• Pour des Conventions Citoyennes Locales des Transitions en Bretagne
    Depuis 50 ans nous échouons à répondre à l'urgence écologique. La Convention Citoyenne pour le Climat qui s'est déroulée en France entre octobre 2019 et juin 2020 a prouvé qu’un panel de citoyen·nes tiré·es au sort, représentatif·ves de la diversité de la société française, pouvait être force de propositions sur ces enjeux en allant dans le sens de l'intérêt général. Une fois (in)formés ces citoyen.nes ont répondu à l’objectif de « définir les mesures structurantes pour parvenir, dans un esprit de justice sociale, à réduire les émissions de gaz à effet de serre d'au moins 40 % d'ici 2030 par rapport à 1990 », en allant plus loin que tout ce que les politiques publiques ont pu mettre en place jusqu'à maintenant. Depuis, des Conventions Citoyennes locales ont vu le jour sur divers sujets (crise COVID-19, démocratie, climat,...) à différents endroits en France (Nantes, Rouen, Est Ensemble, Clermont-Ferrand ou plus localement à Rennes ou encore Brest). Mais il n’y a à ce jour aucune Convention Citoyenne Locale sur les enjeux transversaux de transition écologique en Bretagne. Pourtant cet outil de co-construction permet de légitimer des propositions ambitieuses répondant aux enjeux climatiques et du Vivant, de former des citoyen·nes et de les impliquer directement dans la vie politique. Cet appel du 3 décembre 2022, lancé à l’occasion du 3ème Forum des Coopérations organisé par le Réseau Cohérence, s’adresse à tou·tes. Pour accélérer les transitions écologiques nous avons impérativement besoin de mesures ambitieuses qui soient co-construites et portées par les citoyen·nes dans les territoires et de l’engagement du plus grand nombre. 👉 Pour cela, nous appelons à ce que soient mises en place des Conventions Citoyennes Locales pour les transitions écologiques (du climat, du Vivant...) par les collectivités en Bretagne. Il nous paraît nécessaire que ces conventions citoyennes respectent l'exigence méthodologique qui permet de garantir leur succès, telle que proposée par plusieurs associations . Il est temps de mettre en œuvre des dispositifs ambitieux de co-élaboration et de participation citoyenne, sans quoi la réponse publique ne sera jamais à la hauteur des défis actuels. Elu·es, citoyen·nes, associations locales : portez cette idée de Convention Citoyenne dans vos territoires, pour construire ensemble un futur viable, pour partager le pouvoir d’agir et faire vivre vraiment la démocratie. Premiers signataires : • Aucant William - Citoyen tiré au sort de la Convention Citoyenne pour le Climat (Nationale) • Benhabib Lamia - Citoyenne tirée au sort de la Convention Citoyenne Locale Nantes Métropole • Briand Michel - Acteur de réseaux coopératifs en Bretagne • Denis Romain - Citoyen tiré au sort de la Convention Citoyenne Locale Nantes Métropole • Dion Cyril - Ecrivain, réalisateur, poète et militant écologiste • Dissaux Glen - Conseiller municipal - 12ème vice-président de Brest métropole - Plan climat air énergie territorial, COP26 locale, Agenda 2030. • Goater Jean-Marie - Conseiller délégué Rennes Métropole à la démocratie locale • Gomez Tomas Veronica - Juriste en droit international de l'environnement et citoyenne engagée sur le Pays de Morlaix • Imer Mathilde - Membre du comité de gouvernance/organisation de la convention citoyenne pour le climat • Lavault Akira - Co-fondatrice de Maison Glaz (tiers-lieu à Gâvres) • Le Coz Armel - Co-fondateur et coordinateur de Démocratie Ouverte Collectif d'innovation démocratique • Marchandise Charlotte - Militante de la démocratie et citoyenne engagée • Mermet Laurence - Co-fondatrice d'Eco-bretons et membre du Réseau Cohérence • N'Dem Thomas - Citoyen tiré au sort de la Convention Citoyenne Locale Nantes Métropole • Pierre Jean-Claude - Porte-parole du Réseau Cohérence
    226 sur 300 Signatures
    Créée par Solenne B.
  • Message à l'industrie du plastique : arrêtez de nous raconter des salades
    Nous, associations de consommateurs et consommatrices, citoyens et citoyennes, ONG de protection de l’environnement, parlementaires et scientifiques, souhaitons vous adresser toutes nos félicitations : il semblerait que votre mobilisation ait payé. Grâce à vous, la France risque une nouvelle fois de connaître un recul sur une réglementation pourtant emblématique et pionnière, à savoir la fin de la vente de fruits et légumes sous plastique. C’est à un combat acharné de votre part que nous avons pu assister depuis l’adoption de cette mesure par l’Assemblée nationale. Le 29 novembre 2019, les député·es ont voté l’interdiction d’emballages plastiques pour les fruits et légumes vendus en supermarché (sauf exceptions) à compter du 1er janvier 2022. Dans le courant du mois de décembre qui a suivi, vos fédérations se sont émues contre une mesure « déraisonnable » d’après Plastalliance, s’inscrivant dans la « surenchère à l’interdiction de produits en plastique à usage unique » pour Elipso. Votre lutte ne faisait cependant que commencer, puisqu’un décret devait venir préciser la disposition en fixant une liste de fruits et légumes exemptés du sevrage plastique. C’est au Conseil national de l’alimentation (CNA) qu’ont échu les travaux préparatoires relatifs à ce décret, organisme d’habitude reconnu pour les positions consensuelles auxquelles il parvient à aboutir. Malgré tout, vous avez été incapables pendant les discussions du moindre compromis avec la société civile, représentée par les associations de consommateurs et consommatrices et les ONG environnementales. N’ayant de cesse de défendre les intérêts que vous estimiez menacés de vos secteurs d’activité, vous avez proposé des exemptions pour littéralement chaque fruit et légume examiné par le groupe de concertation. Le bon sens réclamait pourtant une mise en œuvre généralisée du principe d’interdiction : dès lors qu’une catégorie de fruits et légumes est déjà substantiellement vendue en vrac en supermarché, il est contre-productif de vouloir l’en exempter. Une dérogation à l’interdiction de plastique pour des pêches et nectarines d’ores et déjà achetées à plus de 70 % en vrac ne fait pas sens. Cela n’a pas été votre ligne, et c’est ce qui a conduit à l’adoption par le CNA d’un avis à deux vitesses, entre l’envie d’avancer d’une société civile qui a gardé en tête le principe de réalité, et des filières économiques et industrielles qui ne souhaitaient manifestement pas faire preuve de bonne volonté. Vous n’avez cessé de continuer à « réclamer des aménagements » pendant la concertation préalable à la rédaction du décret. Sensibles à vos doléances, les pouvoirs publics ont établi une liste d’exemptions à levée progressive par le décret n° 2021-1318 du 8 octobre 2021. Cela ne vous a pas suffi. Vous avez attaqué le texte en justice, Interfel regrettant une mesure prise « sans concertation préalable avec la filière professionnelle » ; Elipso déplorant un décret qui « [va] bien au-delà des dispositions définies [dans la loi] » ; Plastalliance en profitant pour rappeler qu’elle « n’a jamais soutenu ou cautionné les objectifs attentatoires à l’industrie plastique de l’emballage ». Vous avez finalement obtenu gain de cause : la rapporteure publique vous a donné raison le 14 novembre dernier en recommandant « l’annulation totale » du décret. À la suite de cet avis, le Conseil d’État a invalidé le texte. Un nouveau projet de décret a été mis en consultation par le ministère, avec un risque non négligeable de travail de sape de votre part, qui pourrait mener à une liste d’exemptions longue… et pérenne. Tout du long de l’élaboration de cette mesure, vous vous serez placés en porte-à-faux vis-à-vis des citoyens et citoyennes qui souhaitent pouvoir consommer des fruits et légumes frais sans inonder leurs poubelles de plastique à usage unique. 83 % des Français·es pensent que la réduction du plastique à usage unique doit être une priorité. Pour ce faire, elles et ils estiment qu’il faudrait éliminer complètement ou à tout le moins limiter autant que possible l’utilisation du plastique. Cette attente citoyenne s’est retrouvée au cœur des préoccupations exprimées par la Convention citoyenne pour le Climat, qui s’est prononcée dans sa proposition C3.1 pour le développement du vrac. Ce mode de distribution est déjà majoritaire pour les fruits et légumes, qui ne sont « que » 37 % à être vendus sous emballages. Cela représente néanmoins 2,8 millions d’emballages plastiques annuels – un chiffre qui a augmenté de 22 % depuis le début des années 2000. Le secteur des fruits et légumes est ainsi responsable de la production et de la mise aux ordures de près de 20 000 tonnes de plastiques par an. Nous parlons bien ici de ce plastique qui, tout « fantastique » qu’il est, sera à l’origine de 53,5 milliards de tonnes d’émissions de gaz à effet de serre en 2050 de par sa seule production. Ce même plastique inonde les océans de quelque 10 millions de tonnes par an ; 54 des 120 espèces de mammifères marins menacées identifiées par l’UICN se retrouvent à en consommer ou se coincer dedans. Les êtres humains ne sont pas en reste : nous en ingérons jusqu’à 5g par semaine. 20 000 tonnes de plastique par an, c'est autant de microplastiques qui pénètrent nos organismes. D’après les fédérations de fruits et légumes, 80 % de la filière serait en conformité avec la mesure. Qu’attendons-nous alors pour aller dans le sens de l’histoire et réduire notre recours aux emballages plastiques ? Qu’attendez-vous ? Nous, associations de consommateurs et consommatrices, citoyens et citoyennes, ONG de protection de l’environnement, parlementaires et scientifiques, prenons acte de l’annulation du décret et de la menace que vos actions font peser sur la lutte contre le fléau plastique. Nous serons au rendez-vous pour élaborer un texte qui reste ambitieux face à l’urgence environnementale comme aux attentes citoyennes. Le serez-vous ?
    11 825 sur 15 000 Signatures
    Créée par Zero Waste France 🌱. Picture
  • Strasbourg : Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    314 sur 400 Signatures
    Créée par Nadine G.
  • Panneaux numériques publicitaires à Rennes : stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. L'avancée d'une heure de l'extinction de ces écrans mise en place par la ville de Rennes ne suffit pas. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de minuit à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    420 sur 500 Signatures
    Créée par Clothilde M.
  • Stop au greenwashing de Skyscanner !
    ❓ Pourquoi cette pétition ?❓ J'ai voulu calculer l'impact carbone d'un trajet Paris-Nantes dans le cadre d'un trajet professionnel. En regardant sur Skyscanner, grosse surprise : la grande majorité des vols sont qualifiés comme "éco-responsables", émettant du "CO2 en moins", y compris pour des vols Paris-Nantes via Barcelone ! ⚠️Pourquoi c’est une pratique aberrante et une communication trompeuse ?⚠️ Prenons l’exemple d’un trajet Paris-Nantes pour le week-end du 31 mars au 2 avril 2023, recherché le 21/11/2022. Pour ce trajet, l’impact carbone pour un aller simple est de 0.9kg de CO2 en train, contre 79kg en avion pour un trajet direct¹. L'affichage sur Skyscanner est le suivant : 1️⃣ 100 % des vols sur les 30 premiers résultats de recherche sont qualifiés "éco-responsables" et indiqués comme émettant "moins de CO2" que la moyenne 2️⃣ Des vols Paris-Nantes avec escale via Toulouse, Lyon, Genève ou encore Barcelone sont qualifiés “éco-responsables” et indiqués comme émettant du “CO2 en moins” 3️⃣ Pourtant, sur le cas d‘un Paris-Nantes via Barcelone, l’impact carbone d’un aller simple émet 394 fois plus de CO2 qu’un Paris Nantes en train, et 4.5 fois plus qu'un vol direct¹ Cette pratique est généralisée à l’ensemble du site internet et des vols³, y compris des vols lointains très carbonés : Paris-Buenos Aires, Paris-Tokyo, Paris-Honolulu... J'ai donc pris des initiatives afin de faire interdire cette pratique : 👉 J'ai d'abord déposé une plainte pour interdire cette pratique auprès du Jury de Déontolongie Publicitaire de l'ARPP. Sans retour pour le moment. 👉 J'ai également dénoncé la situation sur Linkedin, et interpellé Skyscanner directement. Skyscanner m'a répondu de façon "politiquement correcte", sans prendre de mesures correctives concrètes et sans s'engager à en prendre. Les nombreuses réactions sur Linkedin m'ont ainsi motivé à lancer cette pétition citoyenne afin d'accélérer l'interdiction de cette pratique de greenwashing. 🧯Urgence à interdire cette pratique🧯 Le problème est que Skyscanner jouit d’une audience hors du commun en France, avec près de 5 millions de visites par mois sur son site internet². C’est donc une pratique qui désinforme, induit en erreur et trompe des millions de Français chaque mois, dans l’objectif de vendre par ailleurs ces services extrêmement polluants. Rappelons que le tourisme représente 11% des émissions de gaz à effet de serre de la France d’après l’ADEME⁴, dont 41% sont directement issues du transport aérien⁴. Des émissions qui ont été multipliées par 2.2 en 30 ans⁵ et que Skyscanner contribue à faire croître. ⛔ Interdisons cet affichage⛔ Nous citoyens, soucieux des enjeux climatiques et de notre avenir, demandons à Skyscanner de cesser son affichage qualifiant les vols d’“éco-responsables” émettant du “CO2 en moins”. Avec effet immédiat, pour TOUS les vols. ✒️ Auteur de la pétition ✒️ Guillaume Jouffre - Ingénieur, co-fondateur de GreenGo ✍️ Premiers signataires ✍️ Alexis Chailloux - Responsable engagement citoyen de GreenPeace Charlène Fleury - Coordinatrice du réseau Rester sur terre / Stay Grounded Guillaume Cromer - Président des Acteurs du Tourisme Durable (ATD) Lou Welgryn - Co-présidente de Data for Good Camille Chaudron - Conférencière, médiactiviste et influenceuse @girl_go_green Benjamin de Molliens - Conférencier, environnementaliste et influenceur @ben_expedition_zero Benjamin Martinie - Réalisateur/YouTubeur spécialisé dans le voyage bas carbone @globetolter ✍️ Mise à jour - 24/02/2023✍️ Suite au cap des 10 000 signataires de cette pétition, Skyscanner a temporairement suspendu son affichage environnemental sur la localisation "France" seulement. La suspension n'est effective nulle part ailleurs, et la réponse de Skyscanner - qui prétexte un problème de traduction - laisse présager un maintien de l'affichage durablement. Le combat continue donc pour obtenir le retrait effectif de cet affichage durablement et dans toutes les localisations. [SOURCES] ¹ ADEME - Datagir - Mon Impact Transport ² SimilarWeb pour Skyscanner.fr, en août 2022 ³ Constaté sur de nombreux vols au départ de Paris, non exhaustivement : Paris-Marseille, Paris-Londres, Paris-Budapest, Paris-Berlin, Paris-Doha, Paris-Buenos Aires... ⁴ ADEME : "Bilan des émissions de gaz à effet de serre du secteur du tourisme en France", 2021 ⁵ ADEME : "Transport aérien : 3 scénarios pour une transition écologique"
    12 628 sur 15 000 Signatures
    Créée par Guillaume J. Picture
  • Marseille Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : [Liste à personnaliser] - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    1 215 sur 2 000 Signatures
    Créée par Extinction Rebellion Marseille, Alternatiba Marseille, ANV-COP 21 Marseille, Greenpeace Marseille, Résistance à l'Agression Publicitaire Marseille
  • Montreuil : Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    314 sur 400 Signatures
    Créée par Extinction Rebellion Montreuil Picture
  • Metz : Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    210 sur 300 Signatures
    Créée par Extinction Rebellion Metz Picture
  • Vincennes : stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! Vincennes est une ville qui met en valeur son parc, poumon de la ville, pourquoi laisser libre court à cette incohérence climatique? ⚡️ Alors que le réglement local de publicité intercommunal prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 23H00 et 07H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    295 sur 300 Signatures
    Créée par Extinction Rebellion Vincennes Picture
  • AIX EN PROVENCE : STOP AU GASPILLAGE ÉNERGÉTIQUE
    Pourquoi faut-il agir maintenant ? Nous, citoyens et citoyennes d'Aix-en-Provence, demandons expressément la mise en place de mesures de bon sens et d’économie d’énergie. Un cadre légal existe, mais il est non seulement mal appliqué, mais en plus largement insuffisant face aux enjeux de sobriété auxquels nous faisons face. Pour le climat et pour nos factures d’électricité, Aix-en-Provence se doit d’être exemplaire ! A l’heure où nous sommes appelés, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme l’équivalent en moyenne des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*, laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès la fermeture De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le bon sens d’une sobriété choisie et responsable. Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Extinction Rébellion Aix-en-Provence, Youth for climate Aix-en-Provence, Collectif climat Aix-en-Provence, COLL.E.C Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
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  • La Rochelle - Stop au gaspillage énergétique !
    Ces derniers mois, la machine s’est emballée : catastrophes climatiques à répétition (canicules, feux de forêts, tempêtes...), menace d’une rupture d’approvisionnement énergétique, hausse des prix de l’énergie... Plus que jamais, il est temps pour notre société de prendre un virage radical et de réinterroger sa consommation, notamment d’énergie. À l’aube de l’hiver, et face à cet impératif de sobriété énergétique, la mise en application concrète de mesures, pourtant de bon sens, se fait attendre. Alors que nous sommes toutes et tous exhortés à faire attention à notre consommation d’énergie, et à réaliser de petits gestes comme débrancher le wifi lorsque nous ne l’utilisons pas, il est inconcevable que les acteurs publics et privés ne mettent pas tout en œuvre pour participer plus activement à l’effort collectif de sobriété demandé par le gouvernement. Ce n’est pas aux catégories les plus fragiles de payer l’addition. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! Ainsi, beaucoup d’actions peuvent et doivent être mises en place pour réduire la consommation d’énergie, comme supprimer les panneaux et enseignes lumineuses dans l’espace public, éteindre les vitrines des magasins et les enseignes dès leur fermeture, mieux gérer l’éclairage public... Partout en France, des citoyens et citoyennes se mobilisent dans leur commune pour demander l’application de mesures concrètes, structurelles et de bon sens pour lutter contre le gaspillage énergétique. Pour le climat et pour nos factures d’électricité, La Rochelle, TERRITOIRE ZÉRO CARBONE, se doit d’être exemplaire ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! ⚡️ La Rochelle, à travers son plan de sobriété, a étendu l’extinction de l’éclairage public la nuit depuis le lundi 31 octobre 2022. L’éclairage public est éteint de 23h à 6h au lieu de minuit à 6h. Une heure de gagnée ! Mais cette extinction reste partielle. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 23h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. La Rochelle a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux.
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    Créée par La Rochelle G. Picture
  • Stop au gaspillage énergétique au Pays Basque : pour l’interdiction des publicités lumineuses
    En réduisant notre consommation d’énergie à l’échelle du territoire, nous nous donnerions par la même occasion les moyens de renforcer notre souveraineté énergétique et de réduire notre dépendance aux approvisionnements internationaux. C’est d’ailleurs l'objectif du Plan Climat Pays Basque qui prévoit de réduire de 49 % les consommations énergétiques du territoire et de couvrir 100 % des besoins énergétiques par une production d’énergies renouvelables. Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité intercommunal et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. 🛑 Nos demandes La communauté d’agglomération Pays Basque doit prendre les mesures suivantes dans le prochain règlement local de publicité intercommunal : 👉🏼 L'interdiction des écrans publicitaires animés 👉🏼 L’extinction des panneaux lumineux et pas uniquement de 23h à 7h du matin, comme c’est le cas actuellement sur le BAB. 👉🏼 L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 23h à 7h du matin 👉🏼 L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés D’autres collectivités comme la métropole de Lyon, celle de Nantes ou la ville de Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. Au Pays Basque aussi, il est grand temps d’agir ! Cette pétition est initiée par le Collectif Stop pub Pays Basque Adour composée de Bizi!, du CADE, de Résistance à l'agression publicitaire Pays Basque, de Paysages de France. Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer). ******************************************************************************************** Ipar Euskal Herriko herritar girenok, zentzuzko eta energia aurrezteko neurriak espresuki plantan ematea eskatzen dugu. 📵 Iragarki argitsuen debekatzea galdatzen dugu heldu den Herriarteko Publizitatearen Tokiko Araudian. Hori posible da. Klimaren alde eta gure argindarraren fakturentzat, Ipar Euskal Herriak eredugarria izan behar du! 🛑⏳ Zergatik orain behar dugu ekin? Gero eta gehiago agertzen diren panel hauek, batez ere BABn, gure bizi-ingurunearen kontrako eraso nabarmenak dira, xahutze energetikoa, argi-kutsadura, osasun-arriskua eta, azkenik, beste garai bateko gehiegizko kontsumoa elikatzen dute. Haien hedapena arduragabea da eta neurri politikoak beharrezkoak dira. ♨️ ⚡️ Gure energia-kontsumoan ahaleginak egitera deitzen gaituzten garai honetan eskasia saihesteko helburuarekin, ez dugu ulertzen espazio publikoetan hainbeste argindar xahutzeak irautea. Urte batez, 2 m2-ko publizitate-pantaila batek, bana beste, Frantses Estatuko etxe baten argiztapen eta etxetresna elektrikoetarako* beharren baliokidea kontsumitzen du. Panel hauek biztanleriaren erosotasunari ez diote deus ekartzen eta interes ekonomiko hutsak asetzen dituzte, askotan urritasunaren kontra doazen kontsumo praktikak bultzatuz. Eman behar den indarra, molde zuzenean banatu behar da eta ez bakarrik herritarrengan utzi. Gainera, ahaleginak ez du nagusiki hezkuntza edo osasuna bezalako funtsezko zerbitzu publikoetan eragin behar, baizik eta publizitatearen erabilera zalantzan ematen hasi! Gure energia-kontsumoa lurralde mailan murriztuz, gure buruari burujabetza energetikoa indartzeko eta nazioarteko hornikuntzarekiko menpekotasuna murrizteko baliabideak ere emango genizkioke. Horixe da, halaber, Lurraldeko Klima Planaren helburua. Azken honek lurraldeko energia-kontsumoa %49 murriztea eta energia-beharren %100 energia berriztagarrien ekoizpenaren bidez estaltzea aitzinikusten du. Gure lurraldeak ahalmena badu eredu izateko Herriarteko Publizitatearen Tokiko Araudiari esker haratago joateko eta erronkei buru egiteko. Gure eskaerak Euskal Elkargoak ondoko neurri hauek hartu beharko ditu heldu den Herriarteko Publizitatearen Tokiko Araudian: 👉🏼 Bideo publizitate-pantailak debekatu 👉🏼 Taula argitsuak itzali eta ez bakarrik 23:00etatik 07:00etara, gaur egun BABen egiten den bezala. 👉🏼 Saltegia hetsi bezain laster, aitzindegiak eta seinale argitsuak itzali, eta ez bakarrik 23:00etatik 07:00etara. 👉🏼 Iragarki taula argitsuen eta gibeletik argiztatu iragarki taula berrien instalazioa geldiarazi. Beste elkargo batzuek, hala nola, Lyoneko metropoliak, Nantesek edo Parisko hiriak neurri sendoagoak hartu dituzte jadanik beren energia-kontsumoa murrizteko eta urritasun hautatu eta arduratsuaren bidean sartzeko. Ipar Euskal Herrian ere, ekiteko garaia da! Petizio hau Bizi!, CADE, Résistance à l'agression publicitaire Pays Basque eta Paysages de France-ek osatzen duten Ipar Euskal Herriko eta Aturriko Publizitatea Geldi kolektiboak abiatu du. Iturria: *Ademeren arabera, 2m2-ko iragarki taula baten urteko kontsumoa urtean 2000 kWh-koa litzateke guti gora behera. Frantziako Energia Agentziaren arabera, etxe baten urteko kontsumoa 1500 eta 2200 kWh bitartekoa litzateke (berogailua eta ur beroa kenduta, etxebizitzaren azaleraren eta biztanle kopuruaren arabera).
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    Créée par Collectif Stop Pub Pays Basque - Adour !. Picture