• Lyon : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Lyon n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d'agir ! Monsieur Collomb, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Lyon ? OUI, Lyon doit être exemplaire. Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    442 sur 500 Signatures
    Créée par Pierre C.
  • Collège Jean-Moulin : pour des repas sains, un geste, pour 900 élèves.
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) et notre collège n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! nous demandons à l'administration d'Elior de bien vouloir etudier nos demande : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas le collège Jean-Moulin ? OUI, notre collège doit être exemplaire. Notre collège doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    142 sur 200 Signatures
    Créée par Jon B.
  • Île de Ré : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). L'île de Ré n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Mr Quillet, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas l'île de Ré? OUI, l'île de Ré doit être exemplaire. Notre île doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    43 sur 100 Signatures
    Créée par Tristan d.
  • Lycée Jean Monnet : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Le lycée Jean Monnet de Crépy-en-Valois n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas notre lycée ? OUI, Monnet doit être exemplaire. Notre lycée doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    106 sur 200 Signatures
    Créée par Sophie D.
  • Nantes : pour une cantine responsable envers la santé des enfants et l’environnement
    Madame Le Maire, « L’alimentation est devenue un enjeu citoyen » (1) disiez-vous dans la presse en septembre dernier. Alors que la cantine centrale de Nantes est actuellement en travaux pour faire face au nombre croissant de repas à servir aux écoles (18 000 repas), nous souhaitons remettre au cœur du débat des questions de santé publique et de respect de l’environnement. « Le projet alimentaire territorial de la Métropole nantaise, l’éducation et la sensibilisation à une alimentation saine, respectueuse de l’environnement et créatrice d’emplois locaux sont des actions prioritaires » (1) affirmez-vous dans ce même entretien. Or nous constatons que plusieurs méthodes de production et de service au sein de la restauration scolaire prennent insuffisamment en compte ces questions, et il nous semble urgent d’y remédier. Des groupes de travail viennent d’être mis en place entre équipes municipales, citoyens et spécialistes, auxquels nous prenons part.Nous souhaitons toutefois alerter et mobiliser plus largement sur les points suivants : 1/ Du plastique pour cuire, réchauffer et servir les repas : une aberration sanitaire Les repas des enfants accueillis en crèche* et en école maternelle et primaire sont cuits pendant 24 à 48h dans des poches** en plastique avant d’être conditionnés dans du plastique, stockés 3 à 5 jours puis réchauffés et servis là encore dans des récipients en plastique. Nous connaissons aujourd’hui les risques liés aux perturbateurs endocriniens et substances éventuelles qui migrent de l’emballage plastique vers les aliments, et on ne compte plus le nombre d’études qui incriminent le plastique dans des problèmes de santé publique. Nous invitons la Ville de Nantes à s’informer sur ces pollutions et à prévenir les risques évoqués. L’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), le Réseau Environnement Santé, l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) (2) … : tous alertent sur les dangers liés à l’utilisation du plastique en contact avec les aliments. Même s’il est encore difficile de prouver la toxicité de certains composés - puisque leurs effets se mesurent à long terme - il incombe aux pouvoirs publics d’appliquer un principe de précaution qui protège les enfants de telles expositions. Il semble aberrant que de telles méthodes subsistent au sein même d’une cantine municipale. Nous vous demandons donc d’étudier sans attendre des solutions alternatives à l’utilisation du plastique pour la préparation et le service des repas. 2/ Moins de déchets dans les cantines Les cantines produisent beaucoup de déchets, qu’ils soient plastiques (du fait des barquettes jetables utilisées) ou alimentaires avec les repas non consommés. En remplaçant le plastique par l’inox ou d’autres composants, on peut répondre en partie à ce problème. En valorisant le compostage ou le recyclage, Nantes irait encore plus loin dans sa politique publique de gestion des déchets, tout en participant à l’éducation environnementale de nos enfants et en limitant les coûts liés aux déchets produits. 3/ Des menus plus respectueux de l’environnement, pour une éducation pertinente au goût Nous souhaitons enfin aborder avec vous la question des menus et de la qualité des aliments proposés. En privilégiant des aliments issus de productions locales et d’agriculture biologique, la Ville de Nantes poursuivrait une politique cohérente sur la transition écologique et le soutien à de nouveaux modèles agricoles. Or la part de produits bio et locaux semble encore exagérément faible au sein des menus proposés par la cantine centrale (3). Nantes, capitale verte de l’Europe en 2013, pourrait avoir d’autres ambitions. Nous avons enfin une attention particulière sur la part de protéines animales proposée. L’ANSES recommande, pour un enfant de 25kg, des portions d’environ 22 grammes par jour (4). Greenpeace dresse, en parallèle, le constat d’une trop grande quantité de viande aux menus des cantines scolaires (5), et pointe du doigt des apports en protéines trop importants (cumul viande + laitages). Qu’en est-il dans les menus proposés à nos enfants ? Peut-on envisager, à Nantes, une cantine qui tienne compte des recommandations sanitaires nationales, et appuie une politique agricole plus respectueuse de l’environnement ? Peut-on imaginer une nouvelle forme d’alimentation en collectivité, plus diversifiée et de meilleure qualité ? « Il faut accélérer la mise en œuvre d’actions sur l’ensemble du système alimentaire pour aller vers le changement de modèle. » (1) Nous ne pouvons, encore une fois, que soutenir vos propos. Nous ne pouvons en effet attendre la mise en œuvre de la loi Agriculture et Alimentation à l’horizon 2025 concernant l’utilisation du plastique dans notre alimentation. Il nous faut également aller plus loin en termes de gestion de nos déchets et de qualité d’alimentation. Des villes ont déjà pris les devants et ouvert la voie vers des cantines sans plastique : Bordeaux, Strasbourg, Montpellier, les Sables d’Olonne (6). D’autres ont également démontré qu’il est possible de proposer essentiellement des produits locaux et bio, ou de limiter les protéines animales (7). Nous nous prenons à croire que Nantes ne restera pas en retard sur ces questions essentielles, et mettra en adéquation ses discours et ses actions. Nous veillerons à suivre les débats qui seront menés sur ces sujets, et à informer les signataires de ce manifeste des solutions qui seront proposées. Avec nos considérations les meilleures, Le collectif Cantine Responsable Nantes Parents d’élèves d’écoles maternelles et élémentaires de la Ville de Nantes
    3 984 sur 4 000 Signatures
    Créée par Le collectif Cantine Responsable Nantes
  • [Notre Dame] - La Tour d'Aigues: Ensemble pour la santé de nos enfants et de la planète !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Monsieur le Directeur, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Un menu sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine (composé de céréales, légumineuses…)*; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Notre Dame ? OUI, nous devons être exemplaire. Notre Ecole/College doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    124 sur 200 Signatures
    Créée par ELISE D.
  • Marseille : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Marseille n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! M. Gaudin, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Marseille ? OUI, Marseille doit être exemplaire. Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    1 315 sur 2 000 Signatures
    Créée par Angela Becker et Anna Levy Bencheton
  • Choisy et SIRESCO : cessons le cauchemar dans les cantines des écoles primaires
    Les menus comportent beaucoup trop de viande. L’élevage industriel est responsable à lui seul de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre. C’est autant que le secteur des transports. D’après l’OMS la surconsommation de viande est une des causes du surpoids et de l’obésité. Or en moyenne, un enfant à la cantine consomme deux fois les apports journaliers recommandés en protéines. Les aliments sont servis ou réchauffés dans des barquettes en plastique à usage unique. Les perturbateurs endocriniens contenus dans ces barquettes migrent dans les aliments et sont à l’origine de problèmes de puberté précoce, stérilité, cancers hormonaux. Sans compter l’impact environnemental désastreux de ces milliers de déchets quotidiens. Le recours à des aliments ultra transformés comportant un cocktail d’additifs controversés est trop fréquent. Il est urgent que le SIRESCO change ses pratiques. L’émission « Envoyé spécial » du 15 Novembre 2018 a montré le SIRESCO dans son dossier « Cauchemar à la cantine » et les récentes alertes sanitaires qui l’ont éclaboussé dans plusieurs villes (lasagnes moisies, concombres avariés, etc.) ont bien montré que la situation ne pouvait plus continuer. Pour améliorer la valeur nutritionnelle et la qualité hygiénique de l’offre alimentaire : nous demandons que le SIRESCO propose de vrais repas cuisinés, dans un délai bien plus court qu'actuellement (jusqu’à J+5), avec moins de viande, moins d’additifs, moins de pesticides, plus de produits locaux, de circuits courts, de saison et bannisse le plastique. Or cette demande ne peut passer que par les maires en Conseil Municipal. C’est pourquoi, au nom des militants des groupes locaux de Greenpeace Ile de France, des collectifs : Romainville Pas d’usine, on cuisine!; Aubervilliers, Mon assiette, Ma santé ; Arcueil, bien dans mon assiette ; Champigny Pas de barquette dans mon assiette ; Bien manger à Choisy ; des parents de la Courneuve et des autres villes adhérentes ; de la FCPE Seine Saint Denis, nous demandons aux maires des communes membres du SIRESCO, dont Choisy-Le-Roi fait partie, de proposer et de voter au sein du syndicat : - L’instauration de deux repas végétariens cuisinés et bio par semaine et pour tous - L’abandon des barquettes en plastique pour de l’inox ou du verre - La réalisation de travaux pour une légumerie et pour un laboratoire pâtisserie - L’augmentation du nombre de cuisiniers - La mise en place effective et immédiate de toute autre mesure permettant l’obtention de la certification ECOCERT En Cuisine niveau 3 - L’adhésion au club des territoires de l’association Un Plus Bio - Des commissions restauration pour les parents et les convives dans toutes les villes du SIRESCO Signons cette pétition, pour que nos enfants aient enfin des repas de qualité, bons pour la planète, et bons pour leur santé !
    210 sur 300 Signatures
    Créée par Collectif Intervilles pour des Enfants Heureux à Table
  • Arcueil et SIRESCO : cessons le cauchemar dans les cantines des écoles !
    Les menus comportent beaucoup trop de viande. L’élevage industriel est responsable à lui seul de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre. C’est autant que le secteur des transports. D’après l’OMS la surconsommation de viande est une des causes du surpoids et de l’obésité. Or en moyenne, un enfant à la cantine consomme deux fois les apports journaliers recommandés en protéines. Les aliments sont servis ou réchauffés dans des barquettes en plastique à usage unique. Les perturbateurs endocriniens contenus dans ces barquettes migrent dans les aliments et sont à l’origine de problèmes de puberté précoce, stérilité, cancers hormonaux. Sans compter l’impact environnemental désastreux de ces milliers de déchets quotidiens. Le recours à des aliments ultra transformés comportant un cocktail d’additifs controversés est trop fréquent. Il est urgent que le SIRESCO change ses pratiques. L’émission « Envoyé spécial » du 15 Novembre 2018 a montré le SIRESCO dans son dossier « Cauchemar à la cantine » et les récentes alertes sanitaires qui l’ont éclaboussé dans plusieurs villes (lasagnes moisies, concombres avariés, etc.) ont bien montré que la situation ne pouvait plus continuer. Pour améliorer la valeur nutritionnelle et la qualité hygiénique de l’offre alimentaire : nous demandons que le SIRESCO propose de vrais repas cuisinés, dans un délai bien plus court qu'actuellement (jusqu’à J+5), avec moins de viande, moins d’additifs, moins de pesticides, plus de produits locaux, de circuits courts, de saison et bannisse le plastique. Or cette demande ne peut passer que par les maires en Conseil Municipal. C’est pourquoi, au nom des militants des groupes locaux de Greenpeace Ile de France, des collectifs : Romainville Pas d’usine, on cuisine!; Aubervilliers, Mon assiette, Ma santé ; Arcueil, bien dans mon assiette ; Champigny Pas de barquette dans mon assiette ; Bien manger à Choisy ; des parents de la Courneuve et des autres villes adhérentes ;is, nous demandons aux maires des communes membres du SIRESCO, dont Arcueil fait partie, de proposer et de voter au sein du syndicat : - L’instauration de deux repas végétariens cuisinés et bio par semaine et pour tous - L’abandon des barquettes en plastique pour de l’inox ou du verre - La réalisation de travaux pour une légumerie et pour un laboratoire pâtisserie - L’augmentation du nombre de cuisiniers - La mise en place effective et immédiate de toute autre mesure permettant l’obtention de la certification ECOCERT En Cuisine niveau 3 - L’adhésion au club des territoires de l’association Un Plus Bio - Des commissions restauration pour les parents et les convives dans toutes les villes du SIRESCO Signons cette pétition, pour que nos enfants aient enfin des repas de qualité, bons pour la planète, et bons pour leur santé !
    285 sur 300 Signatures
    Créée par Collectif Intervilles pour des Enfants Heureux à Table
  • Champigny et le SIRESCO : cessons le cauchemar dans les cantines des écoles !
    Les menus comportent beaucoup trop de viande. L’élevage industriel est responsable à lui seul de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre. C’est autant que le secteur des transports. D’après l’OMS la surconsommation de viande est une des causes du surpoids et de l’obésité. Or en moyenne, un enfant à la cantine consomme deux fois les apports journaliers recommandés en protéines. Les aliments sont servis ou réchauffés dans des barquettes en plastique à usage unique. Les perturbateurs endocriniens contenus dans ces barquettes migrent dans les aliments et sont à l’origine de problèmes de puberté précoce, stérilité, cancers hormonaux. Sans compter l’impact environnemental désastreux de ces milliers de déchets quotidiens. Le recours à des aliments ultra transformés comportant un cocktail d’additifs controversés est trop fréquent. Il est urgent que le SIRESCO change ses pratiques. L’émission « Envoyé spécial » du 15 Novembre 2018 a montré le SIRESCO dans son dossier « Cauchemar à la cantine » et les récentes alertes sanitaires qui l’ont éclaboussé dans plusieurs villes (lasagnes moisies, concombres avariés, etc.) ont bien montré que la situation ne pouvait plus continuer. Pour améliorer la valeur nutritionnelle et la qualité hygiénique de l’offre alimentaire : nous demandons que le SIRESCO propose de vrais repas cuisinés, dans un délai bien plus court qu'actuellement (jusqu’à J+5), avec moins de viande, moins d’additifs, moins de pesticides, plus de produits locaux, de circuits courts, de saison et bannisse le plastique. Or cette demande ne peut passer que par les maires en Conseil Municipal. C’est pourquoi, au nom des militants des groupes locaux de Greenpeace Ile de France, des collectifs : Romainville Pas d’usine, on cuisine!; Aubervilliers, Mon assiette, Ma santé ; Arcueil, bien dans mon assiette ; Champigny Pas de barquette dans mon assiette ; Bien manger à Choisy ; des parents de la Courneuve et des autres villes adhérentes, nous demandons aux maires des communes membres du SIRESCO, dont Champigny fait partie, de proposer et de voter au sein du syndicat : - L’instauration de deux repas végétariens cuisinés et bio par semaine et pour tous - L’abandon des barquettes en plastique pour de l’inox ou du verre - La réalisation de travaux pour une légumerie et pour un laboratoire pâtisserie - L’augmentation du nombre de cuisiniers - La mise en place effective et immédiate de toute autre mesure permettant l’obtention de la certification ECOCERT En Cuisine niveau 3 - L’adhésion au club des territoires de l’association Un Plus Bio - Des commissions restauration pour les parents et les convives dans toutes les villes du SIRESCO Signons cette pétition, pour que nos enfants aient enfin des repas de qualité, bons pour la planète, et bons pour leur santé !
    545 sur 600 Signatures
    Créée par Collectif Intervilles pour des Enfants Heureux à Table
  • Romainville et SIRESCO : cessons le cauchemar dans les cantines !
    Les menus comportent beaucoup trop de viande. L’élevage industriel est responsable à lui seul de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre. C’est autant que le secteur des transports. D’après l’OMS la surconsommation de viande est une des causes du surpoids et de l’obésité. Or en moyenne, un enfant à la cantine consomme deux fois les apports journaliers recommandés en protéines. Les aliments sont servis ou réchauffés dans des barquettes en plastique à usage unique. Les perturbateurs endocriniens contenus dans ces barquettes migrent dans les aliments et sont à l’origine de problèmes de puberté précoce, stérilité, cancers hormonaux. Sans compter l’impact environnemental désastreux de ces milliers de déchets quotidiens. Le recours à des aliments ultra transformés comportant un cocktail d’additifs controversés est trop fréquent. Il est urgent que le SIRESCO change ses pratiques. L’émission « Envoyé spécial » du 15 Novembre 2018 a montré le SIRESCO dans son dossier « Cauchemar à la cantine » et les récentes alertes sanitaires qui l’ont éclaboussé dans plusieurs villes (lasagnes moisies, concombres avariés, etc.) ont bien montré que la situation ne pouvait plus continuer. Pour améliorer la valeur nutritionnelle et la qualité hygiénique de l’offre alimentaire : nous demandons que le SIRESCO propose de vrais repas cuisinés, dans un délai bien plus court qu'actuellement (jusqu’à J+5), avec moins de viande, moins d’additifs, moins de pesticides, plus de produits locaux, de circuits courts, de saison et bannisse le plastique. Or cette demande ne peut passer que par les maires en Conseil Municipal. C’est pourquoi, au nom des militants des groupes locaux de Greenpeace Ile de France, des collectifs : Romainville Pas d’usine, on cuisine!; Aubervilliers, Mon assiette, Ma santé ; Arcueil, bien dans mon assiette ; Champigny Pas de barquette dans mon assiette ; Bien manger à Choisy ; des parents de la Courneuve et des autres villes adhérentes ; nous demandons aux maires des communes membres du SIRESCO, dont Romainville fait partie, de proposer et de voter au sein du syndicat : - L’instauration de deux repas végétariens cuisinés et bio par semaine et pour tous - L’abandon des barquettes en plastique pour de l’inox ou du verre - La réalisation de travaux pour une légumerie et pour un laboratoire pâtisserie - L’augmentation du nombre de cuisiniers - La mise en place effective et immédiate de toute autre mesure permettant l’obtention de la certification ECOCERT En Cuisine niveau 3 - L’adhésion au club des territoires de l’association Un Plus Bio - Des commissions restauration pour les parents et les convives dans toutes les villes du SIRESCO Signons cette pétition, pour que nos enfants aient enfin des repas de qualité, bons pour la planète, et bons pour leur santé !
    682 sur 800 Signatures
    Créée par Collectif Intervilles pour des Enfants Heureux à Table
  • Aubervilliers et SIRESCO : cessons le cauchemar dans les cantines des écoles primaires !
    Les menus comportent beaucoup trop de viande. L’élevage industriel est responsable à lui seul de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre. C’est autant que le secteur des transports. D’après l’OMS la surconsommation de viande est une des causes du surpoids et de l’obésité. Or en moyenne, un enfant à la cantine consomme deux fois les apports journaliers recommandés en protéines. Les aliments sont servis ou réchauffés dans des barquettes en plastique à usage unique. Les perturbateurs endocriniens contenus dans ces barquettes migrent dans les aliments et sont à l’origine de problèmes de puberté précoce, stérilité, cancers hormonaux. Sans compter l’impact environnemental désastreux de ces milliers de déchets quotidiens. Le recours à des aliments ultra transformés comportant un cocktail d’additifs controversés est trop fréquent. Il est urgent que le SIRESCO change ses pratiques. L’émission « Envoyé spécial » du 15 Novembre 2018 a montré le SIRESCO dans son dossier « Cauchemar à la cantine » et les récentes alertes sanitaires qui l’ont éclaboussé dans plusieurs villes (lasagnes moisies, concombres avariés, etc.) ont bien montré que la situation ne pouvait plus continuer. Pour améliorer la valeur nutritionnelle et la qualité hygiénique de l’offre alimentaire : nous demandons que le SIRESCO propose de vrais repas cuisinés, dans un délai bien plus court qu'actuellement (jusqu’à J+5), avec moins de viande, moins d’additifs, moins de pesticides, plus de produits locaux, de circuits courts, de saison et bannisse le plastique. Or cette demande ne peut passer que par les maires en Conseil Municipal. C’est pourquoi, au nom des militants des groupes locaux de Greenpeace Ile de France, des collectifs : Romainville Pas d’usine, on cuisine!; Aubervilliers, Mon assiette, Ma santé ; Arcueil, bien dans mon assiette ; Champigny Pas de barquette dans mon assiette ; Bien manger à Choisy ; des parents de la Courneuve et des autres villes adhérentes ; des enseignants de l'Education Nationale; nous demandons aux maires des communes membres du SIRESCO, dont Aubervilliers fait partie, de proposer et de voter au sein du syndicat : - L’instauration de deux repas végétariens cuisinés et bio par semaine et pour tous - L’abandon des barquettes en plastique pour de l’inox ou du verre - La réalisation de travaux pour une légumerie et pour un laboratoire pâtisserie - L’augmentation du nombre de cuisiniers - La mise en place effective et immédiate de toute autre mesure permettant l’obtention de la certification ECOCERT En Cuisine niveau 3 - L’adhésion au club des territoires de l’association Un Plus Bio - Des commissions restauration pour les parents et les convives dans toutes les villes du SIRESCO Signons cette pétition, pour que nos enfants aient enfin des repas de qualité, bons pour la planète, et bons pour leur santé !
    682 sur 800 Signatures
    Créée par Collectif Intervilles pour des Enfants Heureux à Table