• CUGNAUX : pour des repas sains à la cantine !
    La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans. Toute la restauration scolaire – de la maternelle au lycée – doit proposer au moins un menu végétarien par semaine depuis le 1er novembre 2019. Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Cugnaux n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). De plus, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! nous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tous par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses… sans fromage ni oeuf) ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Cugnaux ? Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité.
    179 sur 200 Signatures
    Créée par Cugnaux en Transition ..
  • Fort de France : pour des repas végétariens à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Fort de France n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! M. LAGUERRE, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Fort de France ? OUI, Fort de France doit être exemplaire. Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    135 sur 200 Signatures
    Créée par Greenpeace Martinique
  • St Mars de Coutais : pour des repas bio, locaux, cuisinés sur place
    Bien manger devrait être une priorité. Outre le plaisir que procure le fait de se nourrir, l'alimentation est un enjeu de santé publique. Liée à notre environnement, elle devrait le respecter plutôt que contribuer à sa mise en péril, et par conséquent à notre mise en danger. C'est pourquoi des services de restauration scolaire cherchent à être exemplaires en proposant une majorité d'aliments sans pesticide, provenant d'un rayon le plus proche possible de la cantine. Aujourd'hui, à Saint Mars de Coutais, les écoliers ont la chance de manger des repas servis en liaison chaude et provenant d'un prestataire situé à une vingtaine de km de la commune. Mais : seul un menu bio est servi par mois, seul un menu végétarien par semaine (comme l'exige la loi à titre expérimental) et une à trois viandes de qualité label Rouge par semaine. Qu'en est-il réellement de la part des produits locaux, et dans quelle mesure sont-ils considérés par le prestataire et la commune comme locaux (25, 50, 100 ou 150 km) ? Pourquoi la part d'aliments biologiques reste-t-elle aussi faible quand d'autres cantines parviennent à proposer 70 à 100% de bio à un prix équivalent à celui que paient des familles de Saint Mars de Coutais (4,7€) ? Pourquoi ne pas anticiper les obligations légales de 50% de produits de qualité dont 20% de bio qui seront appliquées dès 2021 ? Pourquoi se contenter d'un menu sans viande par semaine et ne pas rendre obligatoire deux menus végétariens par semaine ? La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir pour la santé de nos enfants et de notre planète ! M. le Maire et M. ou Mmes les futur·es élu·es de Saint Mars de Coutais, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - une majorité de produits frais, bio et locaux - deux menus sans viande ni poisson par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* et de prévoir l'aménagement d'une cuisine sur place pour pouvoir proposer ces produits cuisinés maison, avec encore moins de transport et d'emballages. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme Saint Lumine de Coutais près de chez nous ou Chéméré avec environ 90% de fruits et légumes bio et locaux ; c’est aussi le cas de grandes villes comme Lille ou Grenoble qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Saint Mars de Coutais ? OUI, Saint Mars de Coutais doit être exemplaire. Notre commune, que nombre d'habitant·es apprécie pour sa qualité de vie entre ville, mer et campagne, doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. Le trop grand nombre de cas de cancers pédiatriques relevés à Sainte-Pazanne et dans les communes telles que la nôtre nous rappelle l'urgence qu'il y a à agir pour un environnement et une alimentation plus sains. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    323 sur 400 Signatures
    Créée par La Cantoche d.
  • Perpignan : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Et notre ville de Perpignan n'échappe malheureusement pas à ce constat, alors que c'est une ville championne et reconnue pour ses fruits et légumes de haute qualité ! La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Monsieur Jean-Marc Pujol, Monsieur le Maire de Perpignan, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas à Perpignan ? OUI, Perpignan doit être exemplaire. Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    243 sur 300 Signatures
    Créée par Philippe A.
  • Alternatives végétariennes au lycée de lannion!
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Lannion n'échappe pas à ce constat. De la viande et du poisson sont servis quotidiennement aux 2000 élèves et 320 membres de personel! La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir! Nous demandons d'introduire dès maintenant: - Un menu sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine ( comme le prévoit la loi) - Des alternatives végétariennes tous les jours afin de garantir des repas équilibrés aux personnes ne mangeant pas de porc ou étant flexitariennes, végétariennes ou véganes. - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Lannion? OUI, Lannion doit être exemplaire. Notre lycée doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    313 sur 400 Signatures
    Créée par Zélia et Charlélie C.
  • Lycée Fresnel de BERNAY : Pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Notre Lycée n'échappe pas à ce constat et nous avons commencé à faire ces demandes en commissions cantine, sans pour le moment beaucoup de résultat ! La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Mme JAMELIN, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas BERNAY ? OUI, BERNAY doit être exemplaire. Notre lycée doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    206 sur 300 Signatures
    Créée par stephane c.
  • Vincennes : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Vincennes n'échappe pas à ce constat. Des efforts sont certes fait mais nous devons bousculer nos habitudes. Le future de la planète de nos enfants valent ce chamboulement. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, bio, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Madame Libert Albanel, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Vincennes? Nous avons largement les moyens de le faire. OUI, Vincennes doit être exemplaire. Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    79 sur 100 Signatures
    Créée par Ornella L. Picture
  • Lunel : Pour des repas sains et bon à la cantine
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires. Cette surconsommation a des effets dévastateurs sur la planète*. Le lycée Louis Feuillade n'échappe pas à ce constat. Une loi, votée en octobre 2018, rend obligatoire l’introduction d’un menus sans viande ni poisson par semaine d’ici le 1er novembre 2019. Au vu de l’urgence climatique et environnementale, ça ne suffit pas. Je demande au Lycée Louis Feuillade non seulement d’appliquer la nouvelle loi « Agriculture et Alimentation », mais aussi d’introduire : - Une majorité de produits frais, bio et locaux ; - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; Notre lycée doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de notre santé, une priorité. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Merci ! *déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux… *composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni œuf
    606 sur 800 Signatures
    Créée par Lucas T. Picture
  • Chaville : pour un deuxième repas végétarien
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). La mairie de Chaville prend peu à peu conscience de cela. Aujourd'hui 1 menu végétarien est proposé par semaine, mais nous devons portez plus nos efforts sur la qualité, la diversité, et la confection locale de ce repas. Nous voulons nous assurer que ces menus végétariens durant la semaine seront pérennes sur le long terme. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir. Madame Levavasseur, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Chaville ? OUI, Chaville doit être exemplaire. Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    172 sur 200 Signatures
    Créée par nicolas s.
  • ORSAY : Ensemble pour la santé des enfants et de la planète !
    La surconsommation de viande, poisson et produits laitiers : - Détruit la planète : l’élevage est synonyme de déforestation, d’émissions de gaz à effet de serre, d’une forte consommation d’eau et de pollution… Et beaucoup de produits de la pêche proviennent de méthodes qui épuisent les stocks et détruisent les fonds marins. - Impacte la santé : une alimentation trop riche en graisses et en protéines animales peut entraîner une augmentation des maladies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, …). Le sujet avance dans beaucoup de pays. En France, un repas végétarien par semaine sera désormais obligatoire à partir de novembre 2019 (loi EGalim). Face aux enjeux, il est nécessaire d'accompagner pleinement cette mise en oeuvre et d'aller plus loin. Les cantines d’Orsay bénéficient d’une cuisine de production et de repas basés sur des produits bruts. Par ailleurs, la mairie a engagé en mars une discussion sur la restauration scolaire. La question de la place des protéines animales a été posée. Des efforts concrets sont désormais attendus. Montrons que nous, parents et citoyens d’Orsay, soutenons le développement des repas végétariens et voulons que tous les moyens soient mis en œuvre pour leur succès dès à présent. Ainsi, nous demandons à la Ville d’Orsay de : - A la rentrée 2019, se mettre en conformité avec la loi. - Début 2020, servir 2 menus sans viande ni poisson par semaine dont 1 min. exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni œuf). - Faire en sorte que ces menus soient gustatifs, variés et appréciés grâce à des actions de formation, à la maîtrise et à la variété des recettes, à la lutte contre le gaspillage et à l’inclusion du périscolaire comme outil de sensibilisation. - Profiter des économies réalisées pour améliorer la qualité des produits : plus de bio, de respect des saisons et de local, de la viande bio ou label rouge, du poisson issu d'une pêche responsable. Des villes ont déjà pris les devants pour une alimentation responsable comme Lille, Grenoble, Paris 19 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et 2 menus végétariens par semaine. Monsieur le Maire, vous aussi, vous pouvez agir pour défendre la santé des enfants et de la planète. Orsay peut être exemplaire. Nous comptons sur vous !
    348 sur 400 Signatures
    Créée par GL Orsay G.
  • 2 repas végétariens par semaine dans les écoles primaires, Rouen peut le faire !
    Pourquoi faut-il agir maintenant ? En octobre 2018, la loi agriculture et alimentation a prévu l’instauration d’un repas végétarien hebdomadaire dans toutes les cantines scolaires à partir de novembre 2019, pour une période d’expérimentation de deux ans. La ville de Rouen, s’inscrit dans cette démarche en proposant depuis avril 2019 un repas végétarien par mois dans certaines cantines scolaires. La ville s’est engagée à proposer un repas végétarien par semaine d’ici la fin de l’année, comme le prévoit la loi. C’est un bon début, mais ce n’est pas suffisant et il est urgent de faire plus ! Nous souhaitons accompagner notre ville dans cette transition et encourager nos élu.e.s à faire davantage pour nos enfants. Si nous voulons agir pour la transition de nos modèles agricoles et alimentaires, il nous faut miser sur le courage et l’engagement de nos décideurs locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants en allant plus loin que le cadre légal, comme c’est le cas à Lille et Grenoble, qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Pourquoi est-ce si important ? - A l'école, rien que pour le déjeuner, la viande et les produits laitiers servis représentent à eux seuls entre 200 et 400% des apports en protéines conseillés par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (ANSES). Réduire l’apport de protéines animales au profit des protéines végétales (céréales et légumineuses) permet de varier les sources de protéines, assurant ainsi une meilleure santé à nos enfants. - Une alimentation trop riche en graisses et en protéines animales peut entraîner une augmentation des maladies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires…) - La surconsommation de viande a des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…) - Notre alimentation impacte l’environnement et le climat. L’élevage représente plus de 14 % des émissions globales de gaz à effet de serre, ce qui est comparable aux émissions du secteur des transports ! Loin de n’être qu’une mode passagère, la réduction de la viande et plus généralement de la portion de protéines animales à la maison comme à la cantine, est le fruit d’une réflexion partagée par un nombre toujours plus important de familles soucieuses de la santé de leurs enfants et de celle de la planète. Objectif : Deux repas végétariens par semaine pour la rentrée ! Mesdames et Messieurs les élu.e.s, allez plus loin dans votre engagement pour nos enfants en proposant dès maintenant davantage de repas de qualité, nos enfants le méritent … la planète aussi ! #2FoisTrop #CantineVerte #VégéCantine.
    281 sur 300 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Rouen
  • Aix-en-Provence : Manifeste pour la santé de nos enfants et la défense de l’environnement
    Il est un devoir que chaque enfant ait le droit de manger des repas sains, de qualité, bio et de saisons dans les cantines scolaires. Un changement de notre mode de consommation est déjà une première étape pour dire non aux méthodes d’exploitation intensive qui provoquent stérilisation de nos terres, maltraitance animale, et développement inquiétant d’aliments industriels souvent néfastes pour la santé. Si nous voulons que nos enfants soient en bonne santé, il serait judicieux de s’intéresser à leur alimentation. L’instauration d’une éducation à l’alimentation devrait passer par le biais de l’école, lieu de transmission et de pédagogie. La cantine est donc un point clé dans l’éducation alimentaire et la santé de nos enfants. Nous devons impérativement infléchir de façon raisonnable notre mode de consommation. Le constat est qu’aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison aux quantités recommandées par l’Agence Nationale de Sécurité Alimentaire (ANSES). Cette surconsommation de viande et de produits transformés génère surpoids , obésité , diabète, maladie cardiovasculaire et a un effet néfaste pour la planète car l’élevage industriel est responsable de 14,5 % de gaz à effet de serre au niveau mondial autant que la pollution due aux transports, de la déforestation , de la dégradation des terres, de la pollution des eaux et du mépris du bien-être des animaux etc.... Nous devons soutenir une agriculture plus respectueuse de l’environnement , de l’être humain et de la nature. Nous sommes devant une urgence planétaire que nul ne peut à présent ignorer. Il est donc impératif de favoriser la consommation des protéines végétales par rapport aux protéines d’origine animale : lentilles, pois chiches, soja , etc... Sont d’excellentes alternatives, bonnes pour la santé des enfants et goûteuse. Réduire les quantités de viandes et de poissons cela permettra de faire des économies et réduira le gaspillage alimentaire pour acheter des produits de meilleure qualité en favorisant le local et le bio pour garantir une alimentation sans pesticides, sans OGM, sans additifs chimiques. C’est pour toutes ces raisons , que nous demandons l’instauration de deux menus végétariens dans les cantines scolaires . Nous invitons les parents d’élèves, les associations, la société civile et élus locaux à soutenir ce manifeste en le signant. Ces actions sont un début, et nous devons aller plus loin pour créer un monde écologiquement responsable, un monde éthique, pour un avenir humain. Les enfants et la planète nous remercieront ! Écrit par le groupe local Greenpeace Marseille Référence : "Le 55e rapport du GIEC (IPCC 2014, chapitre 11), reprenant les calculs de Stehfest et al. (2009), estime que la simple application des recommandations nutritionnelles de la Harvard Medical School, qui conseillent de limiter la consommation moyenne de viande de ruminants à 10 g par jour et la consommation des autres viandes, du poisson et des œufs à 80 g par jour, permettrait de réduire de 36 % les émissions de GES d’origine agricole, et de plus de 8,5 % les émissions totales. Cette mesure serait aussi efficace que de diviser par deux l’ensemble du trafic routier mondial. "
    222 sur 300 Signatures
    Créée par Greenpeace M.