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Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de NicePour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : - Suppression du vol [Nice]-[Lyon] : une alternative en train en moins de 6h existe - Suppression du vol [Nice]-[Paris] : une alternative en train en moins de 6h existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs1,069 of 2,000 SignaturesCreated by Nicole B.
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Bourg-en-Bresse : Nous voulons plus de repas végétariens !Aujourd'hui, au self du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Proviseur du Lycée Edgar Quinet de Bourg en Bresse - Jean Luc Lamoine, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 1 menu végétarien (sans viande ni poisson) pour tous et toutes en proposition par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours (en entrée par exemple) Nous sommes conscient.e.s des efforts déjà soutenus par notre établissement concernant la qualité et l'origine des produits. Nous les remercions infiniment. Cependant le repas avec option végétarienne (proposé le mercredi) est insuffisant car les élèves ne trouvent pas d'alternatives (légumineuses ou protéine végétale ou oeufs ou protéine laitière) les autres jours. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Bourg-en-Bresse? OUI, Bourg-en-Bresse doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR492 of 100 SignaturesCreated by CVL de Quinet
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Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de LillePour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : Suppression du vol Lille-Lyon : une alternative en train de 3h existe Suppression du vol Lille-Strasbourg : une alternative en train de 4h existe Suppression du vol Lille-Marseille : une alternative en train de 5h existe Suppression du vol Lille-Bordeaux : une alternative en train de 5h existe Suppression du vol Lille-Nantes : une alternative en train de 5h30 existe Suppression du vol Lille-Montpellier : une alternative en train de 5h existe Suppression du vol Lille-Brest : une alternative en train de 5h50 existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs1,395 of 2,000 SignaturesCreated by Mina D.
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Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de Bâle-MulhousePour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : - Suppression des vols [Bâle-Mulhouse - Paris] : une alternative en train en moins de 4h existe. - Suppression des vols [Bâle-Mulhouse - Montpellier] : une alternative en train en moins de 6h existe. Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs969 of 1,000 Signatures
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Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de RennesPour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : - Suppression des vols [Rennes - Paris] : une alternative en train de moins de 2h30 existe - Suppression des vols [Rennes - Lyon] : une alternative en train de moins de 4h existe - Suppression des vols [Rennes - Marseille] : une alternative en train de moins de 6h existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs1,042 of 2,000 SignaturesCreated by Alternatiba Rennes
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Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de StrasbourgPour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : - Suppression des vols [Strasbourg - Lyon] : : une alternative en train de moins de 4h existe - Suppression des vols [Strasbourg - Marseille]; [Strasbourg - Bordeaux] ; [Strasbourg - Montpellier] : une alternative en train de moins de 6h existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs895 of 1,000 Signatures
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Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de MarseillePour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : - Suppression des vols : [Marseille - Lyon] : une alternative en train de moins de 2h30 existe - Suppression des vols : [Marseille - Paris]; [Marseille - Toulouse] : une alternative en train de moins de 4h existe - Suppression des vols : [Marseille - Lille] ; [Marseille - Strasbourg] ; [Marseille - Rennes] ; [Marseille - Bordeaux] ; [Marseille - Tours] : une alternative en train de moins de 6h existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs1,908 of 2,000 SignaturesCreated by Brigitte D.
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Versailles : Nous voulons + de repas végétariensAujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*) et sur notre santé à TOUS. L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Élevé du lycée Notre-Dame du Grandchamp-Jules Brochet, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Versailles? OUI, Versailles doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR464 of 100 SignaturesCreated by Jules B.
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Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de LyonPour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : - Suppression des vols [Lyon - Marseille] & [Lyon - Paris], une alternative en train en moins de 2h30 existe - Suppression des vols [Lyon - Rennes]; [Lyon - Strasbourg] ; [Lyon - Lille], une alternative en train en moins de 4h existe - Suppression des vols [Lyon- Nantes]; [Lyon - Toulouse] ; [Lyon - Nice]; [Lyon - Caen] ; [Lyon - Poitiers] ; [Lyon - Bordeaux] ; [Lyon - La Rochelle ; [Lyon - Limoges] : une alternative en train en moins de 6h existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs1,967 of 2,000 SignaturesCreated by Noelle S.
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Le cinéma et l'audiovisuel pour un bilan carbone obligatoire !Nos tournages sont itinérants et éphémères, mais leur empreinte environnementale est éternelle. La France est très en retard sur les promesses qu’elle a faites pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre, tandis que de l'autre côté de la Manche cela fait des années que la BBC a rendu obligatoire le bilan carbone de ses productions. Nous sommes nombreux-ses à être sensibles à la nécessité pour notre industrie d’une transition écologique, voire d’une reconstruction écologique tant le sujet est urgent et le projet ambitieux. Cependant nous savons que sans le soutien des décisionnaires nous ne pourrons pas y arriver. FACE À L'IMPÉRATIF ÉCOLOGIQUE, NOUS DEMANDONS L'OBLIGATION DU BILAN CARBONE POUR TOUTES LES PRODUCTIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ET AUDIOVISUELLES ! Il est urgent d’agir, mais à chaque étape il est impératif de prendre en compte le facteur humain. Il ne s'agit pas de contraindre les salarié-e-s mais de leur offrir la possibilité de participer à la transition écologique de leurs métiers. C'est pourquoi nous demandons aussi un accompagnement financier et technique : 1. La mise en place par le CNC d’un fond de soutien vert pour toute l'industrie cinématographique et audiovisuelle en France afin de l'aider à mettre en œuvre sa reconstruction, et conditionné à la réduction réelle de son impact environnemental ; 2. L'inscription du métier de chargé-e en éco-production dans la grille des métiers de la convention collective du cinéma et de l'audiovisuel ; iel accompagnera chaque tournage, responsable de réaliser le bilan carbone et activement présent dès le planning de la pré-préparation jusqu'à la fin de la post-production ; 3. La création d’une formation au métier de chargé-e en éco-production financée par l'AFDAS ; 4. La création d’une plateforme d’enregistrement de chaque bilan carbone dont les données feront l’objet d’une synthèse annuelle publique. ____ Le bilan carbone est le premier pas vers la reconstruction écologique de notre industrie. Nous le savons, nos productions sont polluantes mais à ce jour nous ne disposons que de très peu de données réelles et fiables. Afin d'établir des plans d'action pour réduire notre empreinte environnementale, il faut déterminer où se situent les plus grandes émissions de CO2 et autres gaz à effet de serre et identifier les sources précises de gaspillage (eau, déchets, etc.). Elles ne sont pas les mêmes d'un tournage à l'autre, du studio local à l'étranger, du court-métrage aux séries télévisées, des plus petits budgets aux plus grosses productions. Ce bilan environnemental est également primordial pour vérifier que les alternatives vertes ont un réel effet positif. Notre industrie n’échappe pas aux répercussions de la pandémie et, plus globalement le monde de la culture traverse une période désastreuse. Nous avons su faire preuve de résilience et d'une capacité d'adaptation sans précédent, nous ne céderons pas pour autant à la facilité : saisissons l’opportunité de valoriser cette résilience et de répondre à l’impératif écologique. Nous invitons les organisations patronales et les syndicats de salarié-e-s, les organismes publics et privés, les associations professionnelles, les prestataires et tous les maillons de la chaine de fabrication et de la diffusion d'œuvres cinématographiques et audiovisuelles, à se joindre à nous pour mettre en œuvre l’infrastructure qui garantira la mise en place et le respect de l'obligation du bilan carbone. Nous invitons également tous les prestataires de notre domaine : loueurs, fabricants, studios, salles de cinéma et maisons de production, etc. à nous suivre dans cette démarche en faisant réaliser des bilans carbones de leur activité. IL EST TEMPS DE PASSER À L'ACTION ! ENSEMBLE, FAISONS CE PREMIER PAS VERS NOTRE RECONSTRUCTION ÉCOLOGIQUE ! Cette pétition est à l’initiative de l'éco-syndicat Printemps Écologique - Culture, Médias et Télécommunications et elle est signée par 18 co-signataires : - Deauville Green Awards - Association Française du Son à l'Image (AFSI) - Travelling, l'Ecole Supérieure du Cinéma et de la Télévision de Montpellier - Métiers Associés du Décor (MAD) - Éco Déco Ciné - La Ressourcerie du Cinéma - Association Française des Accessoiristes de Plateau (AFAP) - 3IS - Conservatoire Libre du Cinéma Français (CLCF) - Association des Responsables de Distribution Artistique (ARDA) - Les Scriptes Associés (LSA) - Studio M - ACFA Multimédia - ISTDS (Montréal) - Association Française des directeurs de la photographie Cinématographique (AFC) - Lucien TV - Media Club Green - On est prêt Si votre organisme souhaite co-signer cette pétition contactez-nous au [email protected] ! https://zupimages.net/up/21/22/34qq.jpg921 of 1,000 SignaturesCreated by Printemps écologique - C.
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Stop Panhard à SensNous appelons les Sénonaises et Sénonais, toutes et tous les habitantes et habitants des communes du Grand Sénonais, les commerçants, les artisans, les paysans du territoire à exiger l'abandon de ce projet. Le projet d’installation à Sens d’une plateforme logistique pour un mystérieux géant du e-commerce par la société Panhard est mené dans l’ombre, comme toujours, pour éviter les oppositions citoyennes : il a fallu des questions au conseil municipal du 23 novembre 2020 pour que quelques rares informations soient données. Ce que l’on sait : On parle de l’implantation d’une immense « plateforme logistique pour un géant du e-commerce » par le groupe Panhard, sur 40ha de terres agricoles. Les impacts néfastes qu’aurait ce projet sont nombreux : Destruction du patrimoine naturel et rural sénonais, dans la lignée des ravages déjà commis avec l’extension de la lèpre des zones commerciales et d’activité, alors même que des zones existantes périclitent. Nouveau recul de l’activité agricole, un atout majeur d’attractivité gaspillé. Augmentation terrible du trafic routier : Près de 1000 mouvements quotidiens Poids lourds, et plus de 2500 mouvements de « Véhicules légers », c’est-à-dire de grosses camionnettes Destruction des commerces locaux, au bout du compte, des pertes nettes d’emplois Nouveaux coûts de voirie et de réseaux récurrents pour la collectivité, qui devront être assumés quel que soit le destin de ce projet Pourquoi si peu de transparence et d’information publique ? Quels avantages fiscaux pour ce « géant » ? Quels bénéfices attendus en termes d’impôts locaux au regard des investissements initiaux et des coûts récurrents d’entretien des infrastructures ? Comparons avec un commerce « type » de notre ville, en termes d’imposition au m² ! Le principal argument des promoteurs de ce projet néfaste : les emplois créés. DES EMPLOIS CRÉÉS, VRAIMENT ? Ce véritable bouclier magique derrière lequel se retranchent les soutiens du projet est une illusion ! > 2000 emplois promis, ce sera dans les faits 200 ou 300, il suffit de voir ce qui s’est fait ailleurs > 1 emploi créé dans le e-commerce c’est 2,5 emplois détruits dans les commerces de proximité > Avec la Robotisation, à terme, c’est 0 emploi que nous aurons. > Des emplois précaires dans des conditions de pénibilité avérées : cadence de travail infernale imposée par des robot, pauses réduites, burn-out fréquents… C’est un rythme proprement inhumain. > Une rotation du personnel très élevée, les employés sont renouvelés très régulièrement, avec une formation minimale des salariés. > Aucune garantie sur la durée de cette activité Comment cela se passe-t-il sur d’autres sites à deux pas de chez nous ? > A Savigny-sur-Clairis, à 25km de Sens, la base logistique de 57.000m² du promoteur FM Logistique pour le compte de Carrefour a fermé après seulement 2 ans. 300 emplois perdus. > A deux pas, Ibiden qui a touché des subventions de la région pour s’installer, part en Hongrie en 2018. 300 emplois perdus Et si on regarde sur la France entière, les exemples sont légion, et les opposants arrivent souvent à empêcher ces projets de se faire pour sauver leur patrimoine naturel et les commerces de proximité.930 of 1,000 SignaturesCreated by Sens Ecologie & Solidarité E.
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« Moins de voiture en ville, plus d’espace pour vivre ! » #vivre en villeLes différentes crises que nous vivons nous incitent à réinventer nos vies en ville, en changeant notamment la façon de nous déplacer et d’investir l’espace urbain, et en interrogeant nos besoins de déplacement. Pour envisager l’avenir plus sereinement, il nous faut donc trouver un meilleur équilibre de mobilité urbaine nous permettant de nous déplacer de façon saine, efficiente et inclusive tout en minimisant les coûts d’infrastructure et l’empreinte environnementale associée. Dès lors, il est essentiel de privilégier le mode de déplacement élémentaire : la marche, accessible à beaucoup d’entre nous, gratuit, sain et neutre sur le plan environnemental. Ensuite, il convient de favoriser d’avantage qu’il ne l’est actuellement, le vélo et ses déclinaisons (comme les vélos utilitaires, vélos cargos, vélos taxi, etc.), car ces modes de déplacement sont à la fois sains, efficaces et économes en ressource et en infrastructure. Les transports en commun, les transports à la demande, le covoiturage et l’autopartage, doivent également être promus, en particulier dans les situations où la mobilité active n’est pas possible (e.g. handicap, longue distance, condition climatique, sécurité, topographie, etc.). Enfin, à l’instar de nombreuses villes qui ont déjà engagé cette transition (e.g Copenhague, Amsterdam, Bolzano, Padoue, Cambridge, etc.), il semble indispensable que la part des transports individuels motorisés diminue significativement, en réservant son usage aux situations non couvertes par les solutions précitées. Ce changement profond des parts modales pourrait être accompagné par une urbanisation multicentrique : un espace urbain de proximité, créateur d'activité et de lien social ; une urbanisation visant à éviter les phénomènes de report de circulation vers des périphéries ; un territoire où la qualité de vie s'améliorerait par cette capacité à rendre une taille humaine à des villes vivantes, vibrantes, inclusives et solidaires ! Pour en savoir plus : https://vm.caoua.org/dg/petition-liens.html Contact: [email protected] Web: https://colibris-wiki.org/devoituronsGrenoble/?PagePrincipale https://twitter.com/devoiturons591 of 600 SignaturesCreated by Dévoiturons Grenoble C.
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