• Stop au gaspillage énergétique au Pays Basque : pour l’interdiction des publicités lumineuses
    En réduisant notre consommation d’énergie à l’échelle du territoire, nous nous donnerions par la même occasion les moyens de renforcer notre souveraineté énergétique et de réduire notre dépendance aux approvisionnements internationaux. C’est d’ailleurs l'objectif du Plan Climat Pays Basque qui prévoit de réduire de 49 % les consommations énergétiques du territoire et de couvrir 100 % des besoins énergétiques par une production d’énergies renouvelables. Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité intercommunal et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. 🛑 Nos demandes La communauté d’agglomération Pays Basque doit prendre les mesures suivantes dans le prochain règlement local de publicité intercommunal : 👉🏼 L'interdiction des écrans publicitaires animés 👉🏼 L’extinction des panneaux lumineux et pas uniquement de 23h à 7h du matin, comme c’est le cas actuellement sur le BAB. 👉🏼 L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 23h à 7h du matin 👉🏼 L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés D’autres collectivités comme la métropole de Lyon, celle de Nantes ou la ville de Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. Au Pays Basque aussi, il est grand temps d’agir ! Cette pétition est initiée par le Collectif Stop pub Pays Basque Adour composée de Bizi!, du CADE, de Résistance à l'agression publicitaire Pays Basque, de Paysages de France. Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer). ******************************************************************************************** Ipar Euskal Herriko herritar girenok, zentzuzko eta energia aurrezteko neurriak espresuki plantan ematea eskatzen dugu. 📵 Iragarki argitsuen debekatzea galdatzen dugu heldu den Herriarteko Publizitatearen Tokiko Araudian. Hori posible da. Klimaren alde eta gure argindarraren fakturentzat, Ipar Euskal Herriak eredugarria izan behar du! 🛑⏳ Zergatik orain behar dugu ekin? Gero eta gehiago agertzen diren panel hauek, batez ere BABn, gure bizi-ingurunearen kontrako eraso nabarmenak dira, xahutze energetikoa, argi-kutsadura, osasun-arriskua eta, azkenik, beste garai bateko gehiegizko kontsumoa elikatzen dute. Haien hedapena arduragabea da eta neurri politikoak beharrezkoak dira. ♨️ ⚡️ Gure energia-kontsumoan ahaleginak egitera deitzen gaituzten garai honetan eskasia saihesteko helburuarekin, ez dugu ulertzen espazio publikoetan hainbeste argindar xahutzeak irautea. Urte batez, 2 m2-ko publizitate-pantaila batek, bana beste, Frantses Estatuko etxe baten argiztapen eta etxetresna elektrikoetarako* beharren baliokidea kontsumitzen du. Panel hauek biztanleriaren erosotasunari ez diote deus ekartzen eta interes ekonomiko hutsak asetzen dituzte, askotan urritasunaren kontra doazen kontsumo praktikak bultzatuz. Eman behar den indarra, molde zuzenean banatu behar da eta ez bakarrik herritarrengan utzi. Gainera, ahaleginak ez du nagusiki hezkuntza edo osasuna bezalako funtsezko zerbitzu publikoetan eragin behar, baizik eta publizitatearen erabilera zalantzan ematen hasi! Gure energia-kontsumoa lurralde mailan murriztuz, gure buruari burujabetza energetikoa indartzeko eta nazioarteko hornikuntzarekiko menpekotasuna murrizteko baliabideak ere emango genizkioke. Horixe da, halaber, Lurraldeko Klima Planaren helburua. Azken honek lurraldeko energia-kontsumoa %49 murriztea eta energia-beharren %100 energia berriztagarrien ekoizpenaren bidez estaltzea aitzinikusten du. Gure lurraldeak ahalmena badu eredu izateko Herriarteko Publizitatearen Tokiko Araudiari esker haratago joateko eta erronkei buru egiteko. Gure eskaerak Euskal Elkargoak ondoko neurri hauek hartu beharko ditu heldu den Herriarteko Publizitatearen Tokiko Araudian: 👉🏼 Bideo publizitate-pantailak debekatu 👉🏼 Taula argitsuak itzali eta ez bakarrik 23:00etatik 07:00etara, gaur egun BABen egiten den bezala. 👉🏼 Saltegia hetsi bezain laster, aitzindegiak eta seinale argitsuak itzali, eta ez bakarrik 23:00etatik 07:00etara. 👉🏼 Iragarki taula argitsuen eta gibeletik argiztatu iragarki taula berrien instalazioa geldiarazi. Beste elkargo batzuek, hala nola, Lyoneko metropoliak, Nantesek edo Parisko hiriak neurri sendoagoak hartu dituzte jadanik beren energia-kontsumoa murrizteko eta urritasun hautatu eta arduratsuaren bidean sartzeko. Ipar Euskal Herrian ere, ekiteko garaia da! Petizio hau Bizi!, CADE, Résistance à l'agression publicitaire Pays Basque eta Paysages de France-ek osatzen duten Ipar Euskal Herriko eta Aturriko Publizitatea Geldi kolektiboak abiatu du. Iturria: *Ademeren arabera, 2m2-ko iragarki taula baten urteko kontsumoa urtean 2000 kWh-koa litzateke guti gora behera. Frantziako Energia Agentziaren arabera, etxe baten urteko kontsumoa 1500 eta 2200 kWh bitartekoa litzateke (berogailua eta ur beroa kenduta, etxebizitzaren azaleraren eta biztanle kopuruaren arabera).
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  • Angers : Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
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  • Saint Brieuc : Stop au gaspillage énergétique !
    ⚡Ce n'est pas qu'aux citoyen.ne.s et aux catégories les plus fragiles de se mobiliser ou bien de se restreindre. ⚡À l’aube de l’hiver et face à cet impératif de sobriété énergétique, la mise en application concrète des mesures rapides sont à prendre face à la pression publicitaire. Les panneaux de publicité dans l’espace public, servant uniquement des intérêts purement économique,participent à l'effondrement de la biodiversité. De plus ils encouragent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡Un cadre légal existe. Le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin. Il est non seulement mal appliqué, mais en plus largement insuffisant. Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*. Laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! ⚡Nous, habitantes et habitants de Saint Brieuc Agglomération demandons expressément la mise en place des mesures suivantes : - L’extinction permanente ou la suppression des panneaux lumineux et écrans publicitaires, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés. ⚡Pour le climat et pour nos factures d’électricité, SAINT BRIEUC ARMOR AGGLOMERATION se doit d’être exemplaire, en ajustant le règlement local de publicité intercommunal (RLPI) pour être à la hauteur de ces enjeux. De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Il est temps pour notre agglomération de s’inscrire dans cette logique et mettre en place ces solutions évidentes ! ⚡A l’heure où nous sommes appelés, collectivement et individuellement, à faire des efforts, il est inimaginable que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. La force publique sait être réactive. Elle nous l’a prouvé lors de la crise sanitaire. Peut-elle se montrer aussi exigeante face à l’ urgence sociale et climatique et éviter de se faire à nouveau condamner pour inaction climatique ? Campagne lancée par : Extinction Rébellion Saint Brieuc, Langueux en Transition, Attac22, Youth for climate, Urgence Climatique Armor, VIVARMOR (0698393611), Paysages de France 22 Sources : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer) **L'effondrement de la biodiversité a été documenté par les naturalistes qui ont réalisé l'atlas de la biodiversité de St-Brieuc
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  • Grand Chambery : Pour une réglementation des publicités respectueuse de l'environnement !
    Pour les prochaines années, souhaitons-nous voir au bord des routes et à tous les coins de rues de Grand Chambéry des publicités : - envahir notre espace visuel, hypnotiser sans notre consentement les adultes et à fortiori les enfants ? - nous inciter à consommer, en véhiculant souvent des stéréotypes racistes, sexistes, grossophobes ? - laisser la part belle aux multinationales et délaisser les petits commerçants ? 📆 Le projet de Règlement Local de Publicité intercommunal (RLPi) doit être finalisé en décembre, c’est donc le moment pour nous faire entendre ! Ne laissons pas passer l’occasion ! Ce document aura un impact décisif sur les paysages et cadre de vie des habitants : en collaboration avec les élu.e.s qui sont aux manettes, les citoyen.ne.s, associations, commerçants, ont le pouvoir d’agir sur la quantité, la localisation et la taille de panneaux. Notre collectif de citoyen.ne.s et d’associations (liste ci-dessous) souhaite un territoire libéré de la publicité. Nous avons 8 demandes : 1️⃣ Pas de dérogation au Règlement National de Publicité, alors que cela est prévu actuellement, en particulier autour des monuments historiques, 2️⃣ Interdiction des enseignes et publicités numériques et des publicités lumineuses, 3️⃣ Limitation de la taille maximale des publicités à 2m2 et de la distance entre deux panneaux à 160m 4️⃣ Simplification du zonage et des règles du RLPi, pour faciliter la compréhension et l’application du RLPi, ainsi que le contrôle de la conformité des publicités, 5️⃣ Instauration d’une zone blanche autour des établissements éducatifs et culturels, pour protéger les enfants et les jeunes des impacts de la publicité, 6️⃣ Interdiction des publicités commerciales sur les abris urbains destinés au public, 7️⃣ Harmonisation des règles pour les enseignes entre les centres-villes et les autres zones, 8️⃣ Pas de dérogation pour les enseignes et publicités temporaires. L’ensemble de ces mesures rejoint la proposition 2.2 de la Convention Citoyenne pour le Climat dans : « Interdire les panneaux publicitaires dans les espaces extérieurs, hors information locale et culturelle, ainsi que les panneaux indiquant la localisation d'un lieu de distribution » et permettrait de s’aligner sur la sobriété demandée aux citoyennes et citoyens. 🌳 Ces mesures permettront de réduire les incitations à la surconsommation et à l’épuisement des ressources naturelles. 🩺Elles doivent aussi protéger nos citoyens et leur santé, en limitant les distractions au volant et les troubles de la mémoire, du sommeil ou de l'attention liés à l’exposition aux écrans et à certains messages publicitaires, comme le préconise l’Agence Nationale de la Sécurité Sanitaire et le Haut Conseil de la Santé Publique1. 🏔 Elles protégeront notre cadre de vie en embellissant les centres-villes et les portes d’entrées de notre territoire, en cohérence avec le projet de Grand Chambéry de développer un tourisme intégré et respectueux de la vie locale et des patrimoines. 🦋 Ces mesures protègent par ailleurs notre environnement en réduisant la pollution lumineuse, comme le préconisent le ministère de l’Environnement et l’Office Français de la Biodiversité2. En effet, la pollution lumineuse provoque le dérèglement des rythme de vie des espèces animales, la perturbation des déplacements des espèces et la fragmentation des milieux naturels. 💡 Cela réduirait de plus la consommation d’électricité et le risque de tension sur le réseau électrique. L’extinction des publicités est prévue à titre exceptionnel par la loi3 et soutenue par l'entreprise gestionnaire du réseau public de transport d'électricité (RTE)4. M. Gamen, Mme Wolff, respectivement en tant que Président de Grand Chambéry et Vice-présidente chargée de l'urbanisme et du droit des sols, nous vous demandons de traduire dans le RLPi les messages que vous portez de vos administré.e.s. En effet, vous incitez les habitantes et les habitants de Grand Chambéry à apposer un autocollant « stop pub – oui aux publications des services publics » sur nos boites aux lettres. D’ailleurs, grâce à cet autocollant, nous avons reçu le dernier Cmag dans nos boites aux lettres, où nous pouvons y lire ces mots de Philippe Gamen : « Nous sommes un territoire naturellement surprenant, où il fait bon vivre et travailler », et surtout, « nous souhaitons le rester. » La cohérence des politiques publiques impose de poursuivre cette logique dans le RLPi en limitant drastiquement la publicité sur notre territoire. Ce serait une mesure claire de votre ambition et de votre engagement environnemental! Nous comptons sur vous ! Pétition soutenue par les associations et collectifs suivants : Greenpeace Chambéry, Conscience et Impact Ecologique Savoie, Amis de la Terre 73, Attac Savoie, Extinction Rebellion Chambéry, Alternatiba Savoie. Pour plus d'infos sur le RLPI : https://www.grandchambery.fr/3400-reglement-local-de-publicite-intercommunal-rlpi.htm 1 Source : https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=1000 2 Sources : https://www.ofb.gouv.fr/actualites/un-nouvel-indicateur-pour-mesurer-la-pollution-lumineuse et https://www.ecologie.gouv.fr/pollution-lumineuse 3 Article D143-2 du Code de l’environnement 4 Source : https://assets.rte-france.com/prod/public/2021-12/Bilan-previsionnel-2019-rapport.pdf
    1,002 of 2,000 Signatures
    Created by Greenpeace Chambéry
  • Non au bitumage du chemin vert de Eu
    Lors d’un entretien avec Eddie Facque, président de la CCVS, nous avons eu confirmation que l’aménagement du chemin vert du Petit Caux aurait bien lieu. Estimés à un peu moins de 2 millions d’euros, les travaux – semblent-ils subventionnés à 80% par l’Etat, la région Normandie et le Département de Seine-Maritime – comprennent l’élagage et la coupe des arbres et buissons, la restauration des ouvrages d’art, la réalisation d’une bande de bitume de 3 mètres de large – entraînant l'élargissement du chemin à 6 mètres minimum – sur 7 kilomètres et, en principe, la plantation d’arbres en lieu et place de ceux qui auront été abattus. Nous avons redit au président notre opposition à cette hérésie et mis en avant les presque 7000 signatures enregistrées à ce jour de citoyens s’opposant eux aussi à ce désastre. Nos arguments, tant environnementaux que financiers, n’ont reçu aucun écho. Nous vous invitons à nous retrouver le samedi 19 novembre à 14h30 à l’entrée du chemin vert, à Eu. Venez nombreux, en famille, à pied, en vélo, à cheval…pour marquer à nouveau votre opposition à ce projet contre nature !!
    116 of 200 Signatures
    Created by Sarah G.
  • APPEL A LA REVOLUTION ECOLOGIQUE DANS LE GRAND LIBOURNAIS
    MOBILISATION GENERALE Nous vivons la fin d'un monde et devons co-construire ensemble le nouveau. Climat, énergie, vivant, pollution, épuisement démocratique, sécession des élites, inégalités sociales, ressentiment généralisé, extrême droite, inflation, covid, guerre... La crise est devenue systémique, globale. Elle va s'amplifier dans la décennie et aggraver les pénuries. Les premiers signaux d'alarme ont résonné à partir des années 30, avec Ellul et Charbonneau. Plus fort dans les années 60, avec la compréhension du rôle du DDT dans la disparition des oiseaux et la parution du « Printemps silencieux » de Rachel Carson. Plus stridents encore au début des années 70 avec le rapport Meadows, vendu à 1 million d'exemplaires. Et les années 80, avec la création du GIEC, les Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, les COP, et les rapports scientifiques qui se succèdent, c'est carrément le hurlement des sirènes d'alarme et les voyants d'alertes rouges clignotants. Cela dans l’indifférence quasi générale. Cela fait 30 ans qu'il y a consensus scientifique sur les causes et les conséquences prévisibles du dérèglement climatique. 30 ans que nous savons ce qui va se passer. 30 ans que les lobbies économiques nous mentent pour gagner du temps et de l'argent. 30 ans que nous ne faisons rien à la hauteur des enjeux. Et en 30 ans la production des gaz à effet de serre, a progressé de 50% ! Mis à part une poignée de militants écologistes, ces alertes n'ont été entendues, ni par la grande majorité de nos concitoyens, ni par les élites économiques et politiques. Elles sont comme tétanisées, incapables de remettre en cause ce modèle économique qu'elles ont mis en place, qui les enrichit et... qui détruit l'habitabilité de la planète. Ils nous ont conduit dans une impasse. Quelle va être leur légitimité quand la population, notamment les jeunes, va comprendre ce qui les attend ? Les crises vont être de plus en plus rapprochées et violentes. Cela va être brutal. Rassembler le plus grand nombre de nos concitoyens pour adapter collectivement et rapidement notre modèle économique, social et démocratique, est notre meilleure chance de redonner un avenir au moins de 50 ans. Que faire ? Comment atterrir ? Vu le poids des lobbies et le déni de réalité de la quasi-totalité du monde économique et politique, il n'y aura pas de solutions descendantes à la hauteur des enjeux. Elles ne pourront remonter que de la société civile : nous ! Nous vous proposons d'agir là où nous le pouvons encore, le local. Pour cela il s'agit de mobiliser et renforcer l'engagement écologique et solidaire du plus grand nombre de citoyen.ne.s du Grand libournais : - en s'appuyant sur les initiatives existantes, en les renforçant, en participant à leur convergence - en créant des dynamiques d'éducation populaire, de démocratie participative - en inventant des espaces de rencontres, de convivialité, des projets culturels, artistiques, festifs qui travaillent sur l'imaginaire, font émerger de nouveaux récits, plus attractifs que les passions tristes - en construisant sur le territoire un rapport de force organisé non violent favorable à la vie En signant cette pétition, nous demandons à l'ensemble des élu.e.s du Grand Libournais d’agir résolument et de co-construire avec les citoyennes et les citoyens, la révolution écologique, solidaire et non-violente du territoire. Citoyen.ne.s du Grand libournais nous souhaitons participer activement à la mise en œuvre de cette politique et travailler avec les élu.e.s, tout en réduisant notre propre impact carbone et en participant activement à des projets citoyens locaux. Pour construire ce futur désirable sur notre territoire, nous serons nombreux à participer aux États Généraux pour le climat..., qui auront lieu le dimanche 20 novembre de 14h00 à 19h00 au Château des Rochers à Belvès de Castillon. Nous y co-construirons un diagnostic et lancerons des actions à l'échelle locale. A crise systémique, réponse systémique, les chantiers à réaliser sont multiples. Réduire de 55% notre production de GES d'ici 2030, adapter collectivement notre territoire et accompagner les plus fragiles, doivent être nos priorités. Rien n'a été anticipé. Nous devons devenir résilients. D'après le World Resources Institute, nous devons multiplier par 6 les transports publics, diviser par 10 notre utilisation de ciment, diviser par 5 notre consommation de viande, multiplier par 10 les financements publics pour la transition écologique... Ce qui doit nous amener par exemple d'ici 2030 à : - Produire une agriculture et une alimentation 100 % bio, beaucoup plus riche en légumes, céréales et protéines végétales, en prioriser la distribution aux femmes enceintes, aux enfants de moins de 3 ans, aux personnes à faibles ressources financières... - Arracher 10 000 hectares de vignes pour y installer 1000 paysans bio en agroécologie, agroforesterie, permaculture, polyculture élevage, traction animale... qui produiront des protéines végétales, des isolants bio sourcées, des ENR pour la ferme - Réduire de 50% la circulation automobile en multipliant les déplacements à pied, en vélo, le co-voiturage, les transports en commun, en triplant le nombre de TER en circulation - Isoler 10 000 « passoires énergétiques » du parc immobilier avec des agromatériaux (paille, chanvre...) produit sur le territoire - Multiplier les sources de production d'énergies renouvelables - Construire des réseaux de solidarité, d'entraide et de coopération au profit des personnes les plus fragile du territoire, des territoires voisins et des futurs réfugiés climatiques Elu.e.s comme non élu.e.s. nous portons toutes et tous une part de responsabilité dans la situation actuelle. Plus ou moins importante selon les fonctions. Les citoyennes et les citoyens du Grand Libournais ont besoin de se sentir soutenu.e.s et accompagné.e.s pour que vive l'espoir de garder notre planète habitable pour les générations actuelles et futures.
    181 of 200 Signatures
    Created by Collectif climat du Grand L.
  • Madame la Première Ministre, sauvez les 3 milliards pour le train !
    Madame la Première Ministre, Les études le montrent : le train est un mode de transport nettement moins polluant que l’avion ou la voiture. A trajet équivalent, le train émet en moyenne 66 fois moins de GES que l'avion et 20 fois moins que la voiture (1). Investir dans le ferroviaire c'est donc investir pour lutter contre la crise climatique. Lundi 31 octobre, le vote historique par l’Assemblée nationale allouant 3 milliards d’euros de plus pour le ferroviaire dans le budget 2023 (2) représentait une réelle bouffée d’oxygène et un espoir de donner enfin les coudées franches pour redévelopper ce mode de transport que nous n’aurions jamais dû délaisser. Pourtant, suite à ce vote, votre ministre délégué aux transports, Clément Beaune a raillé “Ce sont les milliards qui volent en escadrille”. Jusqu’à présent ce sont surtout les émissions de gaz à effet de serre des transports qui s’envolent ! Premier secteur d’émissions en France, les transports représentent à eux seuls un tiers du budget carbone de la France, et c’est le seul secteur où les émissions étaient plus élevées en 2019 qu’en 1990. Dans son dernier rapport annuel “Dépasser les constats, mettre en œuvre les solutions”, le Haut Conseil pour le Climat rappelle qu'il faudrait atteindre près de 4 Mt de réduction par an pour le secteur des transports, alors que l'on a réduit en moyenne de seulement 0,7 Mt par an (depuis 2002) (3). Cela revient à multiplier l'effort par près de 6 au cours des prochaines années. Donner les moyens au train de se développer est donc tout sauf un caprice, c’est une absolue nécessité, car comme le note le Haut Conseil pour le Climat “les financements ne sont pas assurés dans la durée et le développement des services de mobilité bas carbone est encore lent et hétérogène” D’autre part, les moyens de transport polluants comme la voiture ont bénéficié encore très récemment de sommes colossales allouées par le gouvernement : 8 milliards d’euros en aides sur les carburants qui ont atterri principalement dans la poche de ménages les plus aisés (4) durant la crise énergétique, alors que le train reste toujours la dernière roue du carrosse. Le GIEC nous alerte depuis des années, et les conclusions des derniers rapports parus cette année sont sans appel : les émissions doivent s’infléchir sans tarder pour limiter le réchauffement global à 1,5 °C. Dans ces conditions, chaque investissement compte. Et chaque investissement faisant défaut nous expose à un “scénario catastrophe”, tel que prédit par le récent rapport de l’ONU, qui établit que l’Europe se réchauffe deux fois plus vite que le reste du monde. En France, nous pourrions atteindre +3,8°C à l’horizon 2100 (5). Madame la Première Ministre, pour préparer l’avenir, pour protéger les populations du changement climatique et structurer les mobilités de demain, nous vous demandons de ne pas couper les ailes du train ! Allouez ces 3 milliards d’euros indispensables au développement du ferroviaire en France ! *** *** Premiers signataires : Zoé Mary (Alternatiba), Marie Cohuet (ANV-COP21), Jean-François Julliard (Greenpeace France), Pascal Dauboin (Collectif Oui au train de nuit), Jean-Baptiste Dusson (Résistance climatique), Charlène Fleury (Rester sur Terre), Victor Vauquois (Terre de luttes), Capucine Saulpic (NADA Lille), Florence Joly (Collectif Stop Extension Aéroport Marseille Provence), Gilliane Le Gallic (Alofa Tuvalu), Airy Chrétien et Thierry Bitouzé (Collectif citoyen 06, Nice), Bernard Schéou (enseignant-chercheur), Nicole Tagand (Collectif de l’étoile ferroviaire de Veynes), Catherine Rainaudo (Collectif ligne Nice-Breil sur Roya-Cuneo-Vintimille), Gilles Marcel (NOSTERPACA), Raymond Pelloux (Mobilités Alpines), Alain Filhol (AGV ligne Grenoble Veynes Gap), Stephane Coppey (Destination trains de nuit), Marc Gouttebroze (Collectif Nous Voyageurs ! Massif central), Joël Hillaireau (Sauvons les trains Nantes-La Rochelle-Bordeaux), Stuart Page (Collectif "Atterrissons d'urgence", Montpellier), Hervé Gasdon (Société Alpine de Protection de la Nature - France Nature Environnement Hautes-Alpes), AMIGA (Association des amis du viaduc de Garabit et de la ligne Béziers Neussargues Clermont-Ferrand), Erick Marchandise (Collectif "Mon vélo dans le train") Sources : (1) Base Carbone ADEME (2) Amendementn°II-345 du PLF 2023 : https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/amendements/0273C/AN/345 (3) Observatoire Climat Energie : https://www.observatoire-climat-energie.fr/climat/transport/ (4) https://www.google.com/url?q=https://www.lesechos.fr/economie-france/conjoncture/carburants-les-plus-aises-premiers-beneficiaires-de-la-ristourne-a-la-pompe-1778083 (5) https://esd.copernicus.org/articles/13/1397/2022/esd-13-1397-2022.pdf
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    Created by Aymeric F. Picture
  • STOP au projet du parc photovoltaïque dans les bois de Janiol de Grignan
    👉La direction départementale des territoires (DDT) déconseille fortement l’utilisation des sites agricoles ou naturels pour l’implantation des centrales photovoltaïques : "Il est nécessaire de noter en premier lieu que l'implantation de projet en espace boisé est contraire aux recommandations départementales et la DDT ne pourra évaluer de façon positive ce type de projet" (Point 3.1.3 en page 12 des Recommandations départementales des projets photovoltaïques https://www.drome.gouv.fr/IMG/pdf/20211021_recommandationsdepartementalespv_v5.pdf) La Commission Départementale de Préservation des Espaces Naturels Agricoles et Forestiers (CDPENAF) https://www.registre-dematerialise.fr/4231/download/component/4617/2-12-2-avis-modificatif-corrections-erreurs-ppv-grignan-signe-30-08-2022.pdf a d'ailleurs émis un avis défavorable au dossier considérant que : - Les travaux entraineraient la destruction de 9,2 ha de forêt (chênes verts et pubescents) au sein d'un vaste secteur naturel et forestier. - L'implantation d'un tel parc sur ce site serait de nature à contribuer à la fragmentation de la forêt, et accélèrerait la baisse de la biodiversité. - Sur le principe de l'évitement, le dossier n'apporte pas la démonstration suffisante de l'impossibilité d'installer ce parc sur une zone de moindre enjeu écologique y compris à l'échelle intercommunale. - L'artificialisation de 9,2 ha d'espaces naturels irait à l'encontre des objectifs des objectifs de sobriété foncière et de trajectoire "zéro artificialisation nette" du Plan Biodiversité (juillet 2018) et de la stratégie régionale "Eau-Air-Sol" (mai 2020). - Les recommandations à l'échelle nationale et départementale sont de prioriser le développement des parcs photovoltaïques sur le bâti et sur les sites déjà artificialisés. - Les divers impacts potentiels qu'auraient lesdits travaux sur les zones naturelles, le réseau écologique, la flore et les habitats naturels de la faune. - Le projet serait de nature à modifier les corridors de déplacements et entrainerait des destructions d'habitats de vie notamment pour des cortèges d'oiseaux forestiers, pour des mammifères tels que la genette commune et le hérisson d'Europe et surtout pour les chiroptères dont la barbastelle d'Europe et le petit rhinolophe. - Le dossier évoque au titre du défrichement un besoin de compensation de 30 à 32 hectares sans en préciser ni les modalités ni la localisation ce qui ne permet pas d'en apprécier l'impact sur les surfaces agricoles et naturelles. - Le projet est de nature à compromettre la préservation des terres naturelles, agricoles ou forestières au sens de l'article L122-1-1 du code rural et de la pêche maritime. 👉Pour limiter l'artificialisation des sols et maitriser la consommation d'espace naturel, les terrains favorables pour ce type d’installation sont les terres arides ou polluées, les friches industrielles, les terrains militaires en reconversion, les carreaux de mines, les abords d’aéroports ou d’autoroute, les anciennes décharges… mais en aucun les espaces boisés naturels. 👉Nous ne pouvons plus accepter AUCUNE dérogation à la destruction d’espèces protégées à l’ère de la 6ème extinction de masse du vivant. Le défrichement de plus de 8 hectares aurait un impact fort sur la biodiversité, notamment sur les espèces locales*, avec la destruction illégale d'espèces protégées. *des oiseaux comme l'Alouette lulu ou la Huppe fasciée ; des chiroptères comme la Barbastelle d'Europe ou le Petit Rhinolophe ; des mammifères comme la Genette commune ou le Hérisson d'Europe ; des reptiles comme la Vipère aspic ; des insectes... 👉Par défrichement, il faut comprendre "déforestation" avec retrait des souches. La déforestation a pour effet de rompre l'équilibre systémique de la forêt en exposant à la sécheresse des milieux naguère sous couvert. Les bois et forêt forment un microclimat favorable à la rétention d'eau par les sols (eau verte). En ces périodes de sécheresses successives et d'épisodes caniculaires au cours desquels notre territoire a connu, cet été et aujourd'hui encore, des restrictions d'eau voire des coupures sur certaines communes (Clansayes, Montségur-sur-Lauzon...), il est urgent de prendre conscience de l'importance de préserver les espaces naturels et les zones boisées. Les forêts et zones boisées participent au cycle de l'eau et jouent un véritable rôle pour la préservation de cette ressource. Elles participent à ce cycle en contribuant à l'évaporation de l'eau qu'elles reçoivent par les précipitations, et ce, au cœur même des territoires. Au cours de ces cycles, l'eau est stockée dans les sols et alimente les nappes phréatiques. Il est donc de notre devoir de préserver ce précieux commun naturel qu'est l'eau. Nous rappelons également à Madame la Préfète, qu'en matière de coupe rase, elle s'est engagée à se rapprocher de divers interlocuteurs dont l'OFB (Office Français de la Biodiversité) au vu de la récente réforme réglementaire (décret n°2022-527 du 12 avril 2022 ; https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000045551000) qui inscrit dans la loi le principe d'une stratégie nationale des aires protégées qui vise à couvrir 30% du territoire national par un réseau d'aires protégées et 10% de même territoire sous protection forte.
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    Created by Collectif pour la sauvegarde des forêts drômoises ". Picture
  • Demande d'annulation du rallye de l’Epine - Avant Pays Savoyard
    Le rallye de l'Épine Avant Pays Savoyard 2022 est programmé pour les 22 et 23 octobre 2022 dans un contexte de crise énergétique, urgence climatique et pénuries de carburant. - crise énergétique due notamment au contexte géopolitique et économique; - crise climatique dont l'aggravation rapide a été mise en exergue par la sécheresse et les canicules de cet été; - pénuries de carburant liée aux mouvement sociaux dans les raffineries et qui se traduisent par des difficultés pour nos concitoyens à exercer leurs activités essentielles. Dans ce contexte, et à l'instar du rallye historique du Pays de Seyssel, dont l'épreuve prévue le 14 et le 15 octobre a été annulée par l'organisateur (https://www.rallye-sport.fr/un-rallye-historique-egalement-annule-ce-week-end/ ), nous demandons aux organisateurs (TEAM73 et ASA73) d'annuler l'épreuve du 22 et 23 octobre 2022. PS : vous pouvez également directement saisir les organisateurs en leur envoyant un email : https://www.team73rallye.com/contact2.html
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    Created by Michel M.
  • Laisse béton honfleur lutte contre l’artificialisation des terres cultivées à Honfleur
    Notre ville d’honfleur connaît une croissance des constructions exponentielles depuis 30 ans ,en perdant 2,1 % de sa population chaque année . En 2026 , elle pourrait compter un logement par habitant. Non contente de remplir les dents creuses et de convertir les friches industrielles, la municipalité s’attaque aux terrains agricoles au détriment des habitants de la ville haute venus s’y réfugier pour échapper au tourisme de masse à présent hors de contrôle . La loi climat et résilience est ignorée . Le plan d’urbanisme pour la communauté de communes est de nouveau en discussion. Rejoignez nous pour sanctuariser les zones agricoles et naturelles et transformer les zones à urbaniser en zone agricole.Sans intervention des citoyens la zone bucolique du plateau deviendra un quartier où les champs auront été remplacés par les immeubles la voiture et le béton . Il ne suffit pas de dire que le quartier est écologique pour pouvoir bétonner. https://m.facebook.com/profile.php?id=100085706020901
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    Created by Laisse Béton
  • Sauvons les dernières terres fertiles de Nantes !
    ◼ Pourquoi luttons-nous ? ✊ Stop à l’artificialisation des sols à Nantes Sauvons les dernières terres fertiles pour une agriculture bio et locale à Nantes Canicules, sécheresses, incendies, inondations, … Après l’été désastreux que nous venons de passer, plus rien ne justifie l’artificialisation de terres et de zones naturelles. 🔥 Les scientifiques ont démontré depuis longtemps déjà que l’artificialisation est l’une des causes majeures de la pollution et des dérèglements climatiques. Localement, un GIEC Pays de la Loire s’est formé et a publié un rapport alarmant, pointant du doigt la très rapide artificialisation des sols de la région, en particulier en Loire-Atlantique. Ce département est effectivement l’un des plus bétonnés de France, où 15 % des sols sont déjà artificialisés, soit 6 points de plus que la moyenne (trop élevée) en France. La situation est claire : préservons les terres, arrêtons la bétonisation. 🏢 Pourtant, Nantes Métropole s’obstine avec le projet de ZAC Doulon-Gohards qui prévoit l’artificialisation de 50 hectares de terres maraîchères et naturelles à Nantes, soit 7 fois le jardin des plantes de Nantes. Personne n'est dupe de la tentative de greenwashing de la métropole, en mettant en avant l’installation de petites fermes qui ne cultiveront que 9 ha de terres. Si elles sont les bienvenues, les fermes urbaines sont l'arbre qui cache le désert de la bétonisation. Pendant ce temps, Nantes métropole autorise l'extension du centre commercial Paridis, vaste zone déjà artificialisée. Nous n’avons pas besoin de plus de zones commerciales, de bureaux et de “loisirs”. Arrêtons cette fuite en avant. Les 72 000 m2 d’extension prévue pourraient permettre la construction d’environ 2 000 logements. Nantes métropole doit entendre les avertissements climatiques de cet été et mettre un point d’arrêt à ces projets écocidaires. Plantons des légumes à Doulon, construisons des logements à Paridis. Plus généralement, avec le projet de la ZAC Doulon Gohards et l’artificialisation galopante dans l’agglomération posent la question de la croissance très rapide de Nantes et des politiques de métropolisation. Cela n’a plus aucun sens ni écologiquement, ni socialement, de vouloir faire grossir nos grandes villes à tout prix. Il faut arrêter ce schéma qui produit toujours plus d’inégalités sociales et territoriales, et de pollution. Ce qui se joue ici à Doulon, c’est plus que la destruction insupportable de zones naturelles. Ce qui se joue à Doulon, c’est la contestation de tout un modèle et la promotion d’une autre ville, pour une autre vie. ◼ Qui sommes-nous ? Le collectif Sauvons les Gohards, ce sont des habitantes, habitants et militant•es écologistes qui refusent de voir les dernières terres de Nantes disparaître sous le béton ! En 2022, avec tout ce que l’on sait des conséquences de l'artificialisation, il est inimaginable de continuer à tout détruire. ✋ Merci déjà à Alternatiba Nantes, GIGNV, Extinction Rebellion Nantes, Youth For Climate Nantes, Terres de luttes, Maison du peuple de Nantes, Collectif Nantes-nord pour une écologie citoyenne, Nantes en commun, Union Communiste Libertaire Nantes - UCL Permabocage, le jardin des ronces et le Mouvement national de lutte pour l'environnement PDL, de leur soutien ! On invite toutes les personnes et organisations qui le souhaitent à rejoindre cette mobilisation pour le vivant, et à soutenir la mobilisation à leur manière ! ◼ Pourquoi il y a urgence maintenant ? Les travaux sur la première zone ouest des Gohards, peuvent commencer dès l’automne, c’est donc maintenant que nous devons nous mobiliser. C’est la combinaison des modes d’action juridiques et de résistance sur le terrain qui peut nous faire emporter une nouvelle bataille pour le vivant. ◼ Quelles actions ont déjà été menées ? ✊ Sur le plan juridique nous avons déposé deux recours : un premier contre l’Autorisation environnementale accordée par la Préfecture, et un second contre le permis de construire de la première zone du projet. ✊ Sur le plan de la mobilisation nous avons organisé le 1er octobre notre première journée d’action de résistance : nous avons planté le verger-potager des Gohards sur le premier champ menacé. Près de 400 personnes ont participé et soutenu cette action, et ce, malgré la pluie incessante ! ◼ Plus d’information sur les enjeux : La ZAC Doulon-Gohards, c'est : 🔹 L'artificialisation de 50 hectares de terres maraîchères et naturelles à Doulon 🔹 Un énième projet d'étalement urbain : 2 700 logements, parking-immeuble, ... 🔹 Destruction de la faune et de la flore et des espaces de promenades sauvages 🔹 Des travaux jusqu'en 2035 ◼ Dès l'automne, destruction des Gohards Ouest : 🔹 Artificialisation de 2,5 ha de terres maraîchères et naturelles (au bord du ruisseau des Gohards 🔹 La destruction d’un bois de bouleaux à l'ouest 🔹 1 parking-immeuble de 20 m de haut 204 logements dont des immeubles de 5 étages à 10m du ruisseau des Gohards d'ici 2025 🔹 1 seule voie d'accès rue Henri Loiret pour 400 voitures supplémentaires ! 🔹 Des maisons de 10 m de haut juste derrière l'avenue de l'horticulture 🔹 La remise à l'air libre du ruisseau des Gohards au niveau du stade : risque d'inondations annuelles des maisons aux alentours Merci pour votre soutien ! 🎺 “Nantes Métropole détruit nos sols, protégeons nos terres agricoles !” ➡ Nos réseaux sociaux : Le Facebook du collectif : https://www.facebook.com/profile.php?id=100085447885693 Sur instagram : https://www.instagram.com/sauvonslesgohards/ Twitter : https://twitter.com/GohardsEnDanger
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    Created by Ecureuil G.
  • Monsieur le Président, éteignez les écrans !
    "Nous vivons la fin de ce qui pouvait apparaître comme une abondance”, déclarait le président Emmanuel Macron dans un discours le 19 août dernier. Les écrans publicitaires en sont le symbole : ils contribuent au gaspillage d’énergie et de ressources, sont néfastes pour la santé et la biodiversité, prolifèrent¹ dans les centres commerciaux, les gares, les transports en commun, les espaces publics et les vitrines des magasins, soumettent les citoyens à toujours plus de pression publicitaire. Ils incitent à la surconsommation, contribuent à la pollution lumineuse et servent essentiellement aux grandes entreprises, au détriment du commerce de proximité. Dans un rapport² publié en 2020, l’ADEME estimait la consommation d’un écran de 2m² à 2 000 kWh/an, soit quasiment l’équivalent de la consommation annuelle d'un ménage (hors chauffage et eau chaude). Les écrans publicitaires apparaissent ainsi comme une véritable incohérence dans une société toujours plus marquée par l'urgence écologique et sociale, dans un contexte de crise énergétique et d’incitation à la sobriété. Depuis plusieurs années, des voix se sont élevées pour réclamer leur interdiction : - En février 2020, une tribune³ signée dans le JDD par 160 personnalités, parlementaires et scientifiques, demandait au gouvernement d’interrompre leur prolifération. - En juin 2020, la convention citoyenne pour le climat faisait figurer leur interdiction parmi ses 149 propositions - qui n’a pas été retenue dans la loi climat et résilience. - En juin 2022, le rapport “Futurs énergétiques 2050” ⁴ de RTE - gestionnaire du réseau d’électricité - appelait à “la disparition progressive des écrans publicitaires” pour économiser l’énergie et limiter les incitations à la consommation. L’extinction nocturne des enseignes et publicités lumineuses, décidée par le gouvernement⁵, est une réponse nécessaire mais dérisoire, qui ne permet pas de libérer définitivement nos espaces publics, gares et transports en communs des écrans publicitaires. Nous attendons d’un plan de sobriété énergétique qu’il prenne des mesures structurelles, qu’il cible les usages définis collectivement comme accessoires ou néfastes. Nous attendons d’un plan de sobriété qu’il soit guidé par un impératif de justice sociale et de transition écologique. Il est temps d’agir vraiment, Monsieur le Président : éteignez les écrans. --- Premiers signataires : Charlotte Ribaute - Co-présidente de Résistance à l'Agression Publicitaire Jean-François Julliard - Directeur général de Greenpeace France Anthony Geoffroy - Co-président du Collectif Plein la Vue Khaled Gaiji - Président des Amis de la Terre Morgane Créach - Directrice générale du Réseau Action Climat Emma Tosini - Porte-parole ANV-COP21 Alex Montvernay - Porte-parole Alternatiba Cécile Duflot - Directrice générale d’OXFAM France Juliette Franquet - Directrice de Zero Waste France Nicolas Guilbaud - Président d’I-buycott Raphaël Pradeau - Porte parole d'ATTAC Élise Ayrault - Porte parole de Bizi! Claire Morcant - Membre de la Convention Citoyenne pour le Climat Thomas Wagner - Fondateur du média Bon Pote Camille Etienne - de Avant l'orage, activiste pour la justice sociale et climatique Maxime Combes - Économiste Corinne Morel Darleux - Autrice Dominique Bourg - Philosophe Julien Bayou - Député écologiste Cyrielle Chatelain - Députée écologiste Mathilde Panot - Députée La France Insoumise François Ruffin - Député La France Insoumise Dominique Potier - Député socialiste Thomas Dossus - Sénateur écologiste Manon Aubry - Eurodéputée La France Insoumise David Cormand - Eurodéputé écologiste Eric Piolle - Maire de Grenoble --- ¹ Dans son rapport “Futurs énergétiques 2050” publié en février 2022, Réseau de Transport d’Électricité (RTE) indiquait que 9000 écrans environ étaient installés en 2019 avec une augmentation de 20% par an. ² https://www.actu-environnement.com/media/pdf/news-36209-Etude-ademe-impact-ecrans-publicite.pdf ³ https://www.lejdd.fr/Societe/tribune-lappel-de-160-personnalites-a-dire-stop-aux-ecrans-video-publicitaires-3952433 ⁴ https://www.rte-france.com/actualites/futurs-energetiques-neutralite-carbone-2050-principaux-enseignements ⁵ Le décret à paraître doit “[généraliser] l'interdiction des publicités lumineuses quelle que soit la taille de la ville, entre 1 heure et 6 heures du matin, sauf rares exceptions comme les gares et les aéroports qui ne ferment pas la nuit”. Or, le décret paru suite à la loi Grenelle prévoit déjà ces horaires d’extinction dans la plupart des villes, et n’est pas aujourd'hui pleinement appliqué. En outre, l'extinction nocturne ne répond pas au problème des pics de consommation le midi et en soirée.
    69,927 of 75,000 Signatures
    Created by Résistance à l'Agression Publicitaire, Plein la Vue, Greenpeace, Alternatiba, ANV-COP21 et Extinction Rebellion France