur le Président de la Métropole Européenne de Lille , il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la MEL, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
    780 sur 800 Signatures
    Créée par Groupe local Greenpeace de Lille
  • Non au projet de carrière à Mazaugues ! Non à la pollution de la plus grande réserve d'eau du Var !
    Dans le Var, à Mazaugues, l’entreprise Provence-Granulats tente depuis 15 ans d'imposer un projet de carrière et de broyage de roche. 4 raisons capitales motivent notre opposition : 1. Sous ce projet de carrière se trouve une immense réserve d’eau souterraine, classée «Stratégique pour l’Alimentation en Eau Potable»(1) et qui alimente déjà plus de 500.000 habitants du Sud du Var. C’est le plafond rocheux de cette réserve d'eau souterraine que veut exploiter le carrier. Or, il présente un Risque Majeur d’Effondrement Généralisé(2). Ainsi, une carrière en ce lieu risquerait de s'effondrer, emportant avec elle engins et produits chimiques dans cette masse d'eau essentielle pour le Var et son avenir. 2. Située au cœur du Parc Naturel Régional de la Sainte Baume en site Natura2000, cette carrière détruirait des espèces protégées au niveau national(3) et européen(4). Elle détruirait notamment un des groupes biologiques connaissant le plus fort déclin en France et en Europe ces dernières années - les chauves-souris - en perturbant un gîte pourtant classé d’importance régionale par le PRAC(5) ( plus de 100 chauves-souris de 13 espèces différentes y ont été inventoriées). De plus, elle pourrait impacter gravement les sources du Caramy, une des dernières rivières sauvages du Var, classée en 1ère catégorie. 3. Comble du scandale, cette carrière serait exploitée à l'intérieur même du PPRT(6) d'une usine d’explosifs(7) classée SEVESO 2 - comme Lubrizol et AZF - et stockant du nitrate d’ammonium (le produit qui a explosé à Beyrouth). Or, à ce jour, aucune étude n'a été faite sur le risque de co-activité "usine d'explosifs + carrière". Il semble pourtant évident que l'utilisation de dynamites dans une carrière située à quelques mètres d'une usine d'explosifs présente un danger réel et immanent pour la population ! 4. Enfin, cette carrière est un déni de démocratie. Elle est imposée aux citoyens par le Préfet du Var, contre l'avis des habitants, contre l’avis des associations environnementales, contre l’avis unanime des maires de tous bords politiques qui ont voté leur opposition(8), contre la volonté du Département du Var. Il est urgent d'agir, nous craignons un début de travaux imminent ! Ensemble, continuons à faire barrage contre ce projet désastreux ! (1) 7 milliards de litres ; Étude Schéma Rhône-Méditerranée (2) Risque maximum ; Étude Geoderis 2015 (3) ex : psammodrome d'Edwards (reptile) (4) ex : la magicienne dentelée (orthoptère) (5) Plan Régional d'Action pour les Chiroptères (6) Périmètre de Protection des Risques Technologiques (7) Entreprise Titanobel SA (8) 28 maires ont voté en 2019 leur refus quant à cette carrière lors de la "Motion pour la préservation de la ressource en eau" de la Communauté d'Agglomération de la Provence Verte et du Parc Naturel Régional de la Sainte Baume.
    9 096 sur 10 000 Signatures
    Créée par Collectif Anti Carrière de Mazaugues Var