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Poursuivons notre lutte contre le poulailler industriel géant de Peyrins (Drôme)Pour soutenir les associations qui portent les actions en justice. Chaque signature compte ! Pour protéger notre environnement - Pollution actuelle amplifiée : eau, air, odeurs, mouches, bruit, ... - 698 camions/an et tracteurs sur des petites routes dont l'entretien incombe à tous. - 14 218 kg/an d'ammoniac (nocif pour les bronches). - Impact de l'épandage (nitrates, phosphates, antibiotiques) sur 10 communes de la Drôme des collines, pollution des sols, de l'air et de l'eau (nappes phréatiques) par 1596 tonnes de fumier par an répandus sur plus de 300ha ! - Consommation d'eau entre 11 000 et 15 000 m3 (équivalent à la consommation de plus de 100 foyers.) alors que l’exploitation se trouve dans un bassin où l’eau est rationnée. - Nourriture des poulets à base de soja importé d’Amérique (25%) favorisant la déforestation et de maïs issue de l’agriculture intensive (pesticides et engrais synthétiques). Pour lutter contre la maltraitance animale : - 21 poulets au m², soit une surface de moins d'une feuille A4 par poulet. - Les poulets sont enfermés sans voir la lumière du jour, engraissés pendant 37 jours (sélection génétique à forte croissance). Pour soutenir les revenus de nos éleveurs : L’éleveur vend le kilogramme de poulet à 28 centimes au géant industriel DUC, filiale du groupe néerlandais PLUKON. L’éleveur est endetté sur 15 ans. Il subit des variations de charges (gaz, électricité, eau) qu’il ne maîtrise pas. Quant à DUC le donneur d’ordres, seul client de l’éleveur, il peut modifier à tous moments les quantités livrées et le nombre de livraison par an. D’autres modèles économiques existent permettant à l’éleveur de maitriser sa production et de proposer un produit de qualité à un prix décent. Où en sommes-nous ? Le permis de construire a été refusé par le Conseil Municipal de Peyrins. Dans le cadre de l’enquête publique, 223 avis sur 255 se sont déclarés opposés à ce projet. Pourtant, le préfet a suivi l'avis de l'enquêteur public et donné son autorisation à ce projet La FRAPNA, associée avec des habitants proches, va déposer un recours début décembre devant le Tribunal Administratif, bloquant le démarrage du chantier. La décision du tribunal administratif pourra faire l’objet d’un appel si le tribunal confirme la décision du préfet. L'Association « Prévention Environnement Santé Drôme des Collines » (PESDC) porte cette pétition afin de soutenir les associations qui actent en justice. Soutenue par : FRAPNA Drôme Nature Environnement, Générations Futures, Protégeons le Mont Vanille Royans Vercors, ASET, Greenpeace Grenoble, Écologie au quotidien...639 sur 800 SignaturesCréée par Association Prévention Environnement Santé Drôme des Collines
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Centre Ouest Bretagne : Pour un territoire à la hauteur des enjeux environnementaux et sociaux👫 En 2022, un groupe d'une trentaine d'habitants et d'habitantes s'est saisi du sujet de l'avenir du territoire Centre Ouest Bretagne en prenant en compte les évolutions du climat et la nécessité d'une réappropriation des ressources au profit des habitants et habitantes du territoire. Ce groupe a produit une série de propositions dans un Document d'Objectifs et d'Orientations. ⛔ Ces propositions qui ont nécessité plus de 300 heures de travail collectif ont fait l'objet d'une présentation au Pays COB qui a, sitôt sa remise, écarté et mis au placard le document ! Tout au long de la procédure d'élaboration du SCoT, le Pays COB a minimisé la participation du public lors de la phase dite de "concertation", comme le relève la Commission d'enquête "en ne prenant pas position sur les observations du public, la commission d’enquête estime que le maître d’ouvrage n’a pas œuvré pour valoriser le rôle que la concertation, fusse-t-elle institutionnelle, peut jouer dans l’aménagement et le développement du territoire, et l’appropriation du projet." ⛔ La Commission d'enquête a analysé le projet de SCoT porté et élaboré par le Pays COB. Elle exprime un avis défavorable : le projet n'est pas récupérable tellement il est défaillant à atteindre ses objectifs. Le projet est ainsi décrit par la Commission d'enquête "Le scénario retenu, aux yeux de la commission d’enquête, est celui d’une poursuite des politiques passées. (...) Il ne permet pas de garantir une réelle mobilisation du parc vacant de logements, ni une redynamisation d’un territoire vieillissant, ni l’adaptation du territoire au réchauffement climatique et ses enjeux en matière de protection des ressources naturelles, des milieux naturels et de la santé humaine.". Il ne répond ainsi pas aux enjeux majeurs qui traversent notre territoire, et pourtant, il risque d’être validé prochainement par le préfet ! 🌱 Nous aspirons à la mise en place d’orientations pour une transition du territoire vers l’agro-écologie, seule capable de respecter la santé des populations, de préserver les ressources naturelles et la biodiversité, de limiter les impacts climatiques pour les décennies à venir et d’offrir des emplois nombreux et de qualité à la population locale. Par cette pétition, nous demandons ainsi : 👉 Le retrait du projet actuel, proposé par le Pays COB 👉 L'organisation d'une réelle concertation avec les habitant⸱e⸱s du territoire 👉 La prise en compte des enjeux (environnement, santé, mobilité, emplois) et des limites en ressources pour les 20 ans à venir en écartant, entre autres, le développement de l'agro-industrie et des fermes-usines. ❌ Agissons maintenant pour éviter la validation prochaine du projet de SCoT par le préfet ! Signez la pétition et suivez la campagne en restant informé⸱e par email. Le Collectif H comme Habitant⸱e⸱s Contact : [email protected] Plus d'infos sur Rares Averses, rubrique "info-luttes".2 774 sur 3 000 SignaturesCréée par Collectif H comme Habitant.e.s
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La Ferme-Cueillette de Servigny à Lieusaint (77) en danger !En apportant votre signature, vous soutenez notre action pour la conservation de terres agricoles fertiles, le maintien d’une exploitation de proximité, vertueuse et engagée pour les générations à venir. Pétition proposée par un collectif de quatorze associations : * FNE Grand Paris Sud * FNE Seine-et-Marne * Essonne Nature Environnement * Alternatiba Sénart * Groupe Local LPO Grand Paris Sud * ADE (Association de Défense de l’Environnement de Sénart et environs) * ARNASSEN (Association pour la reconnaissance de Noisement) * C-E-E (Corbeil-Essonnes-Environnement) * SEE (Soisy-Etiolles- Environnement) * TESSA (Transition Écologique et Sociale de Sénart et Alentours) * Vergers Vivants de Lieusaint, * ABC (Association des Bois du Canton) * GABI (Groupement des Apiculteurs de Bréviande) * Les Coquelicombs8 603 sur 9 000 SignaturesCréée par Sauvons S.
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Droit à l'alimentation - pour l'ouverture de Conseils Locaux de l'AlimentationPourquoi la Sécurité Sociale de l'Alimentation Durable ? La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 déclare, en son paragraphe 1 de l’article 25, que : “Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation”. Par ailleurs, le droit à l’alimentation est reconnu en France par l’article L1 du Code rural précisant que : “Dans le cadre de la politique de l'alimentation définie par le Gouvernement, d'assurer à la population l'accès à une alimentation sûre, saine, diversifiée, de bonne qualité et en quantité suffisante, produite dans des conditions économiquement et socialement acceptables par tous, favorisant l'emploi, la protection de l'environnement et des paysages et contribuant à l'atténuation et à l'adaptation aux effets du changement climatique”. Aucune de ces garanties ne sont respectées aujourd’hui par le gouvernement ! Une France qui a faim : • 1/3 des Français·es ne mange pas 3 repas équilibrés par jour, faute de moyens. • En 2020, 7 millions de personnes ont dû avoir recours à l’aide alimentaire. Un système agricole qui broie les agriculteur·ice : • 1 à 2 paysan·nes se suicide tous les jours en France. • Les agriculteur.ices sont aussi les premières victimes des pesticides Un système agricole qui ne respecte pas les limites planétaires et menace notre sécurité alimentaire : • Le secteur agricole représente 1/5 des émissions de gaz à effet de serre de la France. • L’agriculture est la première activité utilisatrice d’eau douce, avec 58% du volume total consommé. • En 2022, les épisodes de sécheresse ont entraîné des pertes allant de 10 à 30% pour de nombreuses cultures Ce système agro-industriel capitaliste est à bout de souffle. Il est à la fois dangereux et contraire à la logique d'adaptation au dérèglement climatique. Notre gouvernement, par ses choix criminels délibérés, par son soutien à l’agro-business et par la guerre sociale qu’il impose aux plus pauvres, laisse une partie de sa population dans la faim, mine la santé des plus précaires, tue ses paysan.nes, détruit les terres qui nous nourrissent et menace notre sécurité alimentaire. Pourtant, des solutions justes et démocratiques existent et montrent déjà leur efficacité ! Pour que cesse l’ensemble de ces violences dont sont victimes les producteur·ices, les consommateur·ices et l’environnement, nous demandons la mise en place de Conseils Locaux de l’Alimentation (CLA). Ces conseils, initiés par les collectivités, seront ensuite gérés de manière démocratique par les citoyen·nes. Ces instances collectives sont une occasion de s’approprier les questions alimentaires et de rencontrer des producteur·ices locaux pour favoriser une agriculture durable. Au sein de ces conseils, les citoyen.nes pourront sélectionner et conventionner des aliments, des points de vente et des producteur.ices selon différents critères définis démocratiquement. Les Conseils Locaux de l’Alimentation ont pour objectif d’initier la mise en place d’une Sécurité Sociale de l’Alimentation Durable (SSAD). Actuellement, une trentaine d’initiatives locales de SSAD existent dans différents territoires en France. Notre objectif est qu’à terme, la SSAD soit étendue à tout le pays. Cette solution permettrait à chaque habitant.e, indépendamment de sa condition sociale, de bénéficier d’une carte vitale de l’alimentation d’un montant de 150€ tous les mois. Cette carte permettra d’acheter des produits sélectionnés et conventionnés préalablement par les citoyen.nes de manière démocratique. Comme pour la Sécurité sociale de la santé de 1946, le financement se fera par un système de cotisations, avec des caisses autogérées par les citoyen.nes, assurant ainsi une juste répartition. La SSAD permettra à la fois aux citoyen·nes de se réapproprier leur alimentation, de garantir une plus juste rémunération aux producteur.ices et d’amorcer une transition agricole vers un modèle plus durable. Parce que nous allons nous battre pour que notre droit à l’alimentation choisie soit respecté, signons cette pétition !92 sur 100 SignaturesCréée par Riposte Alimentaire Tours
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POUR UNE EAU POTABLE, SANS PESTICIDESSeptembre 2023 : Dans le département de la Vienne, les deux distributeurs d’eau, « Eaux de Vienne » et « Grand Poitiers », décèlent et quantifient dans l’eau du robinet la présence d’un métabolite (un résidu après épandage) du Chlorothalonil (le Chlorothalonil-R471811). Sa concentration dépasse les normes sanitaires de l’eau potable (1). Le Chlorothalonil a des effets sur la santé humaine très inquiétants. Il peut engendrer un risque sanitaire inacceptable pour le consommateur » (définition 2019 de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’Environnement et du travail). Il est suspecté par l’ANSES de présenter un risque cancérigène (2). Dans les deux tiers du territoire de la Vienne, les concentrations relevées ne répondent plus aux critères d’une eau potable (maximum 0,1µg par litre d’eau pour une molécule de pesticide). Pour les 330 000 habitants concernés, l’eau du robinet n’est plus « potable » : elle est dite « consommable », tant qu’elle ne dépasse pas une « valeur sanitaire maximale » fixée par l’ANSES à 3µg par litre. https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2024/01/Schema-petition-eau.jpg 👉 Une situation ubuesque dans la Vienne, une préfiguration dans toute la France ? Les 13 installations de traitement sur charbon actif dans la Vienne sont inadaptées à cette pollution massive : les deux producteurs d’eau de la Vienne ont déclaré qu’ils n’avaient pas les moyens financiers de mettre en œuvre les technologies complexes qui seraient efficaces (ultrafiltration ou osmose inverse) et qu’ils refusaient de faire payer la note – considérable – aux consommateurs. Pour toute réponse, l’Agence Régionale de Santé leur a demandé de solliciter du Préfet une dérogation pour distribuer une eau non potable, dérogation aussitôt accordée avec un délai de 3 ans renouvelable. Ces arrêtés préfectoraux de « dérogation » vont entériner légalement cette situation sans que les producteurs d’eau n’aient les moyens techniques et financiers de dépolluer à cette échelle et dans ce délai. 👉 Comment en est-on arrivé là ? Le fongicide Chorothalonil, imprudemment autorisé par l’État, a été épandu sur les terres agricoles durant trente ans avant d’être interdit en Europe en 2019, avec usage autorisé en France jusqu’en 2020. Les concentrations de ce métabolite ne devraient pas baisser dans les années à venir, mais au contraire augmenter compte tenu de la lenteur d’infiltration des eaux de pluie vers les nappes. De plus, d’autres métabolites du Chlorothalonil, non recherchés, pourraient aggraver la situation. Les deux tiers de la France et d’autres pays sont touchés. La Suisse, par exemple, a recherché et trouvé 8 métabolites du Chlorothalonil ! Pour rappel, « l’usage de l’eau appartient à tous et chaque personne physique, pour son alimentation et son hygiène, a le droit d’accès à l’eau potable dans des conditions économiquement acceptables par tous » (3). 👉 Par cette pétition, nous demandons : ➡️ Que l’État prenne ses responsabilités : il a donné, contre tout principe de précaution, une autorisation de mise sur le marché de ces substances. Il doit organiser une action curative immédiate, concrètement : L’Agence de l’Eau Loire Bretagne et l’État doivent fournir aux deux producteurs publics d’eau potable de la Vienne les moyens techniques et financiers pour dépolluer sans alourdir la facture d’eau de nos concitoyens. ➡️ Que le préfet de la Vienne prenne ses responsabilités de manière préventive : Il a les moyens règlementaires de limiter les risques qu’un autre pesticide reproduise demain la situation actuelle, concrètement : - Il peut restreindre ou interdire l’usage des produits phytosanitaires en cas de risque exceptionnel et justifié (en application de l’article 5 de l’arrêté du 4 mai 2017 relatif à l’utilisation de ces produits) - Il peut interdire les pesticides dans les périmètres de protection de ces captages s’ils sont déjà définis. - Il peut réviser tous ses arrêtés de DUP (Demande d’Utilité Publique) et en prendre de nouveaux pour les captages qui en sont dépourvus afin de prescrire des périmètres de protection correspondant aux zones vulnérables aux pollutions diffuses et interdire les pesticides dans ces zones. ➡️ Que les législateurs – nos député.es et sénateurs-rices – renforcent et simplifient la prévention des pollutions par nitrates et pesticides en inscrivant dans la loi : - L’obligation pour les préfets de définir pour tous les captages d’eau potable les Aires d’Alimentation de Captage (AAC) et d’y prescrire la cartographie de leurs zones vulnérables. - L’obligation d’interdire les pesticides dans les zones vulnérables des AAC et d’y limiter les apports en azote. ➡️ Que le gouvernement accompagne techniquement et financièrement l’ensemble de la filière agricole dans des pratiques agricoles soucieuses de la santé de tous et respectueuses de l’environnement dans les aires d’alimentation et de captage. Nous proposons que les producteurs d’eau, en difficulté pour fournir une eau potable : - Organisent, en coopération avec les agriculteurs, un programme d’actions volontaires agroécologiques pour chaque captage en limite ou en dépassement des normes de qualité. - Qu’en cas d’échec patent au bout de deux programmes, ils demandent au préfet le classement de l’Aire d’Alimentation en « Zone Soumise à Contraintes Environnementales » (ZSCE). Ainsi, l’État pourra alors interdire les pesticides dans les secteurs vulnérables de ces aires. Toutes ces mesures sont urgentes, notre santé à tous est en jeu. Le financement d’usines de dépollution risque de faire exploser le prix de l’eau, c’est pourquoi il est essentiel de la protéger par une agriculture durable sans intrants chimiques. Signez la pétition. Faites la circuler. On compte sur vous. Groupe local Greenpeace Poitiers Vienne Nature [France Nature Environnement]6 548 sur 7 000 SignaturesCréée par Greenpeace Poitiers et Vienne Nature
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ANNECY : NON au projet de densification et d’extension du Parc d’Activité Économique des GlaisinsLe Plan Local d'Urbanisme intercommunal Habitat Mobilités et Bioclimatique (PLUi HMB) en cours d’élaboration va définir l’avenir de notre territoire. Nous payons chaque jour le prix des erreurs de ces dernières décennies. Le PAE des Glaisins est un exemple type de l’urbanisme des années 70 et un concentré à lui seul de tous ses maux. Mais au lieu d’essayer de les soigner, le Grand Annecy persiste et signe avec un projet de densification et d’extension du parc qui ne fera que les aggraver. Nous demandons que ce projet soit repensé en concertation avec les habitants et en adéquation avec les enjeux de la transition écologique. La préservation des terres agricoles est indispensable pour assurer notre autonomie alimentaire. Il est hors de question d’en détruire davantage pour une extension du PAE des Glaisins. Trop de gens n'arrivent pas à se loger à un prix abordable dans l'agglomération et la difficulté à se loger est considérée par les entreprises comme un frein majeur dans leur recrutement. La construction de logements doit être au cœur du projet, alors que l'accueil de toujours plus d'entreprises ne fera qu'aggraver la situation. Le Grand Annecy a placé en priorité l’axe Glaisins pour le projet de Transport en Commun en Site Propre intégral (TCSPi) , mais elle continue à mener une politique du tout-voiture en prévoyant dans le PAE des Glaisins un parking relais de 450 places « intra-agglo », c'est à dire destiné aux automobilistes venant du cœur de l'agglomération et disposant d'alternatives à la voiture (transports en commun, vélo, trottinette électrique...). Une pollution aux PFAS, des substances per- et polyfluoroalkylées encore appelées polluants éternels, a été découverte sur la nappe des îles à Annecy. La question de la pollution au sein du PAE des Glaisins, dont la majeure partie des eaux de ruissellement termine dans le Fier en amont de cette nappe, doit être traitée de façon drastique et transparente. Enfin, le Grand Annecy ne peut plus feindre d’ignorer les préoccupations des habitants concernant la protection des espaces naturels et agricoles. Une enquête publique est donc nécessaire avant tout réaménagement du PAE des Glaisins.1 387 sur 2 000 SignaturesCréée par Greenpeace Annecy
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Plus de produits locaux et équilibré à la cafétéria du lycéeNous sommes en 1ere au lycée. Cependant, dans notre cafétéria, les repas proposés sont ultra transformés et contribue à une alimentation déséquilibrée. Nous avons la possibilité de manger à l'extérieur et de ramener notre propre repas or tous les élèves n'ont pas les moyens de manger dehors et la possibilité de ramener leur repas. Il n'existe aucune alternative saine pour eux. Nous souhaitons qu'une offre équilibrée soit proposée. Cela permettrai de responsabiliser les élèves sur la manière de consommer et de permettre à tous un accès à une alimentation saine. Le but est de réussir à atteindre cet objectif progressivement sur les prochains mois.136 sur 200 SignaturesCréée par Elsa B.
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NON au projet routier du BIP, OUI à la préservation des espaces naturels !Vous habitez Soisy, Montmorency, Deuil, Groslay, Montmagny, Sarcelles, Arnouville ou Garges ? Alors votre ville serait traversée ou longée par le BIP ou "avenue du Parisis", un projet de route 2x2 ou 2X3 voies large comme une autoroute dont la construction pourrait démarrer en 2024. Il est encore temps de stopper ce projet ! 🚗🚛 La construction du tronçon Est (Groslay - Sarcelles - Arnouville - Garges) est bloqué depuis 2016 par un recours juridique porté par le collectif Vivre sans BIP. Après sa victoire en appel en 2022, le département du Val d'Oise, qui porte le projet, s’est pourvu en cassation. S'il gagne en justice dans les prochains mois, la construction du tronçon Est pourrait démarrer dès l'année prochaine ! Ensuite il ne resterait que 5 km à réaliser pour relier la A1 à la A15. Ne doutons pas qu'ils passeront en force pour boucler le BIP ! Ce projet routier serait une catastrophe. 👉 Le BIP couperait nos villes en deux, détruisant au passage une centaine d'hectares d'espaces naturels (chemins de randonnée, bois, jardins partagés, friches riches en biodiversité...), un trésor aux portes de nos villes préservé jusqu'ici de l'urbanisation ! 👉 Ce projet routier détruirait aussi la ferme Lemoine : ses espace maraichers dont les légumes sont en vente directe auprès des habitants, et ses magnifiques prairies, l'un des derniers poumons verts à proximité de Sarcelles, Garges et Arnouville ! 👉 Comme toutes les nouvelles routes, cette voie rapide provoquerait un afflux de trafic additionnel. Ce trafic induit augmenterait la circulation routière actuelle, phénomène démontré depuis les années 90 et reconnu par l'ADEME (1). Cette route s'engorgerait rapidement de camions circulant de la A1 à la A15, entre la zone d'entrepôts la plus grande d'IDF à Garonor et les entrepôts de Roissy qui viennent d'être agrandis (Fedex, DHL) à l'Est, jusqu'au port de Gennevilliers et le futur entrepôt géant "Green Dock" à l'Ouest. On estime le futur trafic entre 40 et 60 000 véhicules/jour minimum ! (source : enquête publique) 👉 En attirant plus de trafic, cette route 2X2 voies provoquerait une forte augmentation de la pollution atmosphérique et sonore. Alors que nous respirons trop de pollution et que nous sommes déjà sous les couloirs aériens de Roissy ! 👉 La santé de 10 000 enfants est menacée ! Une quarantaine d'écoles de la crèche au lycée sont situés le long du tracé du BIP. Un véritable scandale ! On sait désormais que les enfants sont les premières victimes de la pollution de l'air et que le bruit entraine des retards d'apprentissage. 👉 Le BIP augmenterait les émissions de CO2 ! Le passage progressif à la voiture électrique ne suffira pas à atteindre nos objectifs climatiques comme le montrent les études. Une réduction du trafic routier est nécessaire au profit de transports collectifs ou de mobilités actives comme le souligne le GIEC. Voilà pourquoi nous demandons l'abandon définitif de ce projet d'un autre siècle, conçu dans les années 30 😱 Depuis le monde a changé ! La biodiversité et le climat sont menacés, des routes ont été construites partout (près de 100 m2 par Français, plus que de surface habitable !), la mobilité doit être transformée et les habitants désirent une meilleure qualité de vie. La majorité des maires sur le tracé et la plupart des habitants sont opposés à ce projet. Nous souhaitons un projet alternatif d'avenir qui préserve ces espaces naturels ! ✊ Nous pouvons obtenir l'abandon définitif de ce projet si nous nous mobilisons ! Signez et partagez cette pétition ! (1) https://theconversation.com/pourquoi-supprimer-des-autoroutes-peut-reduire-les-embouteillages-17156212 269 sur 15 000 SignaturesCréée par Amis de la Terre val d’Oise et Collectif Vivre sans BIP
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Biodiversité et agriculture menacées à Simiane Collongue par un projet de ZALa région PACA, les Boûches du Rhône et plus particulièrement Simiane souffrent terriblement de l'artificialisation des sols. La proximité de zones en tout genre, commerciales et autres, ne justifie pas ce énième projet, sachant que, par ailleurs, les espaces agricoles sont insuffisants. Dans son rapport de présentation, pour la démarche PLU de 2021, la commune spécifiait que :"L’agriculture à Simiane-Collongue tient une part très faible dans l’économie générale de la commune." Cherchons la cohérence. Ainsi, ce projet aura pour conséquences: - la destruction de terres actuellement à vocation agricole et qui pourraient être destinées au développement d'une agriculture de proximité, - la disparition d'espèces protégées comme la Chouette Chevêche d'Athéna : la zone en question est aussi un habitat important pour la Chevêche d‘Athéna, classée sur la liste rouge mondiale des espèces menacées, répertoriée dans l'Atlas de la Biodiversité Communautaire comme une espèce avec un enjeu fort (source bulletin municipal Simiane Info octobre-novembre 2022). Trois couples fréquentent le site pour se nourrir et se reproduire. Ils seraient voués à disparaître si le projet aboutissait. Enfin, la protection de la chouette chevêche, animal nocturne, et la mise en place d'une trame noire décrétée par la municipalité, ne vont pas être non plus en cohérence avec l'implantation d'un site qui a toutes les chances de rester éclairé la nuit. - l'artificialisation d'une zone riche en biodiversité, - l'augmentation des nuisances pour les riverains. Face à l'incohérence de ce projet, quels sont les moyens d'action : 1. Signer cette pétition et la diffuser largement, 2. Rester informé grâce à notre page Facebook : Terres Environnement Simiane Pour des informations complémentaires, n'hésitez pas à nous contacter : [email protected] Notre combat évolue, se précise et avant de devenir association notre collectif change de nom : Vivre à Simiane devient Terres Environnement Simiane1 674 sur 2 000 SignaturesCréée par Vivre à Simiane
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DITES NON A LA FERME-USINE DE LA COLOMBE !Le projet d’extension de l’élevage industriel de l’EARL de la Fieffe, c’est : - plus de 400 truies maintenues environ la moitié de leur vie dans des cages individuelles étroites qui ne leur permettent pas de se retourner : cages de gestation (durant 4 semaines après la saillie puis 1 semaine avant la mise bas) et cages de maternité (durant la période de mise bas et d’allaitement des porcelets qui dure 3 à 4 semaines). - 5400 cochons à l’engraissement gardés dans des enclos présentant des densités extrêmement fortes. Alors que les observations en refuge montrent qu’ils pourraient vivre entre 15 et 20 ans, les cochons à l’engraissement sont envoyés à l’abattoir à l’âge de 6 mois, encore « adolescents ». - Près de 1700 porcelets en sevrage pour aller ensuite à l’engraissement - Du lisier épandu sur 240 Ha autour de La Colombe - De l'eau potable captée à 46 mètres de profondeur 21600m3/an - Un trafic routier augmenté minimum 6 passages de semi-remorques/semaine Nous dénonçons aujourd’hui l’aberration écologique et sociale que cet élevage représente : + d'odeurs dû au lisier, + de bruit et de danger, camions sur nos petites routes et les tonnes à lisier + d'argent public pour entretenir les infrastructures autoroutières dégradées + d'eau potable pompée alors que les scientifiques alertent le monde sur les futures sécheresses et les besoins en eau des populations + de pollution et notamment de l'eau par ruissellement + de souffrance animale, alors que ce modèle économique d'élevage est de plus en plus décrié, sans compter la question du transport des animaux à l'abattoir qui n'est pas abordée dans le projet. Une mobilisation citoyenne s’impose pour lutter contre ce projet aberrant ! Dites non à l’extension de cette ferme-usine, signez la pétition !10 165 sur 15 000 SignaturesCréée par XR Sud Manche -.
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Vite, un moratoire sur les fermes-usines !Vous avez dit "ferme-usine"? Dans une logique productiviste, en appliquant des méthodes industrielles intensives (monocultures, élevages industriels) les fermes-usines accaparent les sols et dégradent les conditions de vie sur terre. Qu'il s'agisse de gigantesques serres, chauffées en hiver et éclairées la nuit, produisant des fruits ou légumes en toutes saisons au prix d'émissions massives de gaz à effet de serre, qu'il s'agisse d'élevages intensifs hors sol concentrant et maltraitant des milliers d'animaux dans des espaces fermés réduits, ou qu'il s'agisse de vastes étendues détournées de leur vocation alimentaire pour approvisionner les méthaniseurs, l'agriculture productiviste cumule les dégâts sur le vivant. Pendant ce temps, une poignée de financiers et d'actionnaires de groupes industriels se frottent les mains. Quels sont ces dégâts ? • Ce modèle productiviste est responsable de pollutions de l'eau, de l'air et des terres et rejette massivement des gaz à effet de serre • Les impacts néfastes sur la biodiversité et la santé végétale, animale et humaine sont massifs. • Les risques pour la santé humaine sont multiples : affections dues aux pesticides, émergence de zoonoses et d'antibiorésistances, morts prématurées imputables aux particules fines, obésité et risques cardiovasculaires engendrés par la malbouffe agro-industrielle. • Ce système de production aggrave encore l'effondrement de la biodiversité par la destruction de haies l'uniformisation des cultures, l'emploi de pesticides, l'eutrophisation des milieux causée par les rejets excessifs d'azote. Il maltraite les animaux considérés comme des marchandises. • C'est un modèle agricole qui, dégrade les emplois paysans, et détruit le tissu économique local dans un marché mondialisé. • Et les riverains des fermes-usines voient leur qualité de vie nettement dégradée ! Nous sommes des citoyens et citoyennes, des associations, des collectifs, inquiets pour notre santé, pour notre avenir, celui de nos enfants, celui du monde vivant, et celui de notre Terre. Que faire? "Il faut bien nourrir les gens" répètent les tenants de l'agro-industrie. Certes ! Mais il faut aussi les nourrir bien . Or, ce système agro-industriel est en échec : non seulement il est sous perfusion, il ne survit que par les aides publiques, mais de plus, il ne parvient pas à nourrir correctement la population, en France 5 à 7 millions de personnes ont recours à l'aide alimentaire. Nous nous opposons donc aux autorisations si facilement accordées par l'état aux exploitations intensives. NOUS EXIGEONS UN MORATOIRE sur les projets d'établissements agricoles aux méthodes industrielles (extensions ou créations), pour laisser place au débat public, à l'information juste et loyale et à la réflexion quant à l'avenir du modèle agricole et alimentaire que nous souhaitons pour notre pays. C'est maintenant ! Une nouvelle loi d'orientation agricole doit voir le jour à l'automne 2023. Signez et faites signer cette pétition pour que cette loi intègre le moratoire, c'est une urgence absolue ! Nous voulons des campagnes vivrières et vivantes, dans lesquelles l'avenir paysan existe ! Soutenez-nous, Signez la pétition ! Les premier.es signataires : - REI (Refus élevage industriel) – Avesnois/Thiérache - FLANER (Flandre-Lys-Alloeu Nature et environnement respectés) - Bretagne contre les fermes-usines - Stop méthane Plouha - Douriou Gouez - Sauve qui poules, Plestin les Grèves - Bocage -environnement Avesnois "les agités du bocage" - Les soulèvements Sèvre-niortaise - Bassines non merci 79 - BNM 29 - Sauvegarde du Trégor-Goëlo-Penthièvre - Minga – Faire ensemble - Nous voulons des coquelicots – Grand Châtellerault - La ruche de l'écologie des monts du Lyonnais - Halte aux Marées vertes (HAMV) - Confédération paysanne 59 - Association Anor Environnement - Association AIVES - Collectif "Non à la mégaporcherie de Feusines-Perassay" Des personnalités - Morel-Darleux Corinne, autrice - Cohen Aurélien-Gabriel , chercheur en géographie et en philosophie des sciences - Tordjman Hélène, économiste, université Sorbonne Paris-nord - Dessein Mickaël, auteur réalisateur permaculteur amateur Des élu.es - De Marci Monique, sénatrice de Gironde - Garin Marie-Charlotte, députée du Rhöne - Satouri Mounir, député européen - Mariel Océane, conseillère communataire de la Rochelle - Biteau Benoît paysan et député européen EELV - Combres Maryse, conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine - Moncond'huy Léonore, maire de Poitiers - Chapuis Gauthier, adjoint au maire de Lyon - Poix Julien, conseiller régional Hauts-de-France10 925 sur 15 000 SignaturesCréée par Coalition des résistances aux fermes usines
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Stop au projet de bétonisation Saint Christol à PézenasUn Autre Projet Pour Saint Christol est possible et nous y travaillons ? - PRESERVANT le foncier agricole et participant à l’autonomie alimentaire locale. - ACCOMPAGNANT l’agriculture du territoire aux enjeux du dérèglement climatique. - GENERATEUR D'EMPLOIS et formateur à de nouveaux métiers de l’agriculture. - GENERANT DE LA VALEUR AJOUTEE et permettant de résoudre dans le temps l’impasse financière actuelle de l’ancien projet St Christol. - CONSTRUISANT UN AVENIR ECONOMIQUE pour Pézenas et la confortant dans sa centralité. - RASSEMBLANT au delà de la municipalité, les EPCI comme l’agglo, le département, la Région mais aussi les acteurs économiques du territoires. Un peu d'histoire ... L’ancienne municipalité conduite par Mr Alain Vogel Singer (25 ans de mandat) a porté ce projet immobilier au lieu-dit Saint Christol à Pézenas pour construire 750 logements. L’objectif principal était de porter la population de Pézenas de 8000 à 10000 habitants. De nombreuses associations se sont opposées à ce projet dont l’association « Osons Pézenas » soutien du maire actuel Armand Rivière (https://osonspezenas.wordpress.com/tag/artificialisation-des-sols/). La commune n’ayant pas les moyens d’autofinancer ce projet s’est organisée de la façon suivante sous la direction de l’ancien Maire : Elle a fait acheter les terres par l’établissement public foncier (EFF) Languedoc-Roussillon Elle a constitué une SEMOP et choisi un opérateur privé (CIM) à hauteur de 60 % dans la SEMOP pour conduire l’opération. En mars 2020, élection municipale. L’ancien maire Alain Vogel Singer qui a porté le dossier est battu. La nouvelle équipe conduite par Armand Rivière qui s’y est opposé est élue. Or, lors du conseil municipal du 18 mai 2021 et contre toutes attentes, la nouvelle municipalité vote le nouveau PLU permettant de lancer le projet Saint Christol. Le nouveau Maire ouvre le débat par ces mots : « Peut-être me faut-il vous préciser pourquoi aller au terme de cette révision générale ce qui pourrait paraître étrange puisque ce n'est pas la nôtre, il faut l'assumer comme telle… » La nouvelle équipe justifie se revirement de position en disant qu’elle a fait des aménagements par rapport au projet initial : En particulier : - Diminution du nombre de logements (750 - 655) - Protection du patrimoine arboré et lumière rouge - Murets en pierres et bosquets mis en valeur ; - Espace écologique et pédagogique - … La nouvelle municipalité a mis en place des conseil citoyens dont le CCTE (Conseil Citoyen pour la Transition Ecologique) qui s'est prononcée contre ce projet ! La Chambre régionale des comptes Occitanie, elle, a relevé : - « Une opération d’aménagement dont le montage présente de multiples fragilités » - « La création d’une SEMOP au terme d’une procédure peu propice à la concurrence et entachée d’irrégularités » - « Des enjeux et des risques qui appellent une vigilance accrue de la part de la ville » La municipalité actuelle est piégée par les contrats signés par l'ancienne municipalité et ne sachant comment arrêter ce projet tente de le "verdir" pour assumer les contrats. Il faut que ce projet soit maintenant porté par l'agglomération, le département et la région afin d'aider la municipalité actuelle a sortir de ce piège4 228 sur 5 000 SignaturesCréée par Collectif Saint Christol
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