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Saint Brieuc : Stop au gaspillage énergétique !⚡Ce n'est pas qu'aux citoyen.ne.s et aux catégories les plus fragiles de se mobiliser ou bien de se restreindre. ⚡À l’aube de l’hiver et face à cet impératif de sobriété énergétique, la mise en application concrète des mesures rapides sont à prendre face à la pression publicitaire. Les panneaux de publicité dans l’espace public, servant uniquement des intérêts purement économique,participent à l'effondrement de la biodiversité. De plus ils encouragent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡Un cadre légal existe. Le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin. Il est non seulement mal appliqué, mais en plus largement insuffisant. Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*. Laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! ⚡Nous, habitantes et habitants de Saint Brieuc Agglomération demandons expressément la mise en place des mesures suivantes : - L’extinction permanente ou la suppression des panneaux lumineux et écrans publicitaires, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés. ⚡Pour le climat et pour nos factures d’électricité, SAINT BRIEUC ARMOR AGGLOMERATION se doit d’être exemplaire, en ajustant le règlement local de publicité intercommunal (RLPI) pour être à la hauteur de ces enjeux. De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Il est temps pour notre agglomération de s’inscrire dans cette logique et mettre en place ces solutions évidentes ! ⚡A l’heure où nous sommes appelés, collectivement et individuellement, à faire des efforts, il est inimaginable que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. La force publique sait être réactive. Elle nous l’a prouvé lors de la crise sanitaire. Peut-elle se montrer aussi exigeante face à l’ urgence sociale et climatique et éviter de se faire à nouveau condamner pour inaction climatique ? Campagne lancée par : Extinction Rébellion Saint Brieuc, Langueux en Transition, Attac22, Youth for climate, Urgence Climatique Armor, VIVARMOR (0698393611), Paysages de France 22 Sources : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer) **L'effondrement de la biodiversité a été documenté par les naturalistes qui ont réalisé l'atlas de la biodiversité de St-Brieuc649 sur 800 SignaturesCréée par Extinction Rebellion Saint Brieuc, Attac22, YFC Saint Brieuc, le KIKAFEKOI, Langueux en transition, Vivarmor, Urgence climatique Armor et Paysages de France 22
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Grand Chambery : Pour une réglementation des publicités respectueuse de l'environnement !Pour les prochaines années, souhaitons-nous voir au bord des routes et à tous les coins de rues de Grand Chambéry des publicités : - envahir notre espace visuel, hypnotiser sans notre consentement les adultes et à fortiori les enfants ? - nous inciter à consommer, en véhiculant souvent des stéréotypes racistes, sexistes, grossophobes ? - laisser la part belle aux multinationales et délaisser les petits commerçants ? 📆 Le projet de Règlement Local de Publicité intercommunal (RLPi) doit être finalisé en décembre, c’est donc le moment pour nous faire entendre ! Ne laissons pas passer l’occasion ! Ce document aura un impact décisif sur les paysages et cadre de vie des habitants : en collaboration avec les élu.e.s qui sont aux manettes, les citoyen.ne.s, associations, commerçants, ont le pouvoir d’agir sur la quantité, la localisation et la taille de panneaux. Notre collectif de citoyen.ne.s et d’associations (liste ci-dessous) souhaite un territoire libéré de la publicité. Nous avons 8 demandes : 1️⃣ Pas de dérogation au Règlement National de Publicité, alors que cela est prévu actuellement, en particulier autour des monuments historiques, 2️⃣ Interdiction des enseignes et publicités numériques et des publicités lumineuses, 3️⃣ Limitation de la taille maximale des publicités à 2m2 et de la distance entre deux panneaux à 160m 4️⃣ Simplification du zonage et des règles du RLPi, pour faciliter la compréhension et l’application du RLPi, ainsi que le contrôle de la conformité des publicités, 5️⃣ Instauration d’une zone blanche autour des établissements éducatifs et culturels, pour protéger les enfants et les jeunes des impacts de la publicité, 6️⃣ Interdiction des publicités commerciales sur les abris urbains destinés au public, 7️⃣ Harmonisation des règles pour les enseignes entre les centres-villes et les autres zones, 8️⃣ Pas de dérogation pour les enseignes et publicités temporaires. L’ensemble de ces mesures rejoint la proposition 2.2 de la Convention Citoyenne pour le Climat dans : « Interdire les panneaux publicitaires dans les espaces extérieurs, hors information locale et culturelle, ainsi que les panneaux indiquant la localisation d'un lieu de distribution » et permettrait de s’aligner sur la sobriété demandée aux citoyennes et citoyens. 🌳 Ces mesures permettront de réduire les incitations à la surconsommation et à l’épuisement des ressources naturelles. 🩺Elles doivent aussi protéger nos citoyens et leur santé, en limitant les distractions au volant et les troubles de la mémoire, du sommeil ou de l'attention liés à l’exposition aux écrans et à certains messages publicitaires, comme le préconise l’Agence Nationale de la Sécurité Sanitaire et le Haut Conseil de la Santé Publique1. 🏔 Elles protégeront notre cadre de vie en embellissant les centres-villes et les portes d’entrées de notre territoire, en cohérence avec le projet de Grand Chambéry de développer un tourisme intégré et respectueux de la vie locale et des patrimoines. 🦋 Ces mesures protègent par ailleurs notre environnement en réduisant la pollution lumineuse, comme le préconisent le ministère de l’Environnement et l’Office Français de la Biodiversité2. En effet, la pollution lumineuse provoque le dérèglement des rythme de vie des espèces animales, la perturbation des déplacements des espèces et la fragmentation des milieux naturels. 💡 Cela réduirait de plus la consommation d’électricité et le risque de tension sur le réseau électrique. L’extinction des publicités est prévue à titre exceptionnel par la loi3 et soutenue par l'entreprise gestionnaire du réseau public de transport d'électricité (RTE)4. M. Gamen, Mme Wolff, respectivement en tant que Président de Grand Chambéry et Vice-présidente chargée de l'urbanisme et du droit des sols, nous vous demandons de traduire dans le RLPi les messages que vous portez de vos administré.e.s. En effet, vous incitez les habitantes et les habitants de Grand Chambéry à apposer un autocollant « stop pub – oui aux publications des services publics » sur nos boites aux lettres. D’ailleurs, grâce à cet autocollant, nous avons reçu le dernier Cmag dans nos boites aux lettres, où nous pouvons y lire ces mots de Philippe Gamen : « Nous sommes un territoire naturellement surprenant, où il fait bon vivre et travailler », et surtout, « nous souhaitons le rester. » La cohérence des politiques publiques impose de poursuivre cette logique dans le RLPi en limitant drastiquement la publicité sur notre territoire. Ce serait une mesure claire de votre ambition et de votre engagement environnemental! Nous comptons sur vous ! Pétition soutenue par les associations et collectifs suivants : Greenpeace Chambéry, Conscience et Impact Ecologique Savoie, Amis de la Terre 73, Attac Savoie, Extinction Rebellion Chambéry, Alternatiba Savoie. Pour plus d'infos sur le RLPI : https://www.grandchambery.fr/3400-reglement-local-de-publicite-intercommunal-rlpi.htm 1 Source : https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=1000 2 Sources : https://www.ofb.gouv.fr/actualites/un-nouvel-indicateur-pour-mesurer-la-pollution-lumineuse et https://www.ecologie.gouv.fr/pollution-lumineuse 3 Article D143-2 du Code de l’environnement 4 Source : https://assets.rte-france.com/prod/public/2021-12/Bilan-previsionnel-2019-rapport.pdf1 261 sur 2 000 SignaturesCréée par Greenpeace Chambéry
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Non au bitumage du chemin vert de EuLors d’un entretien avec Eddie Facque, président de la CCVS, nous avons eu confirmation que l’aménagement du chemin vert du Petit Caux aurait bien lieu. Estimés à un peu moins de 2 millions d’euros, les travaux – semblent-ils subventionnés à 80% par l’Etat, la région Normandie et le Département de Seine-Maritime – comprennent l’élagage et la coupe des arbres et buissons, la restauration des ouvrages d’art, la réalisation d’une bande de bitume de 3 mètres de large – entraînant l'élargissement du chemin à 6 mètres minimum – sur 7 kilomètres et, en principe, la plantation d’arbres en lieu et place de ceux qui auront été abattus. Nous avons redit au président notre opposition à cette hérésie et mis en avant les presque 7000 signatures enregistrées à ce jour de citoyens s’opposant eux aussi à ce désastre. Nos arguments, tant environnementaux que financiers, n’ont reçu aucun écho. Nous vous invitons à nous retrouver le samedi 19 novembre à 14h30 à l’entrée du chemin vert, à Eu. Venez nombreux, en famille, à pied, en vélo, à cheval…pour marquer à nouveau votre opposition à ce projet contre nature !!144 sur 200 SignaturesCréée par Sarah G.
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Greenpeace Narbonne et XR Carcassonne s'allient pour dire Stop au gaspillage énergétique !A l’heure où nous sommes appelés, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ❌ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme l’équivalent en moyenne des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*. Laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. 🛑 Narbonne doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. Nous demandons : 👉 L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin 👉 L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin 👉 L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés 👉 Une meilleure gestion de l’éclairage public 👉 L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le bon sens d’une sobriété choisie et responsable. 👉 Narbonne aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)208 sur 300 SignaturesCréée par Greenpeace Narbonne et Extinction Rebellion Aude
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Vannes : Stop au gaspillage énergétique !À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)367 sur 400 SignaturesCréée par Extinction Rebellion Vannes
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Valenciennes : Stop au gaspillage énergétique !⚡️ À l'heure où l'on nous appelle à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries et diminuer les émissions de gaz à effet de serre, il est incompréhensible que perdurent autant de gaspillage d’électricité et de pollution lumineuse dans nos villes. Les efforts de sobriété ne doivent pas reposer que sur les individus, ce serait injuste mais aussi incohérent car insuffisant. À Valenciennes, la facture de la commune pour l'électricité, le gaz et l'eau va passer de deux à onze millions d’euros. ⚡️ La première réponse du maire M. Degallaix a été d'annoncer la fermeture de salles de sport municipales. Il est revenu sur cette décision face à l'indignation des habitant-es. Il s'agirait d'un "coup de com'", d'une "connerie" calculée, assumée par le maire [1] [2]. 🌟 Fin octobre, M. Degallaix a envoyé un courrier invitant les commerçant-es à éteindre leur vitrine et enseigne aux horaires de fermeture, leur demandant ainsi d'aller plus loin que le cadre légal [3]. Initiative louable, mais ... ⚡️ INCOHÉRENCE N°1 : L'éclairage public La municipalité de Valenciennes est elle-même à l'origine de nombreux dispositifs lumineux décoratifs, qui contribuent au gaspillage énergétique et à la pollution lumineuse de plus en plus massive et les banalisent. L'éclairage public de la ville n'est ni sobre ni respectueux de la biodiversité, en opposition avec la charte signée par la ville en 2014 [4]. Or, l'éclairage public représente environ 23 % de la facture énergétique de chaque commune. Ainsi, près de 40 % de la facture d'électricité d'une collectivité est dédié à l'éclairage public (source : Ademe). ⚡️ INCOHÉRENCE N°2 : "Faites ce que je dis, pas ce que je fais" Le maire invite les commerçant-es à éteindre leurs enseignes et vitrines tandis que la municipalité approuve l'implantation d'écrans publicitaires vidéos et un plan lumière comprenant des éclairages purement décoratifs. Alors qu'il pourrait l'interdire, le futur Règlement Local de Publicité (RLPi) pour Valenciennes prévoit l'autorisation de l'implantation d'écrans publicitaires vidéos, qui n'ont pas attendu son approbation pour proliférer (place d'Armes, place Carpeaux, place du Canada...) [5]. Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*. (Sources : Ademe et Agence Française de l'Énergie). ⚡️ INCOHÉRENCE N°3 : L'injustice sociale Le maire a proposé de fermer des salles de sport municipales pour faire des économies, alors qu'à l'échelle intercommunale il porte en tant que président un projet de dépense de plusieurs dizaines de millions d'euros pour un golf privé [6]. 🌟 D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes que le cadre légal pour réduire leur consommation énergétique. Pourquoi pas Valenciennes ? 👉 NOUS DEMANDONS 🌟 1 - L’extinction permanente, jour et nuit, des panneaux publicitaires rétro-éclairés (abribus et autres) et l’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux 🌟 2 - La désinstallation des écrans publicitaires vidéos ou à défaut leur extinction permanente, et leur interdiction sur tout le territoire de l'agglomération de Valenciennes par le biais du RLPi 🌟 3 - Une révision de la gestion de l’éclairage public (baisser le nombre de points lumineux et leur intensité, supprimer les dispositifs décoratifs, inclure des trames noires pour la biodiversité...) en accord avec la charte signée par Valenciennes en 2014 🌟 4 - Une gestion démocratique de la transition vers la sobriété énergétique : la municipalité se doit se doit de sensibiliser, informer, consulter et rendre des comptes aux citoyen-nes. Ces mesures peuvent être davantage plébiscitées dans un contexte de crise énergétique, mais il est cohérent qu'elles soient adoptées au plus vite et pérennes, au regard des conséquences sanitaires et sociales du dérèglement climatique, de l'effondrement de la biodiversité et de la crise énergétique. Suivre la campagne "C'est pas Versailles ici !" dans le Nord : https://linktr.ee/cpvi59 Contacts mail : [email protected] (campagne) ou [email protected] (groupe local) Sources [1] https://www.bfmtv.com/grand-lille/replay-emissions/nord-week-end/valenciennes-des-salles-de-sports-ouvertes_VN-202210220113.html [2] https://www.lavoixdunord.fr/1244325/article/2022-10-21/valenciennes-les-salles-de-sport-resteront-finalement-ouvertes-mais-sans [3] https://www.lavoixdunord.fr/1245775/article/2022-10-25/laurent-degallaix-demande-aux-commercants-valenciennois-d-eteindre-les-lumieres [4] https://noe.org/nuits-de-noe [5] https://www.valenciennes-metropole.fr/actualite/enquete-publique-du-rlpi-venez-vous-exprimer/ [6] https://chng.it/2jnTPrRpRN105 sur 200 SignaturesCréée par Extinction Rebellion Valenciennes
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Limoges Stop au gaspillage énergétique !À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)224 sur 300 SignaturesCréée par Extinction Rebellion Limoges
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Crest ! Stop au gaspillage énergétique !À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)129 sur 200 SignaturesCréée par Extinction Rebellion Drôme
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APPEL A LA REVOLUTION ECOLOGIQUE DANS LE GRAND LIBOURNAISLes premiers signaux d'alarme ont résonné à partir des années 30, avec Ellul et Charbonneau. Plus fort dans les années 60, avec la compréhension du rôle du DDT dans la disparition des oiseaux et la parution du « Printemps silencieux » de Rachel Carson. Plus stridents encore au début des années 70 avec le rapport Meadows, vendu à 1 million d'exemplaires. Et les années 80, avec la création du GIEC, les Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, les COP, et les rapports scientifiques qui se succèdent, c'est carrément le hurlement des sirènes d'alarme et les voyants d'alertes rouges clignotants. Cela dans l’indifférence quasi générale. Cela fait 30 ans qu'il y a consensus scientifique sur les causes et les conséquences prévisibles du dérèglement climatique. 30 ans que nous savons ce qui va se passer. 30 ans que les lobbies économiques nous mentent pour gagner du temps et de l'argent. 30 ans que nous ne faisons rien à la hauteur des enjeux. Et en 30 ans la production des gaz à effet de serre, a progressé de 50% ! Mis à part une poignée de militants écologistes, ces alertes n'ont été entendues, ni par la grande majorité de nos concitoyens, ni par les élites économiques et politiques. Elles sont comme tétanisées, incapables de remettre en cause ce modèle économique qu'elles ont mis en place, qui les enrichit et... qui détruit l'habitabilité de la planète. Ils nous ont conduit dans une impasse. Quelle va être leur légitimité quand la population, notamment les jeunes, va comprendre ce qui les attend ? Les crises vont être de plus en plus rapprochées et violentes. Cela va être brutal. Rassembler le plus grand nombre de nos concitoyens pour adapter collectivement et rapidement notre modèle économique, social et démocratique, est notre meilleure chance de redonner un avenir au moins de 50 ans. Que faire ? Comment atterrir ? Vu le poids des lobbies et le déni de réalité de la quasi-totalité du monde économique et politique, il n'y aura pas de solutions descendantes à la hauteur des enjeux. Elles ne pourront remonter que de la société civile : nous ! Nous vous proposons d'agir là où nous le pouvons encore, le local. Pour cela il s'agit de mobiliser et renforcer l'engagement écologique et solidaire du plus grand nombre de citoyen.ne.s du Grand libournais : - en s'appuyant sur les initiatives existantes, en les renforçant, en participant à leur convergence - en créant des dynamiques d'éducation populaire, de démocratie participative - en inventant des espaces de rencontres, de convivialité, des projets culturels, artistiques, festifs qui travaillent sur l'imaginaire, font émerger de nouveaux récits, plus attractifs que les passions tristes - en construisant sur le territoire un rapport de force organisé non violent favorable à la vie En signant cette pétition, nous demandons à l'ensemble des élu.e.s du Grand Libournais d’agir résolument et de co-construire avec les citoyennes et les citoyens, la révolution écologique, solidaire et non-violente du territoire. Citoyen.ne.s du Grand libournais nous souhaitons participer activement à la mise en œuvre de cette politique et travailler avec les élu.e.s, tout en réduisant notre propre impact carbone et en participant activement à des projets citoyens locaux. Pour construire ce futur désirable sur notre territoire, nous serons nombreux à participer aux États Généraux pour le climat..., qui auront lieu le dimanche 20 novembre de 14h00 à 19h00 au Château des Rochers à Belvès de Castillon. Nous y co-construirons un diagnostic et lancerons des actions à l'échelle locale. A crise systémique, réponse systémique, les chantiers à réaliser sont multiples. Réduire de 55% notre production de GES d'ici 2030, adapter collectivement notre territoire et accompagner les plus fragiles, doivent être nos priorités. Rien n'a été anticipé. Nous devons devenir résilients. D'après le World Resources Institute, nous devons multiplier par 6 les transports publics, diviser par 10 notre utilisation de ciment, diviser par 5 notre consommation de viande, multiplier par 10 les financements publics pour la transition écologique... Ce qui doit nous amener par exemple d'ici 2030 à : - Produire une agriculture et une alimentation 100 % bio, beaucoup plus riche en légumes, céréales et protéines végétales, en prioriser la distribution aux femmes enceintes, aux enfants de moins de 3 ans, aux personnes à faibles ressources financières... - Arracher 10 000 hectares de vignes pour y installer 1000 paysans bio en agroécologie, agroforesterie, permaculture, polyculture élevage, traction animale... qui produiront des protéines végétales, des isolants bio sourcées, des ENR pour la ferme - Réduire de 50% la circulation automobile en multipliant les déplacements à pied, en vélo, le co-voiturage, les transports en commun, en triplant le nombre de TER en circulation - Isoler 10 000 « passoires énergétiques » du parc immobilier avec des agromatériaux (paille, chanvre...) produit sur le territoire - Multiplier les sources de production d'énergies renouvelables - Construire des réseaux de solidarité, d'entraide et de coopération au profit des personnes les plus fragile du territoire, des territoires voisins et des futurs réfugiés climatiques Elu.e.s comme non élu.e.s. nous portons toutes et tous une part de responsabilité dans la situation actuelle. Plus ou moins importante selon les fonctions. Les citoyennes et les citoyens du Grand Libournais ont besoin de se sentir soutenu.e.s et accompagné.e.s pour que vive l'espoir de garder notre planète habitable pour les générations actuelles et futures.222 sur 300 SignaturesCréée par Collectif climat du Grand L.
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Madame la Première Ministre, sauvez les 3 milliards pour le train !Madame la Première Ministre, Les études le montrent : le train est un mode de transport nettement moins polluant que l’avion ou la voiture. A trajet équivalent, le train émet en moyenne 66 fois moins de GES que l'avion et 20 fois moins que la voiture (1). Investir dans le ferroviaire c'est donc investir pour lutter contre la crise climatique. Lundi 31 octobre, le vote historique par l’Assemblée nationale allouant 3 milliards d’euros de plus pour le ferroviaire dans le budget 2023 (2) représentait une réelle bouffée d’oxygène et un espoir de donner enfin les coudées franches pour redévelopper ce mode de transport que nous n’aurions jamais dû délaisser. Pourtant, suite à ce vote, votre ministre délégué aux transports, Clément Beaune a raillé “Ce sont les milliards qui volent en escadrille”. Jusqu’à présent ce sont surtout les émissions de gaz à effet de serre des transports qui s’envolent ! Premier secteur d’émissions en France, les transports représentent à eux seuls un tiers du budget carbone de la France, et c’est le seul secteur où les émissions étaient plus élevées en 2019 qu’en 1990. Dans son dernier rapport annuel “Dépasser les constats, mettre en œuvre les solutions”, le Haut Conseil pour le Climat rappelle qu'il faudrait atteindre près de 4 Mt de réduction par an pour le secteur des transports, alors que l'on a réduit en moyenne de seulement 0,7 Mt par an (depuis 2002) (3). Cela revient à multiplier l'effort par près de 6 au cours des prochaines années. Donner les moyens au train de se développer est donc tout sauf un caprice, c’est une absolue nécessité, car comme le note le Haut Conseil pour le Climat “les financements ne sont pas assurés dans la durée et le développement des services de mobilité bas carbone est encore lent et hétérogène” D’autre part, les moyens de transport polluants comme la voiture ont bénéficié encore très récemment de sommes colossales allouées par le gouvernement : 8 milliards d’euros en aides sur les carburants qui ont atterri principalement dans la poche de ménages les plus aisés (4) durant la crise énergétique, alors que le train reste toujours la dernière roue du carrosse. Le GIEC nous alerte depuis des années, et les conclusions des derniers rapports parus cette année sont sans appel : les émissions doivent s’infléchir sans tarder pour limiter le réchauffement global à 1,5 °C. Dans ces conditions, chaque investissement compte. Et chaque investissement faisant défaut nous expose à un “scénario catastrophe”, tel que prédit par le récent rapport de l’ONU, qui établit que l’Europe se réchauffe deux fois plus vite que le reste du monde. En France, nous pourrions atteindre +3,8°C à l’horizon 2100 (5). Madame la Première Ministre, pour préparer l’avenir, pour protéger les populations du changement climatique et structurer les mobilités de demain, nous vous demandons de ne pas couper les ailes du train ! Allouez ces 3 milliards d’euros indispensables au développement du ferroviaire en France ! *** *** Premiers signataires : Zoé Mary (Alternatiba), Marie Cohuet (ANV-COP21), Jean-François Julliard (Greenpeace France), Pascal Dauboin (Collectif Oui au train de nuit), Jean-Baptiste Dusson (Résistance climatique), Charlène Fleury (Rester sur Terre), Victor Vauquois (Terre de luttes), Capucine Saulpic (NADA Lille), Florence Joly (Collectif Stop Extension Aéroport Marseille Provence), Gilliane Le Gallic (Alofa Tuvalu), Airy Chrétien et Thierry Bitouzé (Collectif citoyen 06, Nice), Bernard Schéou (enseignant-chercheur), Nicole Tagand (Collectif de l’étoile ferroviaire de Veynes), Catherine Rainaudo (Collectif ligne Nice-Breil sur Roya-Cuneo-Vintimille), Gilles Marcel (NOSTERPACA), Raymond Pelloux (Mobilités Alpines), Alain Filhol (AGV ligne Grenoble Veynes Gap), Stephane Coppey (Destination trains de nuit), Marc Gouttebroze (Collectif Nous Voyageurs ! Massif central), Joël Hillaireau (Sauvons les trains Nantes-La Rochelle-Bordeaux), Stuart Page (Collectif "Atterrissons d'urgence", Montpellier), Hervé Gasdon (Société Alpine de Protection de la Nature - France Nature Environnement Hautes-Alpes), AMIGA (Association des amis du viaduc de Garabit et de la ligne Béziers Neussargues Clermont-Ferrand), Erick Marchandise (Collectif "Mon vélo dans le train") Sources : (1) Base Carbone ADEME (2) Amendementn°II-345 du PLF 2023 : https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/amendements/0273C/AN/345 (3) Observatoire Climat Energie : https://www.observatoire-climat-energie.fr/climat/transport/ (4) https://www.google.com/url?q=https://www.lesechos.fr/economie-france/conjoncture/carburants-les-plus-aises-premiers-beneficiaires-de-la-ristourne-a-la-pompe-1778083 (5) https://esd.copernicus.org/articles/13/1397/2022/esd-13-1397-2022.pdf6 076 sur 7 000 SignaturesCréée par Aymeric F.
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STOP au projet du parc photovoltaïque dans les Bois de Janiol à Grignan👉 La direction départementale des territoires (DDT) déconseille fortement l’utilisation des sites agricoles ou naturels pour l’implantation des centrales photovoltaïques : "Il est nécessaire de noter en premier lieu que l'implantation de projet en espace boisé est contraire aux recommandations départementales et la DDT ne pourra évaluer de façon positive ce type de projet" (Point 3.1.3 en page 12 des Recommandations départementales des projets photovoltaïques https://www.drome.gouv.fr/contenu/telechargement/18010/120998/file/20211021_recommandationsdepartementalespv_v5.pdf). 👉 La Commission Départementale de Préservation des Espaces Naturels Agricoles et Forestiers (CDPENAF) a émis un avis défavorable au dossier NEOEN en date du 29 juin 2021 : - considérant que les travaux entraînent la destruction de 9,2 ha de forêt (chênes verts et pubescents) au sein d'un vaste secteur naturel et forestier ; - considérant que l'implantation d'un tel parc sur ce site est de nature à contribuer à la fragmentation de la forêt, et accélère la baisse de la biodiversité ; - considérant que sur le principe de l'évitement, le dossier n'apporte pas la démonstration suffisante de l'impossibilité d'installer ce parc sur une zone de moindre enjeu écologique y compris à l'échelle intercommunale ; - considérant que l'artificialisation de 9,2 ha d'espaces naturels est à l'encontre des objectifs de sobriété foncière et de trajectoire "zéro artificialisation nette" du Plan Biodiversité (juillet 2018) et de la stratégie régionale "Eau-Air-Sol" (mai 2020) ; - considérant que les recommandations à l'échelle nationale et départementale sont de prioriser le développement des parcs photovoltaïques sur le bâti et sur les sites déjà artificialisés ; - considérant les divers impacts potentiels desdits travaux sur les zones naturelles, le réseau écologique, la flore et les habitats naturels de la faune ; - considérant à ce titre que le projet est de nature à modifier les corridors de déplacements et entraîne des destructions d'habitats de vie notamment pour des cortèges d'oiseaux forestiers, pour des mammifères tels que la genette commune et le hérisson d'Europe, pour la vipère aspic ainsi que pour les chiroptères dont la barbastelle d'Europe et le petit rhinolophe ; - considérant que le dossier évoque au titre du défrichement un besoin de compensation de 30 à 32 hectares sans en préciser ni les modalités ni la localisation ce qui ne permet pas d'en apprécier l'impact sur les surfaces agricoles et naturelles ; - considérant que le projet est de nature à compromettre la préservation des terres naturelles, agricoles ou forestières au sens de l'article L122-1-1 du code rural et de la pêche maritime. 👉 Pour limiter l'artificialisation des sols et maitriser la consommation d'espace naturel, les terrains favorables pour ce type d’installation sont les terrains dégradés (friches industrielles, anciennes carrières…) et les zones déjà anthropisées (parkings, toitures…) mais en aucun cas les espaces naturels et boisés. 👉 Nous ne pouvons plus accepter AUCUNE dérogation à la destruction d’espèces protégées à l’ère de la 6ème extinction de masse du vivant. Le défrichement de plus de 9 hectares aurait un impact fort sur la biodiversité, notamment sur les espèces locales*, avec la destruction illégale d'espèces protégées. (*des oiseaux comme l'Alouette lulu ou la Huppe fasciée ; des chiroptères comme la Barbastelle d'Europe ou le Petit Rhinolophe ; des mammifères comme la Genette commune ou le Hérisson d'Europe ; des reptiles comme la Vipère aspic ; des insectes... ) 👉 Par défrichement, il faut comprendre "déforestation" avec retrait des souches. La déforestation a pour effet de rompre l'équilibre systémique de la forêt en exposant à la sécheresse des milieux naguère sous couvert. Les bois et forêt forment un microclimat favorable à la rétention d'eau par les sols (eau verte). En ces périodes de sécheresses successives et d'épisodes caniculaires au cours desquels notre territoire connait régulièrement des restrictions d'eau voire des coupures sur certaines communes (Clansayes, Montségur-sur-Lauzon...), il est urgent de prendre conscience de l'importance de préserver les espaces naturels et les zones boisées. Les forêts et zones boisées participent au cycle de l'eau et jouent un véritable rôle pour la préservation de cette ressource. Elles participent à ce cycle en contribuant à l'évaporation de l'eau qu'elles reçoivent par les précipitations, et ce, au cœur même des territoires. Au cours de ces cycles, l'eau est stockée dans les sols et alimente les nappes phréatiques. Il est donc de notre devoir de préserver ce précieux commun naturel qu'est l'eau.2 337 sur 3 000 SignaturesCréée par Collectif pour la sauvegarde des forêts drômoises ".
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Saint-Etienne - Stop au gaspillage énergétique !À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)451 sur 500 SignaturesCréée par Extinction Rebellion Saint-Etienne
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