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Photovoltaïque sur des terres naturelles, agricoles ou forestières : ne tombons pas dans le panneau!Lorsque E. Macron et la FNSEA prônent la robotique, la génétique et le numérique pour l'agriculture (13), et que le syndicat agro-industriel co-préside le lobby France Agrivoltaïsme ; le fondateur de ce dernier met en place la gestion des champs via l’intelligence artificielle (14). Ce sont ainsi deux visions de l'agriculture et de la société qui s'affrontent : l'agriculture industrielle, ultra-mécanisée et numérique sur des surfaces toujours plus grandes, face à l'autonomie paysanne ; les serveurs face aux cerveaux ; l'intelligence artificielle face à l'observation, la sensibilité et savoirs-faire des paysan·nes. Nous affirmons qu'il est nécessaire d'amorcer la désescalade de l’emprise technologique afin que les paysan·nes puissent travailler la terre eux-mêmes sans être dépendants de l'agro-industrie. Nous refusons l'industrialisation des campagnes, car quelle que soit sa surface, ou sa « participation citoyenne », une centrale photovoltaïque sur des terres agricoles, naturelles ou forestières, est une installation de nature industrielle. Les tonnes de métaux (silice, aluminium, zinc, plomb, étain, indium, antimoine) (15) recouvrant les terres; les milliers d'ancrages bétons et kilomètres de voies d'accès et de clôtures grillagées, lignes électriques enterrées ou aériennes, les postes de transformations et de livraisons, le bruit engendré par les onduleurs (16), les caméras de surveillance, les divers capteurs connectés, les obligations de déboisement en périphérie, détruisent nos campagnes. Les méga-centrales électrifient nos champs avec des effets documentés sur les animaux d'élevages (17). Nous n'oublions pas la fabrication industrielle de ces panneaux : exploitation d'êtres humains, extractivisme ravageur. Afin de produire 40 000 tonnes de silicium métal, l'une des six unités de production en France brûle 120 000 tonnes de quartz et 80 000 tonnes de bois (18), et engloutit en moyenne 11 mégawatts/heure par tonne de produit fini (19), soit chaque année l’équivalent électrique d’une ville de 150 000 habitants. Il faut aussi 280 kg de produits chimiques par kilo de silicium produit (20). Sans oublier les risques de pollution des eaux (21) et que les centrales peuvent entraîner « l’altération, la dégradation voire la destruction des milieux naturels (défrichements puis gestion de la végétation au plus près du sol ; terrassement et compactage des sols ; instauration de microclimats différenciés au-dessus et en dessous des panneaux ; création d’exclos par les clôtures, etc.). La modification des fonctions hydriques, climatiques ou biologiques qui peut en résulter conduit à l’artificialisation d’une partie parfois importante des sols [ainsi qu'une] modification des cortèges d’espèces végétales et animales » (22). Nous défendons un rapport sensible au monde qui nous est plus que jamais primordial. Alors même que l’agriculture est l’une des professions qui rémunère le moins, qu’un malaise est reconnu et qu’il faudra recruter massivement pour faire face aux nombreux départs en retraite, une motivation essentielle est la qualité de vie au travail, en plein air, dans un cadre beau ; regarder le ciel et écouter les sons de la vie. Travailler sous des panneaux, c’est dégrader notre qualité de vie au travail, mais aussi l’environnement et les paysages pour le bénéfice de quelques propriétaires et promoteurs. Au contraire, l'agriculture paysanne doit participer avec les citoyen·nes à rendre le milieu rural vivant dans un cadre de vie apprécié par toutes et tous. Notre autonomie de choix et d’action, n’est pas de devenir des jardiniers sous des panneaux. Notre métier n'est pas de cultiver des kilowatts, mais de produire une alimentation saine et de qualité pour le plus grand nombre, et d'être rémunéré en conséquence. Car si la contrepartie financière de plusieurs milliers d'euros par année et par hectare peut sembler alléchante (23), et générer un véritable dilemme pour des paysan·nes en difficulté ; en mettant notre outil de production à disposition de ces sociétés, nous les enrichissons et détournons la vocation nourricière de la terre agricole. L’unique raison de la pression industrielle actuelle sur les terres agricoles, naturelles et forestières est financière. Rejetant le mythe d'un capitalisme vert, ainsi que la vision d'une transition écologique allant vers une société de surconsommation ultra-connectée, nous appelons à une opposition massive à tous ces projets photovoltaïques industriels et exigeons leur interdiction sur toutes les terres agricoles, naturelles, forestières et les milieux aquatiques. ✍️ Citoyen·nes, signez la pétition pour soutenir notre appel ✍️ Organisations : ajoutez votre nom à la liste des signataires : https://act.gp/3Rc0CUe Les organisations en lutte contre les mégas-centrales photovoltaïque sur les terres agricoles, naturelles, forestières et en milieux aquatiques (liste des signataires ici : https://act.gp/3QKizro). nb : les sources sont disponibles dans le lien ci-après : https://act.gp/3uAL2IM1,759 of 2,000 SignaturesCreated by Coordination des organisations en lutte
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ANNECY : NON au projet de densification et d’extension du Parc d’Activité Économique des GlaisinsLe Plan Local d'Urbanisme intercommunal Habitat Mobilités et Bioclimatique (PLUi HMB) en cours d’élaboration va définir l’avenir de notre territoire. Nous payons chaque jour le prix des erreurs de ces dernières décennies. Le PAE des Glaisins est un exemple type de l’urbanisme des années 70 et un concentré à lui seul de tous ses maux. Mais au lieu d’essayer de les soigner, le Grand Annecy persiste et signe avec un projet de densification et d’extension du parc qui ne fera que les aggraver. Nous demandons que ce projet soit repensé en concertation avec les habitants et en adéquation avec les enjeux de la transition écologique. La préservation des terres agricoles est indispensable pour assurer notre autonomie alimentaire. Il est hors de question d’en détruire davantage pour une extension du PAE des Glaisins. Trop de gens n'arrivent pas à se loger à un prix abordable dans l'agglomération et la difficulté à se loger est considérée par les entreprises comme un frein majeur dans leur recrutement. La construction de logements doit être au cœur du projet, alors que l'accueil de toujours plus d'entreprises ne fera qu'aggraver la situation. Le Grand Annecy a placé en priorité l’axe Glaisins pour le projet de Transport en Commun en Site Propre intégral (TCSPi) , mais elle continue à mener une politique du tout-voiture en prévoyant dans le PAE des Glaisins un parking relais de 450 places « intra-agglo », c'est à dire destiné aux automobilistes venant du cœur de l'agglomération et disposant d'alternatives à la voiture (transports en commun, vélo, trottinette électrique...). Une pollution aux PFAS, des substances per- et polyfluoroalkylées encore appelées polluants éternels, a été découverte sur la nappe des îles à Annecy. La question de la pollution au sein du PAE des Glaisins, dont la majeure partie des eaux de ruissellement termine dans le Fier en amont de cette nappe, doit être traitée de façon drastique et transparente. Enfin, le Grand Annecy ne peut plus feindre d’ignorer les préoccupations des habitants concernant la protection des espaces naturels et agricoles. Une enquête publique est donc nécessaire avant tout réaménagement du PAE des Glaisins.1,117 of 2,000 SignaturesCreated by Greenpeace Annecy
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Plus de produits locaux et équilibré à la cafétéria du lycéeNous sommes en 1ere au lycée. Cependant, dans notre cafétéria, les repas proposés sont ultra transformés et contribue à une alimentation déséquilibrée. Nous avons la possibilité de manger à l'extérieur et de ramener notre propre repas or tous les élèves n'ont pas les moyens de manger dehors et la possibilité de ramener leur repas. Il n'existe aucune alternative saine pour eux. Nous souhaitons qu'une offre équilibrée soit proposée. Cela permettrai de responsabiliser les élèves sur la manière de consommer et de permettre à tous un accès à une alimentation saine. Le but est de réussir à atteindre cet objectif progressivement sur les prochains mois.55 of 100 SignaturesCreated by Elsa B.
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NON au projet routier du BIP, OUI à la préservation des espaces naturels !Vous habitez Soisy, Montmorency, Deuil, Groslay, Montmagny, Sarcelles, Arnouville ou Garges ? Alors votre ville serait traversée ou longée par le BIP ou "avenue du Parisis", un projet de route 2x2 ou 2X3 voies large comme une autoroute dont la construction pourrait démarrer en 2024. Il est encore temps de stopper ce projet ! 🚗🚛 La construction du tronçon Est (Groslay - Sarcelles - Arnouville - Garges) est bloqué depuis 2016 par un recours juridique porté par le collectif Vivre sans BIP. Après sa victoire en appel en 2022, le département du Val d'Oise, qui porte le projet, s’est pourvu en cassation. S'il gagne en justice dans les prochains mois, la construction du tronçon Est pourrait démarrer dès l'année prochaine ! Ensuite il ne resterait que 5 km à réaliser pour relier la A1 à la A15. Ne doutons pas qu'ils passeront en force pour boucler le BIP ! Ce projet routier serait une catastrophe. 👉 Le BIP couperait nos villes en deux, détruisant au passage une centaine d'hectares d'espaces naturels (chemins de randonnée, bois, jardins partagés, friches riches en biodiversité...), un trésor aux portes de nos villes préservé jusqu'ici de l'urbanisation ! 👉 Ce projet routier détruirait aussi la ferme Lemoine : ses espace maraichers dont les légumes sont en vente directe auprès des habitants, et ses magnifiques prairies, l'un des derniers poumons verts à proximité de Sarcelles, Garges et Arnouville ! 👉 Comme toutes les nouvelles routes, cette voie rapide provoquerait un afflux de trafic additionnel. Ce trafic induit augmenterait la circulation routière actuelle, phénomène démontré depuis les années 90 et reconnu par l'ADEME (1). Cette route s'engorgerait rapidement de camions circulant de la A1 à la A15, entre la zone d'entrepôts la plus grande d'IDF à Garonor et les entrepôts de Roissy qui viennent d'être agrandis (Fedex, DHL) à l'Est, jusqu'au port de Gennevilliers et le futur entrepôt géant "Green Dock" à l'Ouest. On estime le futur trafic entre 40 et 60 000 véhicules/jour minimum ! (source : enquête publique) 👉 En attirant plus de trafic, cette route 2X2 voies provoquerait une forte augmentation de la pollution atmosphérique et sonore. Alors que nous respirons trop de pollution et que nous sommes déjà sous les couloirs aériens de Roissy ! 👉 La santé de 10 000 enfants est menacée ! Une quarantaine d'écoles de la crèche au lycée sont situés le long du tracé du BIP. Un véritable scandale ! On sait désormais que les enfants sont les premières victimes de la pollution de l'air et que le bruit entraine des retards d'apprentissage. 👉 Le BIP augmenterait les émissions de CO2 ! Le passage progressif à la voiture électrique ne suffira pas à atteindre nos objectifs climatiques comme le montrent les études. Une réduction du trafic routier est nécessaire au profit de transports collectifs ou de mobilités actives comme le souligne le GIEC. Voilà pourquoi nous demandons l'abandon définitif de ce projet d'un autre siècle, conçu dans les années 30 😱 Depuis le monde a changé ! La biodiversité et le climat sont menacés, des routes ont été construites partout (près de 100 m2 par Français, plus que de surface habitable !), la mobilité doit être transformée et les habitants désirent une meilleure qualité de vie. La majorité des maires sur le tracé et la plupart des habitants sont opposés à ce projet. Nous souhaitons un projet alternatif d'avenir qui préserve ces espaces naturels ! ✊ Nous pouvons obtenir l'abandon définitif de ce projet si nous nous mobilisons ! Signez et partagez cette pétition ! (1) https://theconversation.com/pourquoi-supprimer-des-autoroutes-peut-reduire-les-embouteillages-1715627,987 of 8,000 SignaturesCreated by Amis de la Terre val d’Oise et Collectif Vivre sans BIP
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Biodiversité et agriculture menacées à Simiane Collongue par un projet de ZALa région PACA, les Boûches du Rhône et plus particulièrement Simiane souffrent terriblement de l'artificialisation des sols. La proximité de zones en tout genre, commerciales et autres, ne justifie pas ce énième projet, sachant que, par ailleurs, les espaces agricoles sont insuffisants. Dans son rapport de présentation, pour la démarche PLU de 2021, la commune spécifiait que :"L’agriculture à Simiane-Collongue tient une part très faible dans l’économie générale de la commune." Cherchons la cohérence. Ainsi, ce projet aura pour conséquences: - la destruction de terres actuellement à vocation agricole et qui pourraient être destinées au développement d'une agriculture de proximité, - la disparition d'espèces protégées comme la Chouette Chevêche d'Athéna : la zone en question est aussi un habitat important pour la Chevêche d‘Athéna, classée sur la liste rouge mondiale des espèces menacées, répertoriée dans l'Atlas de la Biodiversité Communautaire comme une espèce avec un enjeu fort (source bulletin municipal Simiane Info octobre-novembre 2022). Trois couples fréquentent le site pour se nourrir et se reproduire. Ils seraient voués à disparaître si le projet aboutissait. Enfin, la protection de la chouette chevêche, animal nocturne, et la mise en place d'une trame noire décrétée par la municipalité, ne vont pas être non plus en cohérence avec l'implantation d'un site qui a toutes les chances de rester éclairé la nuit. - l'artificialisation d'une zone riche en biodiversité, - l'augmentation des nuisances pour les riverains. Face à l'incohérence de ce projet, deux actions sont importantes : - signer cette pétition et la diffuser largement, - se déplacer et donner ses arguments auprès du commissaire enquêteur lors de l'enquête publique qui se déroulera en mairie et dont la date n'est pas encore fixée.1,277 of 2,000 SignaturesCreated by Vivre à Simiane
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DITES NON A LA FERME-USINE DE LA COLOMBE !Le projet d’extension de l’élevage industriel de l’EARL de la Fieffe, c’est : - plus de 400 truies maintenues environ la moitié de leur vie dans des cages individuelles étroites qui ne leur permettent pas de se retourner : cages de gestation (durant 4 semaines après la saillie puis 1 semaine avant la mise bas) et cages de maternité (durant la période de mise bas et d’allaitement des porcelets qui dure 3 à 4 semaines). - 5400 cochons à l’engraissement gardés dans des enclos présentant des densités extrêmement fortes. Alors que les observations en refuge montrent qu’ils pourraient vivre entre 15 et 20 ans, les cochons à l’engraissement sont envoyés à l’abattoir à l’âge de 6 mois, encore « adolescents ». - Près de 1700 porcelets en sevrage pour aller ensuite à l’engraissement - Du lisier épandu sur 240 Ha autour de La Colombe - De l'eau potable captée à 46 mètres de profondeur 21600m3/an - Un trafic routier augmenté minimum 6 passages de semi-remorques/semaine Nous dénonçons aujourd’hui l’aberration écologique et sociale que cet élevage représente : + d'odeurs dû au lisier, + de bruit et de danger, camions sur nos petites routes et les tonnes à lisier + d'argent public pour entretenir les infrastructures autoroutières dégradées + d'eau potable pompée alors que les scientifiques alertent le monde sur les futures sécheresses et les besoins en eau des populations + de pollution et notamment de l'eau par ruissellement + de souffrance animale, alors que ce modèle économique d'élevage est de plus en plus décrié, sans compter la question du transport des animaux à l'abattoir qui n'est pas abordée dans le projet. Une mobilisation citoyenne s’impose pour lutter contre ce projet aberrant ! Dites non à l’extension de cette ferme-usine, signez la pétition !8,258 of 9,000 SignaturesCreated by XR Sud Manche -.
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Vite, un moratoire sur les fermes-usines !Vous avez dit "ferme-usine"? Dans une logique productiviste, en appliquant des méthodes industrielles intensives (monocultures, élevages industriels) les fermes-usines accaparent les sols et dégradent les conditions de vie sur terre. Qu'il s'agisse de gigantesques serres, chauffées en hiver et éclairées la nuit, produisant des fruits ou légumes en toutes saisons au prix d'émissions massives de gaz à effet de serre, qu'il s'agisse d'élevages intensifs hors sol concentrant et maltraitant des milliers d'animaux dans des espaces fermés réduits, ou qu'il s'agisse de vastes étendues détournées de leur vocation alimentaire pour approvisionner les méthaniseurs, l'agriculture productiviste cumule les dégâts sur le vivant. Pendant ce temps, une poignée de financiers et d'actionnaires de groupes industriels se frottent les mains. Quels sont ces dégâts ? • Ce modèle productiviste est responsable de pollutions de l'eau, de l'air et des terres et rejette massivement des gaz à effet de serre • Les impacts néfastes sur la biodiversité et la santé végétale, animale et humaine sont massifs. • Les risques pour la santé humaine sont multiples : affections dues aux pesticides, émergence de zoonoses et d'antibiorésistances, morts prématurées imputables aux particules fines, obésité et risques cardiovasculaires engendrés par la malbouffe agro-industrielle. • Ce système de production aggrave encore l'effondrement de la biodiversité par la destruction de haies l'uniformisation des cultures, l'emploi de pesticides, l'eutrophisation des milieux causée par les rejets excessifs d'azote. Il maltraite les animaux considérés comme des marchandises. • C'est un modèle agricole qui, dégrade les emplois paysans, et détruit le tissu économique local dans un marché mondialisé. • Et les riverains des fermes-usines voient leur qualité de vie nettement dégradée ! Nous sommes des citoyens et citoyennes, des associations, des collectifs, inquiets pour notre santé, pour notre avenir, celui de nos enfants, celui du monde vivant, et celui de notre Terre. Que faire? "Il faut bien nourrir les gens" répètent les tenants de l'agro-industrie. Certes ! Mais il faut aussi les nourrir bien . Or, ce système agro-industriel est en échec : non seulement il est sous perfusion, il ne survit que par les aides publiques, mais de plus, il ne parvient pas à nourrir correctement la population, en France 5 à 7 millions de personnes ont recours à l'aide alimentaire. Nous nous opposons donc aux autorisations si facilement accordées par l'état aux exploitations intensives. NOUS EXIGEONS UN MORATOIRE sur les projets d'établissements agricoles aux méthodes industrielles (extensions ou créations), pour laisser place au débat public, à l'information juste et loyale et à la réflexion quant à l'avenir du modèle agricole et alimentaire que nous souhaitons pour notre pays. C'est maintenant ! Une nouvelle loi d'orientation agricole doit voir le jour à l'automne 2023. Signez et faites signer cette pétition pour que cette loi intègre le moratoire, c'est une urgence absolue ! Nous voulons des campagnes vivrières et vivantes, dans lesquelles l'avenir paysan existe ! Soutenez-nous, Signez la pétition ! Les premier.es signataires : - REI (Refus élevage industriel) – Avesnois/Thiérache - FLANER (Flandre-Lys-Alloeu Nature et environnement respectés) - Bretagne contre les fermes-usines - Stop méthane Plouha - Douriou Gouez - Sauve qui poules, Plestin les Grèves - Bocage -environnement Avesnois "les agités du bocage" - Les soulèvements Sèvre-niortaise - Bassines non merci 79 - BNM 29 - Sauvegarde du Trégor-Goëlo-Penthièvre - Minga – Faire ensemble - Nous voulons des coquelicots – Grand Châtellerault - La ruche de l'écologie des monts du Lyonnais - Halte aux Marées vertes (HAMV) - Confédération paysanne 59 - Association Anor Environnement - Association AIVES - Collectif "Non à la mégaporcherie de Feusines-Perassay" Des personnalités - Morel-Darleux Corinne, autrice - Cohen Aurélien-Gabriel , chercheur en géographie et en philosophie des sciences - Tordjman Hélène, économiste, université Sorbonne Paris-nord - Dessein Mickaël, auteur réalisateur permaculteur amateur Des élu.es - De Marci Monique, sénatrice de Gironde - Garin Marie-Charlotte, députée du Rhöne - Satouri Mounir, député européen - Mariel Océane, conseillère communataire de la Rochelle - Biteau Benoît paysan et député européen EELV - Combres Maryse, conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine - Moncond'huy Léonore, maire de Poitiers - Chapuis Gauthier, adjoint au maire de Lyon - Poix Julien, conseiller régional Hauts-de-France9,363 of 10,000 SignaturesCreated by Coalition des résistances aux fermes usines
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Stop au projet de bétonnisation Saint Christol à PézenasL’ancienne municipalité conduite par Mr Alain Vogel Singer (25 ans de mandat) a porté ce projet immobilier au lieu-dit Saint Christol à Pézenas pour construire 750 logements. L’objectif principal était de porter la population de Pézenas de 8000 à 10000 habitants. De nombreuses associations se sont opposées à ce projet dont l’association « Osons Pézenas » soutien du maire actuel Armand Rivière (https://osonspezenas.wordpress.com/tag/artificialisation-des-sols/). La commune n’ayant pas les moyens d’autofinancer ce projet s’est organisée de la façon suivante sous la direction de l’ancien Maire : Elle a fait acheter les terres par l’établissement public foncier (EFF) Languedoc-Roussillon Elle a constitué une SEMOP et choisi un opérateur privé (CIM) à hauteur de 60 % dans la SEMOP pour conduire l’opération. En mars 2020, élection municipale. L’ancien maire Alain Vogel Singer qui a porté le dossier est battu. La nouvelle équipe conduite par Armand Rivière qui s’y est opposé est élue. Or, lors du conseil municipal du 18 mai 2021 et contre toutes attentes, la nouvelle municipalité vote le nouveau PLU permettant de lancer le projet Saint Christol. Le nouveau Maire ouvre le débat par ces mots : « Peut-être me faut-il vous préciser pourquoi aller au terme de cette révision générale ce qui pourrait paraître étrange puisque ce n'est pas la nôtre, il faut l'assumer comme telle… » La nouvelle équipe justifie se revirement de position en disant qu’elle a fait des aménagements par rapport au projet initial : En particulier : - Diminution du nombre de logements (750 - 655) - Protection du patrimoine arboré et lumière rouge - Murets en pierres et bosquets mis en valeur ; - Espace écologique et pédagogique - … La nouvelle municipalité a mis en place des conseil citoyens dont le CCTE (Conseil Citoyen pour la Transition Ecologique) qui s'est prononcée contre ce projet ! La Chambre régionale des comptes Occitanie, elle, a relevé : - « Une opération d’aménagement dont le montage présente de multiples fragilités » - « La création d’une SEMOP au terme d’une procédure peu propice à la concurrence et entachée d’irrégularités » - « Des enjeux et des risques qui appellent une vigilance accrue de la part de la ville » La municipalité actuelle est piégée par les contrats signés par l'ancienne municipalité et ne sachant comment arrêter ce projet tente de le "verdir" pour assumer les contrats. Il faut que ce projet soit maintenant porté par l'agglomération, le département et la région afin d'aider la municipalité actuelle a sortir de ce piège3,657 of 4,000 SignaturesCreated by Collectif Saint Christol
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Lycée Paul Cézanne Aix-en-Provence : Initiative pour une option végétarienne à la cantine !Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Paul Cézanne, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE158 of 200 SignaturesCreated by Sébastien C.
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NON A LA MEGA PLATEFORME LIDL DU MAS DE BAGUAIPour ces raisons de gigantisme et de destruction de la biodiversité nous demandons l'abandon de ce projet aux conséquences négatives multiples : - circulation de centaines de semi-remorque en plus par jour, entrainant pollutions de l'air et nuisances sonores, davantage d'insécurité routière et de dégradation onéreuse des routes ; -artificialisation des sols et inadaptation au changement climatique (perte de biodiversité, suppression de la capacité des sols à capter le carbone, à retenir les inondations...) ; -consommation de beaucoup d’espace pour peu d’emplois, au détriment de l’implantation de PME ; - anticipation erronée sur la création d’emploi alors que ces méga plateformes sont destinées à être robotisées à l’avenir - impact négatif sur le tourisme et l'attractivité de la ville. Agissons maintenant, signez pour dire stop au béton ! rejoignez nous sur VIVE GARRIGUE3,179 of 4,000 SignaturesCreated by ASSOCIATION VIVE GARRIGUE
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Non à la ZAE de Bellebat-Targon-Faleyras et à l'artificialisation d'encore plus de terres agricolesEn Gironde, entre Garonne et Dordogne, notre Association pour la Sauvegarde et la Salubrité de Faleyras, Targon et Environs (ASSFALTE) se bat depuis 7 ans pour la préservation de 10 hectares de terres agricoles qui devraient, selon le souhait de la Commune de Bellebat et de la Communauté des Communes Rurales de l'Entre-deux-Mers, être transformés en zone d'activités économiques (ZAE), alors même que deux ZAE existent déjà dans un rayon de moins de dix kilomètres, disposant qui plus est d'emplacements vacants. Aujourd'hui, nous avons épuisé les voies de recours auprès des juridictions compétentes, jusque devant le Conseil d’État. Pour autant, notre cause demeure plus juste que jamais: la préservation des espaces agricoles et naturels est aujourd'hui impérative pour assurer notre souveraineté alimentaire, pour recréer la biodiversité garante des équilibres vitaux à restaurer. L'actualité sanitaire, la crise géopolitique et le chaos climatique que nous subissons doivent conduire nos élus à changer radicalement de priorités pour faire face. En artificialisant les terres, la France continue à perdre tous les douze mois la capacité à nourrir une ville de l'importance du Havre, les sols sont couverts de béton au rythme d'un département tous les 10 ans, l'équivalent d'un terrain de football disparaît toutes les 7 minutes dans l'hexagone! Cette course mortifère doit cesser: il y a urgence! Ici, il reste quelques jours avant l'achat des terres, la Communauté Des Communes Rurales de l’Entre-deux-Mers pourrait encore purement et simplement renoncer à cette procédure, il est encore temps pour stopper ce projet nocif! C'est le mandat que nous donnons à nos conseillers communautaires! Notre lutte pour la préservation des espaces naturels concerne l'avenir de tous, votre soutien est indispensable, manifestez le en signant cette pétition !2,179 of 3,000 SignaturesCreated by Association Assfalte
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Exigeons un véritable étiquetage environnemental des produits alimentairesNotre alimentation est à l’origine de nombreuses pressions sur l’environnement et représente 24 % de nos émissions de gaz à effet de serre. Il est donc urgent de faire évoluer notre alimentation. Les citoyens sont prêts à ce changement : 80 % disent vouloir consommer plus “responsable”. Mais comment changer ses choix alimentaires si nous ne savons pas quels produits sont durables ? Alors que 70 % des produits alimentaires sont vendus en grande surface, il est indispensable que leur emballage informe de leurs impacts sur l'environnement. Pour les produits d’origine animale, le mode d’élevage (cage, plein air, etc.) doit également être affiché, étant donné l’ampleur des nuisances écologiques et des atteintes au bien-être animal causées par les élevages intensifs. En 2023, le gouvernement va mettre en place un étiquetage des produits alimentaires sur leurs impacts environnementaux. Pourtant, alors que 96 % des Français y sont favorables, il n’est pour l’instant pas prévu d’indiquer le mode d’élevage. Pour que cet étiquetage environnemental ne soit pas une occasion manquée de répondre aux enjeux écologiques et aux attentes sociétales, le gouvernement va devoir faire preuve d’ambition et résister aux lobbies qui s’opposent à la transparence. En signant cette pétition, vous nous aidez à mettre la pression sur les pouvoirs publics pour que cet étiquetage : Soit compréhensible et affiché clairement sur l’emballage des produits alimentaires. Indique, pour les produits d’origine animale, le mode d’élevage, y compris pour les produits transformés (nuggets, pizzas, etc.). Intègre l’ensemble des enjeux environnementaux, en particulier le changement climatique et la biodiversité. Permette de différencier les produits d’une même famille (par exemple des tomates) lorsque leur mode de production est différent (avec ou sans pesticides, serres chauffées, etc.). Cette pétition est également soutenue par : Alerte des Médecins sur les Pesticides (AMLP), Alliance Santé Planétaire, Alofa Tuvalu, Association Santé Environnement France (ASEF), Bio Consom’acteurs, Collectif En Vérité, Collectif National des Associations d’Obèses (CNAO), myLabel, Observatoire National des Alimentations Végétales (ONAV), Réseau Environnement Santé, VRAC France, Terre & Humanisme, Bee friendly, Déclic, Let's Food, Oxfam France, WECF France, Lobby des Consciences, Résistance à l'Agression Publicitaire (RAP), Générations futures, Noé, MIRAMAP, Fédération française des diabétiques, Bon pour le climat, Fédération nationale d'éducation et de promotion de la santé, Réseau Étudiant pour une Société Écologique et Solidaire (RESES), CMR – Chrétiens dans le monde rural, Assiettes végétales, Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB), Les Amis de la Terre.85,826 of 100,000 SignaturesCreated by Réseau Action Climat, Agir pour l'environnement, CIWF France, France Nature Environnement, Greenpeace France
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