-
Non à l’autoroute urbaine de l’avenue d’Aix-les-Bains à SeynodSi on veut sortir de la logique du tout-voiture à Annecy, l’abandon de ce projet sous sa forme actuelle est essentiel. Avec le Pôle métropolitain Annecy-Chambéry, on peut s’attendre à une augmentation importante des échanges entre les deux villes et donc du trafic routier sur cette entrée d’Annecy, comme on peut s’attendre à ce que les véhicules de livraison des prestataires d’Amazon soient tentés de passer par là pour réduire les temps de parcours, sans oublier un trafic induit important que provoquera inéluctablement le doublement des voies. A noter que le tunnel sous le Semnoz serait venu également gonfler le trafic routier. L’abandon récent du projet est une raison de plus de demander la révision du projet de réaménagement de l’avenue d’Aix-les-Bains. Mais ne nous réjouissons pas trop vite, l’été 2020 a été marqué par des bouchons record autour du lac d’Annecy, dixit la présidente de l’agglomération du Grand Annecy, Frédérique Lardet, et ce serpent de mer peut ressortir un jour si le trafic routier continue d’exploser ainsi dans le bassin annécien. On doit aussi se mobiliser pour la préservation du cadre de vie et de la santé des habitants de Seynod où se concentrent déjà de trop nombreux axes routiers. On ne peut pas se satisfaire de se soucier à Annecy uniquement des bords du lac. L’enquête publique menée pour le projet LOLA (Liaison Ouest du Lac d’Annecy avec le tunnel sous le Semnoz) est à ce titre révélatrice de ce manque d’équité entre les différents quartiers d’Annecy et du Grand Annecy. L’étude d’impact s’est limitée aux deux rives du lac et a totalement ignoré l’autre côté du tunnel avec pourtant un trafic attendu de 25 000 véhicules supplémentaires par jour. Dans ce souci d’équité, le projet de réaménagement de l’avenue d’Aix-les-Bains doit faire l’objet lui aussi d’une enquête publique. Soutiens : Groupe local Greenpeace d'Annecy Le collectif Moins d'Autos Plus de Vélos à Annecy est récent et ne demande qu'à grandir. Il est ouvert à tout citoyen souhaitant s'investir dans cette mobilisation. Le soutien d'associations ou de collectifs est également le bienvenu. N'hésitez pas à nous contacter à [email protected] .424 sur 500 SignaturesCréée par Moins d'autos plus de Vélos à Annecy
-
Stop à l'implantation d'un entrepôt géant d'Amazon à Petit Couronne ! Ni ici ni ailleurs...Un entrepôt de 160 000 m2, 330 000 colis par jour, un flux quotidien de 1000 à 3000 poids lourds. Et cela, rien qu'ici ! Actuellement plusieurs projets du même type sont en cours en France. Alors que la crise sanitaire creuse les inégalités et détruit notre économie, Amazon et son patron Jeff Bezos, la plus grande fortune mondiale, profitent de la situation. Amazon a la folie des grandeurs, mais à quel prix ? Les géants du e-commerce fraudent massivement en évitant par exemple la TVA, ce qui crée une concurrence déloyale avec les autres commerces et représente un manque à gagner de 1,5 Milliard par an, soit le montant du déficit de l'hôpital public ! En trichant, Amazon menace la survie des commerces de proximité, déjà durement impactés par la crise sanitaire. En moyenne, pour un nouveau poste créé, l’entreprise détruit 4 emplois dans les autres filières du commerce. Les promesses d'embauche sont trompeuses, car la plupart des emplois promis seront de courte et/ou très courte durée lors des pics d'activité, et l'entrepôt géant sera probablement automatisé dans les 5 ans suivant sa construction. Amazon encourage la surproduction et la surconsommation, alors que l'urgence climatique nous demande de réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Cela n'est pas cohérent avec les objectifs de la France fixés par la signature de l'Accord de Paris ! Ce projet met en danger les habitant.e.s de notre Métropole. Les pompiers ont rendu un avis défavorable sur cet entrepôt, en concluant à une "incapacité opérationnelle à agir" en cas d'incendie. Un an après la catastrophe de Lubrizol, il n'est pas responsable de laisser s'installer près de nos villes une entreprise qui ne protège ni ses salarié.e.s, ni les habitants autour. Voici le monde selon Amazon. Et ce n'est pas le monde dont nous voulons ! ➡️ Nous devons empêcher l’expansion du groupe Amazon en luttant contre son installation dans la Métropole Rouennaise. Nous disons NON à la construction de cet entrepôt qui aura des conséquences désastreuses pour notre économie locale et pour le climat. Rejoignez le combat en signant cette pétition ! Pour plus d'infos : https://www.amisdelaterre.org/campagne/amazon-surproduction/690 sur 800 SignaturesCréée par Stop Amazon 7 6.
-
On veut respirer à Rouen!Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Nicolas Mayer-Rossignol (président de la Métropole de Rouen), il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre agglomération en fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030, en prévoyant préalablement des alternatives accessibles à toutes les classes sociales; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre agglomération (mise en place de “rues scolaires”, développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.); - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur la lutte contre la pollution automobile afin de respecter les normes européennes de qualité de l'air. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire et Président de la Métropole, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/601 sur 800 SignaturesCréée par Groupe Local Greenpeace de Rouen
-
DEFENSE DES HAIES BOCAGERESEn effet, trop souvent les machines utilisées brutalisent les haies (voir photo), qui s'étiolent progressivement et finissent ainsi par disparaître insidieusement. Mais il y a aussi l’exemple que peuvent donner les collectivités locales : mairies, intercommunalités, département. Elles sont en charge de l’entretien courant des haies en bordure de routes. Elles le sont parfois également de celui des chemins ruraux qui sillonnent notre campagne, normande pour ce qui me concerne. Les prestataires devraient avoir à signer un même cahier des charges "vertueux". Les haies bocagères ont une importance essentielle car : - elles fournissent une protection des cultures et bâtiments contre le vent. - Elles sont un frein à l’écoulement des eaux, à l’évaporation, à l’érosion. - Elles absorbent le carbone et ont donc leur rôle contre le réchauffement climatique. - Elles sont un réservoir de la biodiversité : petits animaux, oiseaux, insectes pollinisateurs, végétation…. - Elles sont une source d’énergie renouvelable, et aussi de bois d’œuvre. - Elles sont le marqueur de notre paysage.826 sur 1 000 SignaturesCréée par Jean-François P.
-
Pour nos enfants : Nous voulons + de repas végétariens à Argenton-sur-CreuseAujourd'hui, à la cantine du collège et du lycée, nos enfants mangent de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, œufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Madame Papuchon, il est temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien tous les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas le collège et le lycée d'Argenton-sur-Creuse ? OUI, Le collège et le lycée Rollinat doivent jouer leur rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR473 sur 100 SignaturesCréée par Karine O.
-
Non à l’agrandissement de l'aéroport de Lille Lesquin et ses nuisances !Nous sommes scandalisé·es par ce projet qui induirait une augmentation du nombre de vols annuels de 25 %, soit de 20 000 à 25 000 vols. Les bonnes intentions environnementales affichées par les promoteurs du projet ne suffiront en aucun cas à compenser les effets néfastes de cette augmentation des émissions de GES (Gaz à Effet de Serre). Ce dernier est un non sens climatique et économique et s’inscrit à contre courant des enjeux environnementaux actuels. À l’heure où le trafic aérien est et sera durablement affecté par la crise sanitaire et économique, investir plus de 113 millions d’euros dans le projet, au-delà des conséquences climatiques, est une hérésie. A l’heure où le secteur aérien représente déjà 7,3% de l’empreinte carbone nationale, et alors que la faisabilité d’avions électriques ou à hydrogène n’a pas été démontrée et n’aurait qu'un impact limité sur la réduction des gaz à effet de serre, il est urgent d'organiser la réduction du trafic aérien. Il est impensable que la Région Hauts-de-France soutienne ce projet incontestablement incompatible avec les objectifs de réduction des gaz à effets de serre institués par l'Accord de Paris. A l’heure où, pour faire face à l’urgence climatique, les 150 citoyens de la Convention Citoyenne pour le Climat ont proposé de limiter les effets néfastes du transport aérien en interdisant la construction de nouveaux aéroports et l’extension d’aéroports existants, il nous parait plus qu’urgent d’exprimer publiquement notre opposition à ce grand projet inutile, anachronique et climaticide. Par ailleurs, au delà des enjeux globaux et nationaux, les conséquences au niveau local de l’agrandissement de l’aéroport doivent être prises en considération par les pouvoirs publics et les entreprises concernées par ce projet. Les riverain·es sont directement touchées par les pollutions de l’air et par les nuisances sonores induites par les avions. De nombreuses études ont ainsi démontré le lien entre la présence d’un aéroport et la dégradation de la santé des populations riveraines, lien qui ne peut que se renforcer avec l’augmentation du nombre de vols. La santé et la qualité de l’air est un droit commun et ce projet y porte inévitablement atteinte. L’aéroport avec ses 470 Ha est situé sur des champs captants qualifiés de « très vulnérables ». L’augmentation des pollutions aux hydrocarbures et métaux lourds pose une question de santé publique. Nous refusons la fuite en avant d’une croissance sans limites du trafic aérien et demandons : · L’abandon pur et simple du projet d’agrandissement de l'aéroport Lille-Lesquin · l’arrêt des lignes aériennes Lille-Strasbourg, et Lille-Lyon, Lille-Nantes accessibles à moins de 4 heures de train. · Un engagement ferme et contractuel pour l’arrêt du transport de marchandise (fret) · La mise en place d’un couvre-feu de 7 heures en cohérence avec les recommandations de l’ANSES et de l’avis de l’Autorité Environnementale ayant pour objectif de garantir a minima des plages nocturnes de 7 heures de repos continu aux riverain·es · Réalisation du Plan de Gêne Sonore notamment d’insonorisation des maisons pour la population couverte par un bruit supérieur à 45dB(A). · Le développement d’alternatives plus cohérentes avec le défi climatique et notamment la mise en œuvre des propositions de la Convention Citoyenne pour le Climat visant "un retour fort à l’usage du train au-delà des voies à grande vitesse" : · La généralisation des mesures tarifaires attractives sur le train déjà pratiquées par certaines régions · Le développement d’un plan d’investissement massif de modernisation des infrastructures, des matériels roulants et des gares pour en faire des pôles multimodaux (lien avec les voitures, cars, vélos…) · La réouverture des petites lignes de train, et le renforcement de l'offre de service de transport express régional (TER). A l’heure de l’urgence climatique et alors qu’il reste beaucoup à faire pour développer des alternatives moins émettrices, nous ne laisserons pas des intérêts privés nous voler notre avenir, notre santé et celles des générations futures. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon du projet et réduire les nuisances de l’aéroport! Les Amis de la Terre Nord, ANV-COP 21 Lille, Alternatiba Lille, Extinction Rebellion Calais, Extinction Rebellion Lille, Extinction Rebellion Valenciennes-Avesnois-Cambrésis, Virage Énergie, ATTAC-métropole, Greenpeace Lille, Entrelianes, PARC Saint-Sauveur16 415 sur 20 000 SignaturesCréée par NADA Lille
-
[URGENT] Préservons les forêts françaises ! Ne les laissons pas dépérir dans des incendies !Vous ne voulez plus que les forêts françaises brûlent ? Vous souhaitez les préserver en permettant de limiter les incendies et peut-être à y mettre fin ? Alors signez cette pétition ! En signant cette pétition, vous demandez à l'ONF de renforcer sa législation, ses moyens de protection et son nombre de forestiers et forestiers sapeurs pour prévenir les incendies. Nous devons agir maintenant pour les forêts françaises, elles constituent un poumon vert pour la biodiversité et les territoires, dans un contexte de réchauffement climatique de plus en plus préoccupant.448 sur 500 SignaturesCréée par Sophie M.
-
Non à l’extension de l’aéroport de Roissy : une bombe climatique et sanitaireNous, associations de défense de l’environnement et des populations survolées, nous opposons à toute extension de l’aéroport de Roissy, et plus largement, à toute infrastructure permettant d'accroître le trafic fret ou passager. Malgré l’annonce du gouvernement d’abandonner le projet en février 2021, le président du groupe Aéroports de Paris déclare travailler, à la demande de ce dernier, sur un nouveau projet de terminal qui permettrait d'accroître le trafic de l’aéroport. Dans sa version initiale, le T4 devait accueillir autant de passagers que l’aéroport d’Orly, permettant d’augmenter de 50% le trafic passager de Roissy (40 millions supplémentaires/an) et de 40% le nombre de vols (500 avions en plus chaque jour). Des perspectives de croissance que ne remet pas en cause le président d’ADP. Nous devons donc rester mobilisés. Tout projet d’extension de Roissy serait un non sens climatique et sanitaire. A l’heure où le secteur aérien représente déjà 7% de l’empreinte carbone nationale1, et alors que les solutions technologiques envisagées (avion électrique, à hydrogène et carburants alternatifs) n'ont pas démontré leur faisabilité et n’auraient qu'un impact limité, il est urgent de réduire nos émissions de gaz à effet de serre - et donc le trafic aérien - pour avoir une chance de tenir les objectifs de l'Accord de Paris. Il serait donc impensable que l’Etat soutienne un tel projet qui, dans sa version initiale, aurait été responsable de l'émission de 15 millions de tonnes de CO2eq supplémentaires par an, soit l’équivalent des émissions de 24 millions de Français pour le chauffage de leur logement. À l’heure où la Convention citoyenne pour le climat a demandé l’arrêt des extensions d’aéroports et que d’autres extensions aéroportuaires ont été stoppées en Europe (Bristol, Madrid, Barcelone, Copenhague), il est temps que la France prenne position contre ces projets, dont une dizaine existent actuellement sur notre territoire. A l’heure où des acteurs du secteur aérien appellent eux aussi à ne pas repartir “comme avant” et à repenser la trajectoire du secteur pour préserver à la fois le climat et les emplois2. À l’heure où la santé des populations survolées est déjà dramatiquement impactée par les pollutions sonores et atmosphériques générées par le trafic intense de Roissy - qui accueille le plus grand nombre de vols, notamment de vols de nuit, en Europe - il n’est pas admissible de l’augmenter encore. Nous refusons la fuite en avant d’une croissance sans limites du trafic aérien et demandons le développement d’alternatives là où cela est possible. Il faut en particulier investir massivement dans le développement du train, de jour et de nuit, pour réduire notre empreinte écologique, comme le font d’autres pays européens comme l’Allemagne, la Suisse, l’Autriche ou la Norvège. C’est le moment d’agir pour dire NON à toute extension de l’aéroport de Roissy. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon de tout projet d’extension de Roissy. Ensemble, faisons en sorte que cette bombe climatique et sanitaire ne voie pas le jour. Soutiens : Greenpeace, France Nature Environnement IDF, Alternatiba, Notre Affaire à tous, les Amis de la Terre Val d'Oise, Youth for climate Val d’Oise, MNLE Réseau “Homme et Nature”, Notre Choix, Val d'Oise environnement, CPTG, ADRA, DIRAP, CIRENA, UFCNA, Alofa Tuvalu, Résistance Climatique, Rester sur Terre (Stay Grounded). 1 "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution - Juillet 2020 http://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf 2 Tribune du collectif de salariés de l’aéronautique ICARE https://www.change.org/p/aux-acteurs-de-l-a%C3%A9ronautique-transformons-le-monde-a%C3%A9ronautique-ensemble?use_react=false51 925 sur 75 000 SignaturesCréée par Collectif Non au T4 et ADVOCNAR
-
Plus de choix végétarien au selfDe plus en plus de lycéen.ne.s deviennent végétarien.ne.s ! Nous avons besoin de soutien pour arriver à faire changer les choses et nous permettre de manger à notre faim, selon notre alimentation et avoir un choix végé tous les jours !32 sur 100 SignaturesCréée par Justine L.
-
Retour des étoiles à Saint Maur des fossésEteindre des lampadaires la nuit, permet de dormir plus paisiblement sans pollution lumineuse. Cela économise aussi une quantité faramineuse d'électricité donc d'argent aussi. Moins de pollution et plus d'économies pour un meilleur sommeil. Gagnant - gagnant59 sur 100 SignaturesCréée par Lucie C.
-
Monsieur le Maire de Paray le Monial Libérez-nous du tout-voiture !Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur NESME, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux [le cas échéant si promesses il y a eu] et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/34 sur 100 SignaturesCréée par Cheyenne C.
-
Les sarments ça se brule plus ça se recycleEn 2020, il est fou de brûler de la biomasse alors qu'elle est très utile pour les plantes dont les carences accentuent leurs maladies. L'augmentation des gaz à effet de serre conduit à une hausse des températures qui complique également la culture de la vigne. Comme dit P.Rabhy: ce qui vient de la terre doit y retourner! Il est urgent d'arrêter cette pratique climatocide avant le printemps.85 sur 100 SignaturesCréée par Jean-Marie G.
Votre consentement est important pour nous. L'utilisation de cookies, ou de technologies similaires, nous permet de vous garantir une expérience optimale sur notre site, de mieux vous connaître et d'avoir une idée précise des personnes qui visitent nos pages.
Vous êtes libre d'accepter ou de refuser l'utilisation de cookies non essentiels, qui n'ont pas d'impact sur la navigation sur ce site. En savoir plus