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Sarrebourg : Nous voulons + de repas végétariensAujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours, voire plusieurs fois par jour et même parfois par repas avec les entrées. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Madame la Proviseure, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien tous les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Sarrebourg ? OUI, Sarrebourg doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR495 sur 100 SignaturesCréée par Théo L.
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1 journée sans voiture par mois et non 364 pour les voitures !Aujourd'hui la voiture occupe une grande partie de l'espace de nos villes alors qu'une majorité de la population se déplacent à pied. 1 seul journée consacrée aux piétons et mobilités douces c'est trop peu ! Nous demandons à la mairie de Paris une journée sans voiture par mois étendue à toute la ville. Nous voulons que la voiture individuelle et les 2-roues motorisés deviennent l'exception à Paris. C'est vital pour notre santé et pour être à la hauteur du défi climatique. Et c'est convivial ! Une ville "sans" voiture, c'est d'abord une ville "avec" ses habitants. C'est pourquoi, en cette journée sans voiture, nous devons obtenir un maximum de signatures pour montrer à la Mairie de Paris qu'il est temps de transformer notre ville ! Alternatiba Paris avec "La Rue Est à Nous" & Paris Sans Voiture213 sur 300 SignaturesCréée par Alternatiba Paris L.
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Bassines Non Merci 86 - Eau Bien CommunSans le financement par la région ce projet ne pourra se faire, c'est pourquoi nous demandons à Alain Rousset président de la région Nouvelle Aquitaine d'abandonner son financement pour favoriser; - un partage équitable de la ressource en eau disponible, décidé de façon démocratique et publique - une agriculture alternative, saine, sans pesticides, adaptée au changement climatique qui protège les captages d'eau potable des pesticides et nitrates. - l'instauration de circuits courts et bio, une agriculture paysanne qui créée des emplois - une réorientation des aides publiques pour soutenir ce système agricole1 711 sur 2 000 SignaturesCréée par Alain G.
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Fontainebleau : pour des repas sains à la cantine !Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Fontainebleau n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Mr Valletoux, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Fontainebleau ? OUI, Fontainebleau doit être exemplaire. Nos collèges - lycées doivent jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.47 sur 100 SignaturesCréée par Sa k.
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Maintien de la ligne ferroviaire Clermont-Fd => La Bourboule,Le Mont-DoreL'urgence climatique: passer des intentions aux actes....216 sur 300 SignaturesCréée par Eliane S.
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[URGENT] Préservons les forêts françaises ! Ne les laissons pas dépérir dans des incendies !Vous ne voulez plus que les forêts françaises brûlent ? Vous souhaitez les préserver en permettant de limiter les incendies et peut-être à y mettre fin ? Alors signez cette pétition ! En signant cette pétition, vous demandez à l'ONF de renforcer sa législation, ses moyens de protection et son nombre de forestiers et forestiers sapeurs pour prévenir les incendies. Nous devons agir maintenant pour les forêts françaises, elles constituent un poumon vert pour la biodiversité et les territoires, dans un contexte de réchauffement climatique de plus en plus préoccupant.450 sur 500 SignaturesCréée par Sophie M.
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Non à l’extension de l’aéroport de Roissy : une bombe climatique et sanitaireNous, associations de défense de l’environnement et des populations survolées, nous opposons à toute extension de l’aéroport de Roissy, et plus largement, à toute infrastructure permettant d'accroître le trafic fret ou passager. Malgré l’annonce du gouvernement d’abandonner le projet en février 2021, le président du groupe Aéroports de Paris déclare travailler, à la demande de ce dernier, sur un nouveau projet de terminal qui permettrait d'accroître le trafic de l’aéroport. Dans sa version initiale, le T4 devait accueillir autant de passagers que l’aéroport d’Orly, permettant d’augmenter de 50% le trafic passager de Roissy (40 millions supplémentaires/an) et de 40% le nombre de vols (500 avions en plus chaque jour). Des perspectives de croissance que ne remet pas en cause le président d’ADP. Nous devons donc rester mobilisés. Tout projet d’extension de Roissy serait un non sens climatique et sanitaire. A l’heure où le secteur aérien représente déjà 7% de l’empreinte carbone nationale1, et alors que les solutions technologiques envisagées (avion électrique, à hydrogène et carburants alternatifs) n'ont pas démontré leur faisabilité et n’auraient qu'un impact limité, il est urgent de réduire nos émissions de gaz à effet de serre - et donc le trafic aérien - pour avoir une chance de tenir les objectifs de l'Accord de Paris. Il serait donc impensable que l’Etat soutienne un tel projet qui, dans sa version initiale, aurait été responsable de l'émission de 15 millions de tonnes de CO2eq supplémentaires par an, soit l’équivalent des émissions de 24 millions de Français pour le chauffage de leur logement. À l’heure où la Convention citoyenne pour le climat a demandé l’arrêt des extensions d’aéroports et que d’autres extensions aéroportuaires ont été stoppées en Europe (Bristol, Madrid, Barcelone, Copenhague), il est temps que la France prenne position contre ces projets, dont une dizaine existent actuellement sur notre territoire. A l’heure où des acteurs du secteur aérien appellent eux aussi à ne pas repartir “comme avant” et à repenser la trajectoire du secteur pour préserver à la fois le climat et les emplois2. À l’heure où la santé des populations survolées est déjà dramatiquement impactée par les pollutions sonores et atmosphériques générées par le trafic intense de Roissy - qui accueille le plus grand nombre de vols, notamment de vols de nuit, en Europe - il n’est pas admissible de l’augmenter encore. Nous refusons la fuite en avant d’une croissance sans limites du trafic aérien et demandons le développement d’alternatives là où cela est possible. Il faut en particulier investir massivement dans le développement du train, de jour et de nuit, pour réduire notre empreinte écologique, comme le font d’autres pays européens comme l’Allemagne, la Suisse, l’Autriche ou la Norvège. C’est le moment d’agir pour dire NON à toute extension de l’aéroport de Roissy. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon de tout projet d’extension de Roissy. Ensemble, faisons en sorte que cette bombe climatique et sanitaire ne voie pas le jour. Soutiens : Greenpeace, France Nature Environnement IDF, Alternatiba, Notre Affaire à tous, les Amis de la Terre Val d'Oise, Youth for climate Val d’Oise, MNLE Réseau “Homme et Nature”, Notre Choix, Val d'Oise environnement, CPTG, ADRA, DIRAP, CIRENA, UFCNA, Alofa Tuvalu, Résistance Climatique, Rester sur Terre (Stay Grounded). 1 "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution - Juillet 2020 http://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf 2 Tribune du collectif de salariés de l’aéronautique ICARE https://www.change.org/p/aux-acteurs-de-l-a%C3%A9ronautique-transformons-le-monde-a%C3%A9ronautique-ensemble?use_react=false51 928 sur 75 000 SignaturesCréée par Collectif Non au T4 et ADVOCNAR
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Pour des repas sains à la cantine de Pérols !Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Pérols n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Monsieur Rico, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Une majorité de produits frais, bio et locaux. - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Pérols ? OUI, Pérols doit être exemplaire. Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.38 sur 100 SignaturesCréée par Soline R.
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BRUZ : pour des repas écologiques à la cantine !Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Bruz n'échappe pas à ce constat. Par exemple, au lycée Anita Conti, il n'y a pas de véritable alternative végétale. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Monsieur le chef d'établissement nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Bruz ? OUI, Bruz doit être exemplaire. Notre lycée doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.134 sur 200 SignaturesCréée par Gwénola B.
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Tricastin : 40 ans, ça suffit !Le 4e réexamen périodique du réacteur n°1 de Tricastin s’est déroulé du 1 er juin au 23 décembre 2019 en vue de décider de la prolongation de sa durée de vie à 50 ans ou de son arrêt. EDF à publié le 17 février 2020 son rapport de conclusion du réexamen de Tricastin 1. Les dispositions proposées par EDF dans son rapport ont été soumises à une enquête publique et dans la foulée l’ Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) vient de donner un avis générique favorable à la poursuite jusqu’à 50 ans de la vie des réacteurs de 900 MWe. Toutefois après cet avis générique, un avis spécifique sera rendu réacteur par réacteur. Pour le réacteur N°1 de Tricastin, il sera rendu avant fin 2022 après une nouvelle enquête publique. Le réacteur n°1 de Tricastin présente de graves déficits en matière de sûreté au regard des exigences françaises et internationales appliquées à l’heure actuelle et les conséquences d'un accident seraient considérables, mettant en péril les riverains, l'environnement et l'économie locale. Au vu des défauts de sa cuve, des incertitudes et des risques, le réacteur n°1 de Tricastin ne doit pas recevoir l’autorisation de fonctionner au-delà de la quatrième visite décennale. Quarante ans ça suffit ! Stop Tricastin ! Nous vous demandons d’arrêter le réacteur n°1 de Tricastin. Stop Tricastin - un collectif de citoyens de tous horizons unis pour obtenir la fermeture de la centrale de TRICASTIN et coordonner des actions qui visent à informer les citoyens, les élus et les médias sur les alternatives à l'énergie nucléaire.45 400 sur 50 000 SignaturesCréée par Collectif Stop Tricastin
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Non aux écrans vidéos publicitaires dans Paris10 bonnes raisons de dire NON aux écrans vidéos publicitaires : 1. UN ÉCRAN VIDÉO PUBLICITAIRE CONSOMME AUTANT D'ÉNERGIE QUE TROIS FAMILLES. La consommation d'un écran vidéo publicitaire est jusqu’à 15 fois supérieure à celle d'un panneau avec une affiche papier rétroéclairée (JC Decaux). Cela revient à la consommation de 3 familles par an, hors chauffage (NégaWatt). 2. LES ÉCRANS VIDÉOS PUBLICITAIRES SONT INCOMPATIBLES AVEC LE PLAN CLIMAT DE PARIS. Dans son Plan Climat Air Energie territorial, la ville de Paris s’est engagée à réduire de 50 % sa consommation énergétique à l’horizon 2050. Elle a même déclaré "la meilleure énergie est celle que l’on ne consomme pas"… Cet engagement est incompatible avec le déploiement de ces dispositifs énergivores. 3. LES ÉCRANS VIDÉOS PUBLICITAIRES SONT DES SOURCES DE CONSOMMATION SUPERFLUES QUI CONTRIBUENT AU GASPILLAGE DE L'ÉLECTRICITÉ. RTE classe les écrans publicitaires parmi les sources de consommations "superflues" et "non prioritaires" d'électricité. Les éteindre fait partie des leviers à notre disposition pour ne pas avoir à allumer de centrale à charbon en période de pic de consommation d’électricité. 4. LA LUMIÈRE BLEUE DES ÉCRANS EST TOXIQUE POUR LA RÉTINE, NOTAMMENT CELLE DES ENFANTS. Selon l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail), la lumière bleue perturbe les rythmes biologiques et peut causer diverses pathologies, dont insomnie et migraine. 5. LES ÉCRANS VIDÉOS GÉNÈRENT UNE POLLUTION LUMINEUSE QUI MENACE LA BIODIVERSITÉ. Selon une étude 2017 de DarkSkyLab, les panneaux publicitaires numériques aggraveraient fortement le problème de pollution lumineuse à Paris. Or cette pollution lumineuse est nocive pour la biodiversité car elle perturbe les cycles de vie des plantes et des animaux. Elle entraîne, entre autres, la désorientation des oiseaux, et c’est même la deuxième cause de mortalité chez les insectes (ce qui met en danger la fructification et la reproduction de la flore). La Mairie de Paris s’est pourtant engagée à réduire les nuisances lumineuses (dont les enseignes lumineuses commerciales) dans son Plan Biodiversité... 6. LA FABRICATION DES ÉCRANS VIDÉO PUBLICITAIRES EST TRÈS POLLUANTE ET EXPLOITE LES POPULATIONS LOCALES DANS DES CONDITIONS DE TRAVAIL INDIGNES. La fabrication de ces écrans implique l'extraction et le raffinage de terres rares, et des rejets toxiques de métaux lourds, acide sulfurique et d'uranium dans l'environnement. C'est lourd de conséquences pour les écosystèmes locaux et les populations exposées. 7. LES ÉCRANS VIDÉOS PUBLICITAIRES EN FIN DE VIE CRÉERONT DES DÉCHETS ÉLECTRONIQUES ET PLASTIQUES DIFFICILES À RECYCLER. Les écrans publicitaires ont une durée de vie limitée et contiennent de très nombreux composants électroniques et plastiques difficiles à recycler. Il existe un risque important que ces déchets ne soient pas valorisés. C'est en contradiction avec les engagements pris par la Mairie de Paris dans son Plan Climat Air Energie territoriale, pour réduire son empreinte sur les ressources naturelles et atteindre l’objectif zéro déchets non-valorisés. 8. LES ÉCRANS PUBLICITAIRES VIDÉO IMPOSENT LEURS MESSAGES DE FAÇON AGRESSIVE ET INCITENT À LA SURCONSOMMATION. Parce qu’ils sont animés et lumineux, ces écrans captent l’attention de manière agressive. Il devient impossible d’éviter leur message. Cela ne respecte pas la liberté du citoyen, puisqu’il y est soumis qu’il l’ait choisi ou non. La Mairie de Paris serait irresponsable de cautionner cette incitation permanente à céder à l’achat impulsif. Les soldes de la "fast-fashion" ou encore les achats de high-tech durant le Black Friday sont des comportements aberrants, sources de déchets massifs, de pollution et de production de gaz à effet de serre, à l’impact sociétal et environnemental dramatique. 9. UNE IMAGE ANIMÉE AU BORD DE LA ROUTE DISTRAIT LES CONDUCTEURS ET MENACE LA SÉCURITÉ DE TOUS. Selon le groupe technique Sécurité routière de la CEDR (Conférence Européenne des Directeurs de Route), la distraction d’un conducteur pendant plus de 2 secondes génère 7 fois plus de risques d’accident. 10. POUR UNE VILLE AGRÉABLE À VIVRE, PLANTEZ PLUTÔT DES ARBRES, PAS DES PUBS ! La municipalité de Grenoble a fait le choix de supprimer les pubs de ses rues et de planter des arbres à la place. Les motivations du Maire ? Améliorer la qualité de vie, créer une ville apaisée et donner plus de place à l’affichage libre, en réservant des espaces aux associations et aux acteurs culturels, pour favoriser la vie de quartier. *** Les discussions en cours au sein du Conseil de Paris laissent craindre le pire : depuis novembre 2017, une révision du Règlement Local de Publicité (RLP) est engagée. Officiellement, il s'agit de permettre le recours « aux nouvelles technologies, dont les écrans numériques ». Or, depuis 2011, ce règlement interdit formellement les panneaux publicitaires numériques dans les rues de Paris. Une interdiction logique et indispensable, car ces écrans sont polluants, énergivores et totalement superflus. L'interdiction des écrans publicitaires numériques ne doit pas être remise en cause. Leur autorisation serait incompatible avec les engagements climatiques et environnementaux pris par la Ville de Paris et enverrait un signal politique désastreux à l’heure où les Parisiennes et Parisiens se mobilisent massivement contre la crise climatique et écologique. Nous comptons sur vous pour atteindre notre objectif de 5 000 signatures : dès ce seuil atteint, nous remettrons publiquement cette pétition aux candidat·es à la Mairie de Paris (les élections municipales auront lieu en mars 2020 et la modification du RLP sera réalisée par les futur·es membres du Conseil de Paris) pour leur demander de s’engager formellement à maintenir l’interdiction d’installer des écrans numériques publicitaires dans les rues de Paris. Merci pour votre soutien.7 581 sur 8 000 SignaturesCréée par Groupes locaux de Greenpeace Paris
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Projet de cantine verte pour le collège de Mézin !Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Mézin n'échappe pas à ce constat. Développer sur la situation particulière de votre commune, département, collège... (où en est-elle ? y-a-t-il des blocages...). La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! M. Rhaouti, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Mézin ? Surtout que nous sommes un collège SNE ! Notre collège doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.243 sur 300 SignaturesCréée par Nattie B.
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