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Bordeaux : Stop au gaspillage énergétique !À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 23h à 7h du matin comme actuellement à Bordeaux - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)980 sur 1 000 SignaturesCréée par Greenpeace Bordeaux
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Paris : Stop au gaspillage énergétique !A l’heure où nous sommes appelé.e.s, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste, ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes, et ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ❌ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 1h et 6h du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m² consomme l’équivalent en moyenne des besoins d’un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*. Laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est absurde ! 📝 Les mesures prises récemment par le Conseil de Paris vont au-delà des dispositions du plan sobriété du gouvernement et prévoient, à l’horizon du 1er novembre 2022, une extinction des lumières des bureaux, des enseignes et vitrines des commerces à la fermeture, et, à l’horizon du 1er décembre, une extinction des publicités lumineuses (publicités rétroéclairées, panneaux numériques…) sur la voie publique, le mobilier urbain, les quais des métros/RER et des gares à partir de 23h45 ou de 1h du matin. 🛑 Il s’agit d’une avancée importante, mais encore insuffisante, et en plus limitée à la trêve hivernale. Pour réaliser une vraie transition énergétique, contribuer sur le long terme à l’effort de sobriété, et pour diminuer les nuisances visuelles en ville et l’incitation à la consommation de masse via ces publicités, il faut un dispositif pérenne qui va plus loin ! C’est ce que nous demandons à Madame la Maire de Paris et aux élu.e.s du Conseil de Paris ! NOUS DEMANDONS : 👉 La pérennisation des dispositions votées par le Conseil de Paris le 12 octobre au-delà de la période de trêve hivernale, via une révision du Règlement Local de Publicité parisien, pour faire entrer les mesures nécessaires de sobriété dans les habitudes et en finir avec ce gaspillage énergétique. 👉 L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires à toute heure de la journée, et pas uniquement à partir de 23h45 ou de 1h du matin. 👉 L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés et d’écrans publicitaires. ----- *Source : Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)2 513 sur 3 000 SignaturesCréée par Greenpeace Paris, Extinction Rebellion Paris Nord, Extinction Rebellion Paris Est et Extinction Rebellion Paris Rive Gauche
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Oui à la transition énergétique, non à la destruction du patrimoine publicDe nombreux projets industriels de production photovoltaïques se développent dans l'Aude, en Occitanie, et plus largement dans tout le pays. Certains de ces projets, parfois portés par des conglomérats industriels aux pratiques discutables et ayant fait fortune dans le pétrole sont en contradiction totale avec le discours écologiste et responsable dont ils veulent se parer. En effet, sacrifier des dizaines voire des centaines d'hectares de terres agricoles produisant aujourd'hui des céréales n'est pas responsable en pleine crise alimentaire. Sacrifier des zones classées au plus haut niveau de protection Natura 2000 n'est pas un positionnement allant dans le sens de l'écologie durable et du maintien de la biodiversité Sacrifier nos paysages qui font aujourd'hui la richesse des territoires n'est pas responsable pour l'avenir de ces derniers. Sacrifier le soutien des populations en évitant toute forme de concertation en amont du choix des implantations n'est pas responsable alors que nous savons que la transition ne peut se faire qu'avec le soutien de tous les citoyens. Sacrifier notre patrimoine commun quel que soit sa nature sur l'autel des indicateurs français et européens ne saurait en aucun cas suffire. La transition énergétique ne doit pas se faire à marche forcée mais de façon raisonnée. L'ADEME elle même l'écrit : des gisements suffisants existent sur friches industrielles, toitures et zones d'activité à hauteur de 95GWc, permettant largement d'atteindre les objectifs du plan de programmation pluriannuelle de l'énergie (+51GWc pour atteindre 101 à 113 GWc). Nous exigeons la responsabilité et le respect par les promoteurs et les décideurs, des recommandations émises par certaines communautés de communes, le ministère de la transition écologique et les préfectures. -Privilégier les sites déjà artificialisés et proscrire les installations en zones protégées (Natura 2000, ZNIEFF). -Éviter les espaces agricoles pour maintenir la capacité de production dans un contexte de crise alimentaire. -Limiter au maximum les impacts paysagers pour un patrimoine touristique et architectural préservé. -Communiquer en amont vers les riverains pour une transition menée en concertation. Un gros projet est en cours sur les communes de Belpech, Pécharic et le Py, Plaigne, Saint Sernin. Il porte sur 172Ha de terres agricoles produisant des céréales et en zone de protection spéciale Natura 2000. Nous devons réagir vite sur ce projet pour que les bonnes pratiques soient imposées sur les prochains. Signez maintenant pour exiger la transition énergétique vertueuse.667 sur 800 SignaturesCréée par Alice D.
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Saint Brieuc : Stop au gaspillage énergétique !⚡Ce n'est pas qu'aux citoyen.ne.s et aux catégories les plus fragiles de se mobiliser ou bien de se restreindre. ⚡À l’aube de l’hiver et face à cet impératif de sobriété énergétique, la mise en application concrète des mesures rapides sont à prendre face à la pression publicitaire. Les panneaux de publicité dans l’espace public, servant uniquement des intérêts purement économique,participent à l'effondrement de la biodiversité. De plus ils encouragent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡Un cadre légal existe. Le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin. Il est non seulement mal appliqué, mais en plus largement insuffisant. Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*. Laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! ⚡Nous, habitantes et habitants de Saint Brieuc Agglomération demandons expressément la mise en place des mesures suivantes : - L’extinction permanente ou la suppression des panneaux lumineux et écrans publicitaires, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés. ⚡Pour le climat et pour nos factures d’électricité, SAINT BRIEUC ARMOR AGGLOMERATION se doit d’être exemplaire, en ajustant le règlement local de publicité intercommunal (RLPI) pour être à la hauteur de ces enjeux. De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Il est temps pour notre agglomération de s’inscrire dans cette logique et mettre en place ces solutions évidentes ! ⚡A l’heure où nous sommes appelés, collectivement et individuellement, à faire des efforts, il est inimaginable que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. La force publique sait être réactive. Elle nous l’a prouvé lors de la crise sanitaire. Peut-elle se montrer aussi exigeante face à l’ urgence sociale et climatique et éviter de se faire à nouveau condamner pour inaction climatique ? Campagne lancée par : Extinction Rébellion Saint Brieuc, Langueux en Transition, Attac22, Youth for climate, Urgence Climatique Armor, VIVARMOR (0698393611), Paysages de France 22 Sources : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer) **L'effondrement de la biodiversité a été documenté par les naturalistes qui ont réalisé l'atlas de la biodiversité de St-Brieuc651 sur 800 SignaturesCréée par Extinction Rebellion Saint Brieuc, Attac22, YFC Saint Brieuc, le KIKAFEKOI, Langueux en transition, Vivarmor, Urgence climatique Armor et Paysages de France 22
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Grand Chambery : Pour une réglementation des publicités respectueuse de l'environnement !Pour les prochaines années, souhaitons-nous voir au bord des routes et à tous les coins de rues de Grand Chambéry des publicités : - envahir notre espace visuel, hypnotiser sans notre consentement les adultes et à fortiori les enfants ? - nous inciter à consommer, en véhiculant souvent des stéréotypes racistes, sexistes, grossophobes ? - laisser la part belle aux multinationales et délaisser les petits commerçants ? 📆 Le projet de Règlement Local de Publicité intercommunal (RLPi) doit être finalisé en décembre, c’est donc le moment pour nous faire entendre ! Ne laissons pas passer l’occasion ! Ce document aura un impact décisif sur les paysages et cadre de vie des habitants : en collaboration avec les élu.e.s qui sont aux manettes, les citoyen.ne.s, associations, commerçants, ont le pouvoir d’agir sur la quantité, la localisation et la taille de panneaux. Notre collectif de citoyen.ne.s et d’associations (liste ci-dessous) souhaite un territoire libéré de la publicité. Nous avons 8 demandes : 1️⃣ Pas de dérogation au Règlement National de Publicité, alors que cela est prévu actuellement, en particulier autour des monuments historiques, 2️⃣ Interdiction des enseignes et publicités numériques et des publicités lumineuses, 3️⃣ Limitation de la taille maximale des publicités à 2m2 et de la distance entre deux panneaux à 160m 4️⃣ Simplification du zonage et des règles du RLPi, pour faciliter la compréhension et l’application du RLPi, ainsi que le contrôle de la conformité des publicités, 5️⃣ Instauration d’une zone blanche autour des établissements éducatifs et culturels, pour protéger les enfants et les jeunes des impacts de la publicité, 6️⃣ Interdiction des publicités commerciales sur les abris urbains destinés au public, 7️⃣ Harmonisation des règles pour les enseignes entre les centres-villes et les autres zones, 8️⃣ Pas de dérogation pour les enseignes et publicités temporaires. L’ensemble de ces mesures rejoint la proposition 2.2 de la Convention Citoyenne pour le Climat dans : « Interdire les panneaux publicitaires dans les espaces extérieurs, hors information locale et culturelle, ainsi que les panneaux indiquant la localisation d'un lieu de distribution » et permettrait de s’aligner sur la sobriété demandée aux citoyennes et citoyens. 🌳 Ces mesures permettront de réduire les incitations à la surconsommation et à l’épuisement des ressources naturelles. 🩺Elles doivent aussi protéger nos citoyens et leur santé, en limitant les distractions au volant et les troubles de la mémoire, du sommeil ou de l'attention liés à l’exposition aux écrans et à certains messages publicitaires, comme le préconise l’Agence Nationale de la Sécurité Sanitaire et le Haut Conseil de la Santé Publique1. 🏔 Elles protégeront notre cadre de vie en embellissant les centres-villes et les portes d’entrées de notre territoire, en cohérence avec le projet de Grand Chambéry de développer un tourisme intégré et respectueux de la vie locale et des patrimoines. 🦋 Ces mesures protègent par ailleurs notre environnement en réduisant la pollution lumineuse, comme le préconisent le ministère de l’Environnement et l’Office Français de la Biodiversité2. En effet, la pollution lumineuse provoque le dérèglement des rythme de vie des espèces animales, la perturbation des déplacements des espèces et la fragmentation des milieux naturels. 💡 Cela réduirait de plus la consommation d’électricité et le risque de tension sur le réseau électrique. L’extinction des publicités est prévue à titre exceptionnel par la loi3 et soutenue par l'entreprise gestionnaire du réseau public de transport d'électricité (RTE)4. M. Gamen, Mme Wolff, respectivement en tant que Président de Grand Chambéry et Vice-présidente chargée de l'urbanisme et du droit des sols, nous vous demandons de traduire dans le RLPi les messages que vous portez de vos administré.e.s. En effet, vous incitez les habitantes et les habitants de Grand Chambéry à apposer un autocollant « stop pub – oui aux publications des services publics » sur nos boites aux lettres. D’ailleurs, grâce à cet autocollant, nous avons reçu le dernier Cmag dans nos boites aux lettres, où nous pouvons y lire ces mots de Philippe Gamen : « Nous sommes un territoire naturellement surprenant, où il fait bon vivre et travailler », et surtout, « nous souhaitons le rester. » La cohérence des politiques publiques impose de poursuivre cette logique dans le RLPi en limitant drastiquement la publicité sur notre territoire. Ce serait une mesure claire de votre ambition et de votre engagement environnemental! Nous comptons sur vous ! Pétition soutenue par les associations et collectifs suivants : Greenpeace Chambéry, Conscience et Impact Ecologique Savoie, Amis de la Terre 73, Attac Savoie, Extinction Rebellion Chambéry, Alternatiba Savoie. Pour plus d'infos sur le RLPI : https://www.grandchambery.fr/3400-reglement-local-de-publicite-intercommunal-rlpi.htm 1 Source : https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=1000 2 Sources : https://www.ofb.gouv.fr/actualites/un-nouvel-indicateur-pour-mesurer-la-pollution-lumineuse et https://www.ecologie.gouv.fr/pollution-lumineuse 3 Article D143-2 du Code de l’environnement 4 Source : https://assets.rte-france.com/prod/public/2021-12/Bilan-previsionnel-2019-rapport.pdf1 262 sur 2 000 SignaturesCréée par Greenpeace Chambéry
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Non au bitumage du chemin vert de EuLors d’un entretien avec Eddie Facque, président de la CCVS, nous avons eu confirmation que l’aménagement du chemin vert du Petit Caux aurait bien lieu. Estimés à un peu moins de 2 millions d’euros, les travaux – semblent-ils subventionnés à 80% par l’Etat, la région Normandie et le Département de Seine-Maritime – comprennent l’élagage et la coupe des arbres et buissons, la restauration des ouvrages d’art, la réalisation d’une bande de bitume de 3 mètres de large – entraînant l'élargissement du chemin à 6 mètres minimum – sur 7 kilomètres et, en principe, la plantation d’arbres en lieu et place de ceux qui auront été abattus. Nous avons redit au président notre opposition à cette hérésie et mis en avant les presque 7000 signatures enregistrées à ce jour de citoyens s’opposant eux aussi à ce désastre. Nos arguments, tant environnementaux que financiers, n’ont reçu aucun écho. Nous vous invitons à nous retrouver le samedi 19 novembre à 14h30 à l’entrée du chemin vert, à Eu. Venez nombreux, en famille, à pied, en vélo, à cheval…pour marquer à nouveau votre opposition à ce projet contre nature !!159 sur 200 SignaturesCréée par Sarah G.
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Greenpeace Narbonne et XR Carcassonne s'allient pour dire Stop au gaspillage énergétique !A l’heure où nous sommes appelés, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ❌ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme l’équivalent en moyenne des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*. Laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. 🛑 Narbonne doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. Nous demandons : 👉 L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin 👉 L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin 👉 L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés 👉 Une meilleure gestion de l’éclairage public 👉 L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le bon sens d’une sobriété choisie et responsable. 👉 Narbonne aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)210 sur 300 SignaturesCréée par Greenpeace Narbonne et Extinction Rebellion Aude
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Vannes : Stop au gaspillage énergétique !À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)368 sur 400 SignaturesCréée par Extinction Rebellion Vannes
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Valenciennes : Stop au gaspillage énergétique !⚡️ À l'heure où l'on nous appelle à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries et diminuer les émissions de gaz à effet de serre, il est incompréhensible que perdurent autant de gaspillage d’électricité et de pollution lumineuse dans nos villes. Les efforts de sobriété ne doivent pas reposer que sur les individus, ce serait injuste mais aussi incohérent car insuffisant. À Valenciennes, la facture de la commune pour l'électricité, le gaz et l'eau va passer de deux à onze millions d’euros. ⚡️ La première réponse du maire M. Degallaix a été d'annoncer la fermeture de salles de sport municipales. Il est revenu sur cette décision face à l'indignation des habitant-es. Il s'agirait d'un "coup de com'", d'une "connerie" calculée, assumée par le maire [1] [2]. 🌟 Fin octobre, M. Degallaix a envoyé un courrier invitant les commerçant-es à éteindre leur vitrine et enseigne aux horaires de fermeture, leur demandant ainsi d'aller plus loin que le cadre légal [3]. Initiative louable, mais ... ⚡️ INCOHÉRENCE N°1 : L'éclairage public La municipalité de Valenciennes est elle-même à l'origine de nombreux dispositifs lumineux décoratifs, qui contribuent au gaspillage énergétique et à la pollution lumineuse de plus en plus massive et les banalisent. L'éclairage public de la ville n'est ni sobre ni respectueux de la biodiversité, en opposition avec la charte signée par la ville en 2014 [4]. Or, l'éclairage public représente environ 23 % de la facture énergétique de chaque commune. Ainsi, près de 40 % de la facture d'électricité d'une collectivité est dédié à l'éclairage public (source : Ademe). ⚡️ INCOHÉRENCE N°2 : "Faites ce que je dis, pas ce que je fais" Le maire invite les commerçant-es à éteindre leurs enseignes et vitrines tandis que la municipalité approuve l'implantation d'écrans publicitaires vidéos et un plan lumière comprenant des éclairages purement décoratifs. Alors qu'il pourrait l'interdire, le futur Règlement Local de Publicité (RLPi) pour Valenciennes prévoit l'autorisation de l'implantation d'écrans publicitaires vidéos, qui n'ont pas attendu son approbation pour proliférer (place d'Armes, place Carpeaux, place du Canada...) [5]. Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*. (Sources : Ademe et Agence Française de l'Énergie). ⚡️ INCOHÉRENCE N°3 : L'injustice sociale Le maire a proposé de fermer des salles de sport municipales pour faire des économies, alors qu'à l'échelle intercommunale il porte en tant que président un projet de dépense de plusieurs dizaines de millions d'euros pour un golf privé [6]. 🌟 D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes que le cadre légal pour réduire leur consommation énergétique. Pourquoi pas Valenciennes ? 👉 NOUS DEMANDONS 🌟 1 - L’extinction permanente, jour et nuit, des panneaux publicitaires rétro-éclairés (abribus et autres) et l’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux 🌟 2 - La désinstallation des écrans publicitaires vidéos ou à défaut leur extinction permanente, et leur interdiction sur tout le territoire de l'agglomération de Valenciennes par le biais du RLPi 🌟 3 - Une révision de la gestion de l’éclairage public (baisser le nombre de points lumineux et leur intensité, supprimer les dispositifs décoratifs, inclure des trames noires pour la biodiversité...) en accord avec la charte signée par Valenciennes en 2014 🌟 4 - Une gestion démocratique de la transition vers la sobriété énergétique : la municipalité se doit se doit de sensibiliser, informer, consulter et rendre des comptes aux citoyen-nes. Ces mesures peuvent être davantage plébiscitées dans un contexte de crise énergétique, mais il est cohérent qu'elles soient adoptées au plus vite et pérennes, au regard des conséquences sanitaires et sociales du dérèglement climatique, de l'effondrement de la biodiversité et de la crise énergétique. Suivre la campagne "C'est pas Versailles ici !" dans le Nord : https://linktr.ee/cpvi59 Contacts mail : [email protected] (campagne) ou [email protected] (groupe local) Sources [1] https://www.bfmtv.com/grand-lille/replay-emissions/nord-week-end/valenciennes-des-salles-de-sports-ouvertes_VN-202210220113.html [2] https://www.lavoixdunord.fr/1244325/article/2022-10-21/valenciennes-les-salles-de-sport-resteront-finalement-ouvertes-mais-sans [3] https://www.lavoixdunord.fr/1245775/article/2022-10-25/laurent-degallaix-demande-aux-commercants-valenciennois-d-eteindre-les-lumieres [4] https://noe.org/nuits-de-noe [5] https://www.valenciennes-metropole.fr/actualite/enquete-publique-du-rlpi-venez-vous-exprimer/ [6] https://chng.it/2jnTPrRpRN106 sur 200 SignaturesCréée par Extinction Rebellion Valenciennes
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Limoges Stop au gaspillage énergétique !À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)224 sur 300 SignaturesCréée par Extinction Rebellion Limoges
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Crest ! Stop au gaspillage énergétique !À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)129 sur 200 SignaturesCréée par Extinction Rebellion Drôme
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APPEL A LA REVOLUTION ECOLOGIQUE DANS LE GRAND LIBOURNAISLes premiers signaux d'alarme ont résonné à partir des années 30, avec Ellul et Charbonneau. Plus fort dans les années 60, avec la compréhension du rôle du DDT dans la disparition des oiseaux et la parution du « Printemps silencieux » de Rachel Carson. Plus stridents encore au début des années 70 avec le rapport Meadows, vendu à 1 million d'exemplaires. Et les années 80, avec la création du GIEC, les Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, les COP, et les rapports scientifiques qui se succèdent, c'est carrément le hurlement des sirènes d'alarme et les voyants d'alertes rouges clignotants. Cela dans l’indifférence quasi générale. Cela fait 30 ans qu'il y a consensus scientifique sur les causes et les conséquences prévisibles du dérèglement climatique. 30 ans que nous savons ce qui va se passer. 30 ans que les lobbies économiques nous mentent pour gagner du temps et de l'argent. 30 ans que nous ne faisons rien à la hauteur des enjeux. Et en 30 ans la production des gaz à effet de serre, a progressé de 50% ! Mis à part une poignée de militants écologistes, ces alertes n'ont été entendues, ni par la grande majorité de nos concitoyens, ni par les élites économiques et politiques. Elles sont comme tétanisées, incapables de remettre en cause ce modèle économique qu'elles ont mis en place, qui les enrichit et... qui détruit l'habitabilité de la planète. Ils nous ont conduit dans une impasse. Quelle va être leur légitimité quand la population, notamment les jeunes, va comprendre ce qui les attend ? Les crises vont être de plus en plus rapprochées et violentes. Cela va être brutal. Rassembler le plus grand nombre de nos concitoyens pour adapter collectivement et rapidement notre modèle économique, social et démocratique, est notre meilleure chance de redonner un avenir au moins de 50 ans. Que faire ? Comment atterrir ? Vu le poids des lobbies et le déni de réalité de la quasi-totalité du monde économique et politique, il n'y aura pas de solutions descendantes à la hauteur des enjeux. Elles ne pourront remonter que de la société civile : nous ! Nous vous proposons d'agir là où nous le pouvons encore, le local. Pour cela il s'agit de mobiliser et renforcer l'engagement écologique et solidaire du plus grand nombre de citoyen.ne.s du Grand libournais : - en s'appuyant sur les initiatives existantes, en les renforçant, en participant à leur convergence - en créant des dynamiques d'éducation populaire, de démocratie participative - en inventant des espaces de rencontres, de convivialité, des projets culturels, artistiques, festifs qui travaillent sur l'imaginaire, font émerger de nouveaux récits, plus attractifs que les passions tristes - en construisant sur le territoire un rapport de force organisé non violent favorable à la vie En signant cette pétition, nous demandons à l'ensemble des élu.e.s du Grand Libournais d’agir résolument et de co-construire avec les citoyennes et les citoyens, la révolution écologique, solidaire et non-violente du territoire. Citoyen.ne.s du Grand libournais nous souhaitons participer activement à la mise en œuvre de cette politique et travailler avec les élu.e.s, tout en réduisant notre propre impact carbone et en participant activement à des projets citoyens locaux. Pour construire ce futur désirable sur notre territoire, nous serons nombreux à participer aux États Généraux pour le climat..., qui auront lieu le dimanche 20 novembre de 14h00 à 19h00 au Château des Rochers à Belvès de Castillon. Nous y co-construirons un diagnostic et lancerons des actions à l'échelle locale. A crise systémique, réponse systémique, les chantiers à réaliser sont multiples. Réduire de 55% notre production de GES d'ici 2030, adapter collectivement notre territoire et accompagner les plus fragiles, doivent être nos priorités. Rien n'a été anticipé. Nous devons devenir résilients. D'après le World Resources Institute, nous devons multiplier par 6 les transports publics, diviser par 10 notre utilisation de ciment, diviser par 5 notre consommation de viande, multiplier par 10 les financements publics pour la transition écologique... Ce qui doit nous amener par exemple d'ici 2030 à : - Produire une agriculture et une alimentation 100 % bio, beaucoup plus riche en légumes, céréales et protéines végétales, en prioriser la distribution aux femmes enceintes, aux enfants de moins de 3 ans, aux personnes à faibles ressources financières... - Arracher 10 000 hectares de vignes pour y installer 1000 paysans bio en agroécologie, agroforesterie, permaculture, polyculture élevage, traction animale... qui produiront des protéines végétales, des isolants bio sourcées, des ENR pour la ferme - Réduire de 50% la circulation automobile en multipliant les déplacements à pied, en vélo, le co-voiturage, les transports en commun, en triplant le nombre de TER en circulation - Isoler 10 000 « passoires énergétiques » du parc immobilier avec des agromatériaux (paille, chanvre...) produit sur le territoire - Multiplier les sources de production d'énergies renouvelables - Construire des réseaux de solidarité, d'entraide et de coopération au profit des personnes les plus fragile du territoire, des territoires voisins et des futurs réfugiés climatiques Elu.e.s comme non élu.e.s. nous portons toutes et tous une part de responsabilité dans la situation actuelle. Plus ou moins importante selon les fonctions. Les citoyennes et les citoyens du Grand Libournais ont besoin de se sentir soutenu.e.s et accompagné.e.s pour que vive l'espoir de garder notre planète habitable pour les générations actuelles et futures.225 sur 300 SignaturesCréée par Collectif climat du Grand L.
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