• Non à la bétonisation du Vallon du Salut !
    La création d’un nouveau lotissement risque de défigurer le Vallon du Salut (Bagnères-de-Bigorre), site exceptionnel. Le vallon du Salut est un lieu privilégié de promenade des Bagnérais et Bagnéraises ; de nos hôtes (familles, amis, touristes, curistes). Salut, les allées Maintenon sont un lieu partagé, intergénérationnel, où tous les genres se croisent, ouvert à toutes et tous. Il abrite une faune et une flore très riches ainsi que le CPIE Bigorre-Pyrénées et le conservatoire Botanique National Pyrénées. La construction de 10 pavillons au cœur de ce site exceptionnel est de nature à porter atteinte à sa beauté et à son calme. Nous avons la chance d’avoir ce site exceptionnel à deux pas de la ville, n’est-il pas important de le conserver en l’état pour le bien-être et le repos de toutes et tous ? L’étroitesse des voies reliant le centre ville au vallon du Salut et aux lotissements qui le jouxtent ne permet pas de supporter l’augmentation d’une circulation déjà problématique. Alors qu’on se penche sur les mobilités pour un meilleur partage des espaces, on accentuerait un point noir déjà connu ! Nous désirons des accès partagés et sécurisés pour tous, pas un accroissement des problèmes existants. Le permis d’aménager N° PA 065 059 22 00001 déposé le 7 février 2022 au service urbanisme de Bagnères-de-Bigorre est une atteinte à ce site remarquable. Alors que l’on s’achemine vers une révision du PLUi (plan local d’urbanisme intercommunal) de Bagnères-de-Bigorre dans les années à venir, la répétition des problèmes et des résistances liées au Vallon de Salut et ses abords devraient inciter les services d’urbanisme et les élu-es à une position d’attente en refusant tout nouveau projet. Nous appelons la population à dire NON à cette construction qui nuira fortement à notre environnement et à la qualité de ce site exceptionnel. Soyez nombreux à signer la pétition, à nous rejoindre pour conserver l’intégrité du site.
    1,432 of 2,000 Signatures
    Created by La Voix Verte Picture
  • C'est Vachement mieux d'avoir le choix
    Depuis plusieurs années, les parents avaient le choix d'accepter ou non que leur enfant mange de la viande à l'école. Après un changement d'organisation, cela n'a plus était possible. Nous l'avons découvert à travers nos enfants. Aucune communication faites à ce sujet. Nous souhaitons pas de politisation du sujet. Que se soit pour des raisons de santé, religieuses, des convictions personnelles, pour la planète où simplement par choix. Nous disons Non à la viande obligatoire dans l'assiette de nos enfants. Déjà mis en place en crèche ou en élémentaire, purquoi l'imposer aux enfants de maternelle?! Certains parents on dut retirer leur enfant de la cantine. Le fossé se creuse entre la mairie et les familles. Nous avons un droit de regard sur l'éducation de nos enfants en milieu scolaire. Comment investir les parents dans la co-éducation école /famille quand on nous ferme les portes. Nous souhaitons avancer ensemble pour le bien de la communauté. Nous souhaitons que les viandes ne soient pas imposées dans l'assiette de nos enfants dès la rentrée 2022-2023. Bien évidemment c'est Vachement mieux sans viande !
    137 of 200 Signatures
    Created by Nabila H.
  • Sanctuarisons les terres agricoles : disons stop au béton !
    Le chiffre est désormais connu : l'équivalent d'un département français disparaît tous les 8 ans sous les coups des pelleteuses et bétonneuses. Cette urbanisation galopante ne peut pas être imputée qu’à l’augmentation de la population : depuis les années 1980, l’urbanisation augmente trois fois plus vite que la population, faisant de la France un des pays européens qui bétonne le plus frénétiquement son territoire. L’Île-de-France fait ainsi office de mauvais élève en urbanisant 590 hectares par an. Une région dans laquelle sommeillent pourtant 4 200 hectares de friches. Le dernier rapport de Terre de liens montre que cette dynamique se poursuit dangereusement. Malgré les engagements politiques nombreux, l’urbanisation s’étend partout et accroît la vulnérabilité des territoires : fragmentation des paysages, destruction des écosystèmes et de leurs services associés, destruction des emplois agricoles, vulnérabilité accrue aux catastrophes naturelles (inondations, canicules/sécheresses, pollutions, etc.). La dépendance alimentaire française a doublé en 20 ans pendant que les terres agricoles subissent les ⅔ de l’urbanisation : continuer à urbaniser ces terres, c’est éloigner toujours plus la perspective de notre sécurité alimentaire. Notre résistance aux effets du changement climatique et aux crises géopolitiques passe par la sanctuarisation immédiate de cette précieuse ressource. Bétonnés par les aménageurs qui y voient uniquement une ressource foncière à valoriser, les sols sont pourtant le socle de la vie : ils abritent en leur sein un quart des espèces vivantes sur notre planète et permettent le développement de toutes les espèces faunistiques et floristiques terrestres. Ils sont également essentiels aux cycles biogéochimiques : 3ème puits de carbone au niveau mondial, ils jouent un rôle majeur dans la régulation du climat, l’amélioration de la qualité de l’eau et de l’air ainsi que la réduction des pollutions. Enfin, ils ont un rôle prépondérant pour faire face aux catastrophes naturelles : alors qu’1m3 de sol poreux peut contenir entre 100 et 300 litres d’eau, l’imperméabilisation les prive de leur capacité de rétention, démultipliant le risque et les conséquences des inondations. Le rapport du GIEC nous rappelle que la planification urbaine est un outil majeur pour la mise en place d’un développement résilient, au lieu de la bétonisation déraisonnée qui a cours sur notre territoire. Préserver les terres naturelles et agricoles au sein de systèmes agroécologiques, c’est permettre à la biodiversité de s’épanouir, réduire les risques environnementaux et générer des bénéfices pour la santé physique et mentale. Ces espaces nourrissent notre culture et font partie de notre patrimoine commun. Si la loi climat et résilience a entériné l’objectif du zéro artificialisation nette en 2050, cet horizon déjà trop lointain est pourtant menacé par la mobilisation des lobbys du secteur de la construction. Ceux-ci demandent une dérogation permanente à l’encadrement de l’urbanisation, à l’occasion de la publication des décrets d’application. Nous demandons aux élus de ne pas céder aux pressions ! De silencieux, nos printemps sont en passe de devenir complètement artificiels. Il y a urgence, alors que les prochaines semaines se tiennent les élections législatives, signez pour demander leur sanctuarisation !
    5,780 of 6,000 Signatures
    Created by France Nature Environnement Ile de France Picture
  • Stéphane Hessel : initiative pour une option végétarienne a la cantine
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Stéphane Hessel, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE
    119 of 200 Signatures
    Created by July H.
  • Saint-Gaudens : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Saint-Gaudens n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Jean-Yves Duclos, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Saint-Gaudens ? OUI, Saint-Gaudens doit être exemplaire. Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    85 of 100 Signatures
    Created by sandra g.
  • Ne salez pas trop le label bio !
    Dans un contexte où les problèmes du moment noient le citoyen sous des urgences multiples, nous ne devons pas baisser les bras. Chaque sujet compte et le dévoiement du label bio est un danger aussi important que tous les autres qui menacent notre environnement. Si la commission européenne avalise ce projet, quelle confiance pourrons-nous apporter dans l'avenir à ce que nous consommons en le pensant bio ? Plus largement, quelle confiance pourrons-nous apporter à n'importe quel label ? En effet, qui nous dit que cet élargissement ne deviendra pas un précédent pour en dévoyer d'autres et ainsi faire la part belle à certains industriels et à leurs lobbies ? Il est urgent de réagir : apportez votre soutien à cette pétition !
    106 of 200 Signatures
    Created by Christine C.
  • Stop à la faim du mois !
    Des millions de personnes en France sont contraintes de s’alimenter en ayant recours à l’aide alimentaire. En 2020, elles étaient ainsi près de sept millions [1]. Dans la 6e puissance économique mondiale, le droit à une alimentation saine et sans risque est bafoué pour les catégories les plus pauvres de la population. Faute de budget, elles n’ont pas la possibilité de se nourrir dignement, en quantité suffisante et de manière adaptée à leurs besoins nutritionnels et leurs convictions personnelles. Cette précarité alimentaire frappe notamment les plus jeunes, étudiant·es ou non, qui représentent 50% des bénéficiaires des repas servis par Les Restos du cœur [2]. Comment vivre dignement lorsque se nourrir s'apparente à une épreuve de survie ? C’est un drame social, mais aussi sanitaire et environnemental qui se joue. Ce sont en effet les personnes les plus précaires qui sont celles qui présentent le plus de risques de développer des maladies fortement liées à l’alimentation comme l’obésité, le diabète ou certains cancers. Garantir le droit à l’alimentation revient à résoudre un grave problème de santé publique. Assurer un droit à l’alimentation permettrait également de contribuer à la nécessaire transformation de notre système alimentaire et agricole. Donner à chaque personne les moyens de manger des produits sains et durables, c’est assurer des débouchés à une agriculture locale et respectueuse du vivant, favorisant ainsi les activités agricoles vertueuses sur l’ensemble du territoire français. C’est un levier puissant pour développer des systèmes alimentaires résilients, équitables et intensifs en emplois. Pour remédier à la précarité alimentaire, nous demandons aux responsables politiques de se saisir de cette question de toute urgence. Deux mesures fortes et structurantes s'imposent aujourd'hui au sein des débats scientifiques, politiques et associatifs relatifs au droit à l'alimentation, et doivent être discutées de manière prioritaire par l'ensemble des candidats à l'élection présidentielle : Pour les étudiants et les étudiantes, assurer un accès à des menus sains et durables et la mise en place d’une tarification sociale des repas dans l’ensemble des sites d’enseignement supérieur. Cette mesure inclut la mise en place de repas à 1€ et elle doit être financée par l’Etat. En effet, sans soutien de ce dernier, elle pourrait s’avérer contreproductive en entraînant une baisse de la qualité des menus servis et une précarisation des contrats pour compenser la réduction des prix de vente. Pour l’ensemble de la population, le développement d’une Sécurité sociale de l’alimentation. Tout comme la santé individuelle est prise en charge de façon collective, la sécurité sociale de l’alimentation donnerait à chaque personne la possibilité de s’acheter, grâce à une allocation de 150 euros par mois, des produits alimentaires dits “conventionnés”. Le but : donner à chacun et à chacune les moyens économiques de se nourrir avec des produits alimentaires sains et durables. Il est inacceptable qu’en France, des millions de personnes soient frappées par la précarité alimentaire. Les responsables politiques doivent agir pour y mettre fin ! Organisations signataires : Collectif pour une Sécurité Sociale de l’Alimentation, L'Alternative, Les amis de la Conf*, BelleBouffe, Réseau CIVAM*, Crisalim, Déclic, FAGE, Greenpeace France, ISF-Agrista*, Let’s Food, RESES, Sillage, Solidaires étudiant-e-s, UNEF, VRAC*, Association Végétarienne de France * Associations membres du collectif pour une Sécurité Sociale de l’Alimentation qui signent en leur nom. [1] Etude du Secours Catholique "Etat de la pauvreté en France", 2021. [2] Selon les chiffres du Sénat.
    23,046 of 25,000 Signatures
    Created by Les organisations signataires
  • Consommer mieux pour soi, l'environnement et les animaux.
    Aujourd'hui la cantine du lycée propose 2 types de viandes différentes midi et soir (internat). Sur les 10 repas servis en semaines, seuls 2 sont sans viande, qui est remplacée par du poisson... Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). En effet, l'industrie de la viande est responsable de 70% de la déforestation mondiale et 80% de la forêt amazonienne. Or, il est primordial de rappeler que les forêts sont nos principales barrières contre le réchauffement climatiques, les pandémies, la survie de la faune et la flore ainsi que celle des populations locales. C’est aussi un problème pour notre santé (2). La consommation de viande augmentent les risques cardio-vasculaires, les risques de diabète, cholestérol, cancers... De plus, réduire notre consommation de viande, c'est aussi sauver des vies animales. Nous, élèves du lycée Masséna, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous et toutes végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’options végétariennes ( sans viandes ni poissons ) quotidiennes équilibrées et de qualités, accessibles à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ces menus végétariens offriront la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique et la cause animale. L’instauration de ces menus végétariens quotidiens auront des effets positifs sur le climat (3), la santé des élèves et pour la cause animale, et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter un menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE
    194 of 200 Signatures
    Created by Margot J.
  • MONTAUBAN : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). MONTAUBAN n'échappe pas à ce constat. Aujourd'hui, un seul repas végétarien est proposé à la cantine, et parfois même, on trouve de la viande dans l'entrée ET dans le plat principal ! Or, la surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Nous, citoyens montalbanais, parents d'élèves, vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Montauban ? OUI, Montauban doit être exemplaire. Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité.
    68 of 100 Signatures
    Created by Stéphanie
  • Sauvons le jardin partagé Tant qu'on sème à Montreuil (93100) avant qu'il ne finisse bétonné !
    Vous aimez la nature ? Ça tombe bien, nous aussi ! Nous, nous sommes les adhérent.e.s et membres de l'association Tant qu'on sème qui gère le jardin partagé de 250 m2, situé au 26 rue Paul Bert, à l'angle de la rue Étienne Marcel dans le quartier du Bas-Montreuil, à Montreuil, Seine-Saint-Denis (93100). Tant qu'on sème est une association multigénérationnelle, multiculturelle et de diverses classes sociales, notamment pour les plus défavorisé.e.s, le jardin ne représente pas seulement le plaisir de cultiver des fruits et légumes sans pesticide ni engrais chimique, mais aussi de pouvoir les consommer gratuitement. Cette année, le jardin a pris un nouvel envol grâce à l'investissement de chacun.e des jardinier.ère.s qui l'entretient jour après jour. Il n'a jamais été aussi beau, car cela va faire 8 ans maintenant que la faune s'y développe et la flore y pousse, repousse, que la nature s'y épanouie. Des arbres ont poussé : figuier, saule pleureur, frêne, ailanthes - les seuls arbres d'ailleurs dans la rue Paul Bert - et ils nous saluent de loin amicalement. Ce jardin fait aussi le bonheur des personnes qui passent à côté et qui s'arrêtent pour le regarder, voire pour nous parler bien souvent. Il est un îlot de fraîcheur quand l'asphalte brûle, il est le refuge d'oiseaux, de papillons, d'abeilles et autres insectes... On n'y cultive pas uniquement la terre mais aussi le lien social, la solidarité, on y échange nos connaissances des plantes et c'est un endroit où nos enfants ont l'occasion de jouer dans une cabane en bois : le rêve de tous les enfants à ce que l'on dit ! Et c'est aussi cette année que la Soreqa, propriétaire du terrain depuis 2015, annonce la vente du terrain à un promoteur immobilier pour octobre 2022, date à laquelle nous devrions normalement libérer le terrain. Nous le savions que cela devait arriver un jour évidemment ! le jardin étant sous convention d'occupation gratuite temporaire. Même s'il y a un nouvel espace vert prévu, pas très loin, au plus tôt pour 2026 - mais c'est dans si longtemps ! - quelques un.e.s parmi nous, tel.le.s des irréductibles Gaulois.e.s pensent que ça serait vraiment un malheur que ce jardin soit détruit, pas que pour nos petites parcelles, mais pour la rue, pour le quartier, pour la biodiversité, pour le changement climatique... ça va loin ! Est-ce vraiment nécessaire d'abattre tous ces arbres, de détruire ce jardin, de bétonner - alors qu'il y a déjà tant de nouvelles constructions dans le quartier et la ville - de bâtir un immeuble de 3 étages sur ce petit terrain végétalisé, ce petit écrin de biodiversité dans un quartier sans verdure ? Surtout à l'heure où la politique locale encourage l'écologie ! L'air du temps va contre l’artificialisation des sols et la bétonisation, alors allons-y ! Arrêtons le temps, tentons d'annuler ce projet immobilier, défendons nos valeurs de respect de la nature et du mieux vivre ensemble, et sauvons le jardin partagé Tant qu'on sème ! Mais seul.e.s on n'y arrivera pas, on a besoin de vous, de votre énergie, votre enthousiasme, vos contacts, vos réseaux, vos idées, votre participation, bref, votre soutien. Merci de nous soutenir en signant cette pétition !
    5,344 of 6,000 Signatures
    Created by Association Tant qu'on sème
  • Initiative pour une option végétarienne quotidienne à la cantine du lycée / CPGE
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Pierre de Fermat, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE
    277 of 300 Signatures
    Created by Maxence M.
  • Lycée Auguste Brizeux : Initiative pour une option végétarienne à la cantine !
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Auguste Brizeux, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE
    129 of 200 Signatures
    Created by Elèves du lycée