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Pour la suppression des liaisons aériennes Clermont-Ferrand – Paris !Les enjeux climatiques auxquels nous faisons face nécessitent un changement radical de société et donc une modification profonde de notre rapport aux modes de transports. Aujourd’hui, le secteur aérien est responsable de plus de 7 % de l’empreinte carbone de la France¹. Il est urgent et primordial de réduire les émissions de GES de ce secteur qui participent au dérèglement climatique ! L’activité de l’aéroport de Clermont-Ferrand/Aulnat est responsable d’environ 10 % des émissions de CO2 de la métropole² alors que le trafic est concentré à 80 % vers les aéroports de Paris (aéroports d'Orly et Roissy). Alors qu’en juillet dernier, Air France annonçait l’abandon de la ligne aérienne Clermont-Orly, nos politiques se sont mobilisés pour demander le maintien de cette ligne climaticide, maintien qui a eu lieu avec la reprise de la ligne par la compagnie aérienne Amelia (Regourd Aviation). L’aberration du maintien de cette ligne ne cesse d’être démontrée puisque dès la reprise des vols en septembre, cette compagnie a dû faire face à des avions qui décollaient presque vides ! Il est donc irrationnel de maintenir coûte que coûte de telles liaisons aériennes qui sont incompatibles avec le respect de l’Accord de Paris et les propositions faites par la Convention Citoyenne pour le Climat. Une alternative bas carbone existe déjà grâce à la liaison ferroviaire reliant Clermont-Ferrand et Paris en moins de 3h30. En plus du milliard d’euros annoncé en 2019, un nouvel accord de 280 millions d’euros dont 130 millions alloués à la ligne Clermont-Ferrand-Paris a été signé en octobre 2020 entre la région et l’État afin de développer le réseau ferroviaire auvergnat. Il est dès maintenant essentiel d’aller plus loin et de remettre en question le maintien des vols sur une ligne aérienne polluant et gaspillant l’argent public inutilement. Nous n’accepterons pas que des choix politiques soient guidés par la volonté d’une croissance sans limite du secteur aérien qui profite à une minorité de personnes. Parce que chacun.e d’entre nous a le droit de vivre dans un monde qui soit à la fois durable, soutenable, vivable et juste, nous demandons : - L'arrêt total des vols intérieurs entre l'aéroport de Clermont-Ferrand/Aulnat et les aéroports parisiens, quelle que soit la compagnie aérienne, une alternative moins polluante en train étant possible en moins de 3h30. Pour les passagers des vols entre l'aéroport de Clermont-Ferrand/Aulnat et l'aéroport de Paris Roissy-Charles-de-Gaulle en correspondance vers des vols internationaux, cet arrêt devra être organisé en prenant en compte l'état de l'offre ferroviaire alternative existante et les besoins éventuels de renforcement de cette offre et de développement de services complémentaires comme la tarification combinée train/avion pour permettre le report modal des vols de pré-acheminement vers le train. - L’arrêt organisé des subventions publiques allouées à l’aéroport de Clermont-Ferrand/Aulnat et leur redirection vers le système ferroviaire, - Et la mise en œuvre d’un plan de reconversion de l’industrie et des emplois du secteur de l’aviation en concertation entre salarié.e.s, citoyen.ne.s et élu.e.s afin de penser la réorganisation du système de mobilité. Dès maintenant, signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon des vols sur la liaison aérienne Clermont-Paris et ainsi mettre fin à cette aberration climatique ! Pétition co-signée par Alternatiba 63, ANV COP 21 63 et Greenpeace Clermont-Ferrand. Signer cette pétition, c’est demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Sources : ¹"Climat : Pouvons-nous (encore) prendre l'avion ?" - B&L Evolution - Juillet 2020 ² Calcul effectué d’après les émissions des vols Paris-Clermont et les émissions totales de la métropole - https://www.clermontmetropole.eu/fileadmin/user_upload/Actus/Actualites/2020/nov/BC-Clermont_2015_-_Rapport_Ville___Agglo_-_22-02-2018.pdf2 361 sur 3 000 SignaturesCréée par Greenpeace C.
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La charcuterie ou l'Amazonie ?Faites une bonne action en réduisant votre consommation de viandes 2 fois par semaine, signez cette pétition !230 sur 300 SignaturesCréée par A A.
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Savigny-sur-Orge : Nous voulons + de repas végétariensAujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers issus de l’élevage industriel a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons une planète vivable, un avenir. Administration du lycée Corot, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio dans la mesure du possible. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace (https://bit.ly/35MBnR4), l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Cela signifie qu’il y a des solutions applicables à notre échelle ! Notre établissement peut jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4141 sur 200 SignaturesCréée par Lisa & Alice A.
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Aix-en-Provence : Nous voulons + de repas végétariens !Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers, notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Proviseur du Lycée Georges Duby- Virginie LEYDET, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Aix-en-Provence? OUI, Aix-en-Provence doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4157 sur 200 SignaturesCréée par Noémie A.
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Argelès-sur-Mer : Nous voulons + de repas végétariensAujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Directeur du lycée Christian Bourquin , il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Argelès-sur-Mer? OUI, Argelès-sur-Mer doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR460 sur 100 SignaturesCréée par Sandro L.
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NON au projet d’extension de l’aéroport Montpellier Méditerranée : un si grand désastre !Alors que le secteur aérien représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale et que le trafic aérien double tous les 15 ans, il est urgent de réduire les émissions de gaz à effet de serre du secteur. Pour avoir une chance de tenir les objectifs de l'Accord de Paris, il nous faut réduire le trafic aérien de moitié d’ici 20 ans. Quant à l’avion « vert », il reste une illusion, un leurre promu par le lobby aérien, qui n’est pas du tout à la hauteur des enjeux climatiques, d’autant moins vu les délais dans lesquels il faut agir. C'est dès aujourd'hui que nous devons commencer à diminuer nos émissions ! À l’heure où la Convention citoyenne pour le climat demande l’arrêt des extensions d’aéroports et que d’autres extensions aéroportuaires ont été stoppées en Europe, il est temps que la France et que nos décideurs politiques nationaux et locaux prennent position contre ces projets climaticides, dont une quinzaine existent actuellement sur notre territoire. A l'heure où le trafic aérien sera durablement affecté par la crise sanitaire et économique, il est nécessaire d'entamer une réflexion stratégique sur l'avenir de celui-ci face au défi climatique, ainsi qu'élaborer un plan de reconversion de l'industrie et des emplois de l'aéronautique, sur la base d'un dialogue entre élu·es, citoyen·nes, acteurs économiques et salarié·es du secteur. Alors que prendre l’avion est au moins 40 fois plus polluant qu’utiliser le train sur des distances nationales, il est nécessaire de réorienter les subventions publiques dédiées à l'aviation vers des secteurs durables, notamment en améliorant et développant l'offre de train, de jour et de nuit, comme le font d'autres pays européens tels que l'Allemagne, la Suisse, l'Autriche ou la Norvège. Nous refusons la fuite en avant d'une croissance sans limites du trafic aérien et demandons : - L'abandon du projet d’extension de l'aéroport de Montpellier qui a pour but de passer de 2 millions à 3,5 millions de passagers par an ! - La suppression de la navette Paris / Montpellier, "un tramway pour Paris" selon le président du directoire de l’aéroport, de par la fréquence des vols proposés chaque jour, alors qu'il existe une alternative en train en moins de 3h30. - La fin des subventions et autres avantages mis en place au niveau local et national en faveur de l'aéroport de Montpellier et des compagnies aériennes, telle que la subvention votée par la métropole de Montpellier le 12 octobre 2020 pour un projet de promotion touristique qui favorise le développement et l'extension de l'aéroport Montpellier Méditerranée [2]. Il est encore temps d’agir et de dire STOP à ce projet. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon du projet d’extension de l’aéroport de Montpellier et la fin de la navette aérienne Paris-Montpellier. Ensemble, faisons en sorte que cette dérive climatique et sanitaire ne voie pas le jour. Atterrissons d’urgence pour une justice sociale, économique et climatique ! Soutiens : Alternatiba Montpellier, Anv COP21 Montpellier, Collectif Erma Selva, La Carmagnole, Extinction Rebellion Montpellier, Greenpeace Montpellier. [1] Actionnaires de l’aéroport : État 60% ; CCI 25% ; Région 12,5% ; Département 1% ; Agglo Pays de l’Or 1% ; Montpellier Méditerranée Métropole 0,5%. [2] Quand le lobby aérien plane sur le conseil de la métropole ( https://www.greenpeace.fr/montpellier/aerien/ ) Source : "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf )5 070 sur 6 000 SignaturesCréée par Alternatiba Montpellier et Greenpeace Montpellier
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Création d'un cimetière écologiqueOn ne peut plus se permettre de polluer, le climat s'emballe, la canicule dans les villes est de plus en plus insupportable, la planète est menacée et on se doit d'agir à tous les niveaux si on veut éviter le pire... En Angleterre, il existe près de 270 cimetières écologiques depuis les années 1990. Il s’agit de forêts qui viennent peu à peu remplacer les cimetières. Ces aires naturelles sont accessibles au public. Le Natural Death Centre est le spécialiste des funérailles écologiques outre-Manche : il organise depuis 2008 un salon des Obsèques vertes.255 sur 300 SignaturesCréée par Jean P.
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Stop aux subventions et au développement de l'aéroport de ToursAlors que le secteur aérien représente plus de 7% de l’empreinte carbone nationale, que le trafic aérien double tous les 15 ans, que prendre l’avion pour effectuer un trajet au niveau national est au moins 40 fois plus polluant qu’utiliser le train, et que l'avion “vert” à hydrogène reste à ce jour une illusion, il est urgent de réduire le trafic aérien et d’opérer la transition du secteur pour avoir une chance de contenir le réchauffement climatique sous la barre des +1,5°C. Pourquoi est-ce important ? Notre collectif se mobilise en faveur de l’effort de réduction du trafic aérien. Aujourd'hui, 3 millions d'euros d'argent public sont dédiés à l'aéroport de Tours chaque année sur les budgets de la Région Centre-Val de Loire, du Département d'Indre-et-Loire et de la Métropole de Tours. Nous demandons : 1. La fin des subventions et autres avantages mis en place au niveau local ou national en faveur de l’aéroport Tours 2. L'abandon du projet d’extension de développement de l’aéroport de Tours (vols commerciaux et d'affaires) 3. La fin des vols Tours-Marseille et Tours-Londres pour lesquels des alternatives existent en train en moins de 5 heures et 30 minutes => source : https://www.oui.sncf/ 4. L'investissement prioritaire dans les alternatives comme le train, pour assurer le maintien des lignes ferroviaires locales et le développement de l’offre de trains de jour et de nuit et la rendre accessible à tou.te.s 5. L'accompagnement à la reconversion des salariés du secteur qui seront impactés (aéroport de Tours et autres entreprises du secteur aéronautique) Soutenir cette campagne locale, c'est demander plus de transparence sur l'utilisation des financements publics, c’est aussi demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tou.te.s, pour une société soutenable et juste. Nous ne manquerons pas de vous proposer des moyens d’action concrets dans les semaines à venir ! ANV COP21-Orléans ANV COP21-Tours Extinction Rebellion-Orléans Extinction Rebellion-Tours Grands Parents pour le Climat Touraine Greenpeace Tours Les Désobéissants-Tours Résistance Climatique2 760 sur 3 000 SignaturesCréée par Gardons les pieds sur Terre
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Non à l’autoroute urbaine de l’avenue d’Aix-les-Bains à SeynodSi on veut sortir de la logique du tout-voiture à Annecy, l’abandon de ce projet sous sa forme actuelle est essentiel. Avec le Pôle métropolitain Annecy-Chambéry, on peut s’attendre à une augmentation importante des échanges entre les deux villes et donc du trafic routier sur cette entrée d’Annecy, comme on peut s’attendre à ce que les véhicules de livraison des prestataires d’Amazon soient tentés de passer par là pour réduire les temps de parcours, sans oublier un trafic induit important que provoquera inéluctablement le doublement des voies. A noter que le tunnel sous le Semnoz serait venu également gonfler le trafic routier. L’abandon récent du projet est une raison de plus de demander la révision du projet de réaménagement de l’avenue d’Aix-les-Bains. Mais ne nous réjouissons pas trop vite, l’été 2020 a été marqué par des bouchons record autour du lac d’Annecy, dixit la présidente de l’agglomération du Grand Annecy, Frédérique Lardet, et ce serpent de mer peut ressortir un jour si le trafic routier continue d’exploser ainsi dans le bassin annécien. On doit aussi se mobiliser pour la préservation du cadre de vie et de la santé des habitants de Seynod où se concentrent déjà de trop nombreux axes routiers. On ne peut pas se satisfaire de se soucier à Annecy uniquement des bords du lac. L’enquête publique menée pour le projet LOLA (Liaison Ouest du Lac d’Annecy avec le tunnel sous le Semnoz) est à ce titre révélatrice de ce manque d’équité entre les différents quartiers d’Annecy et du Grand Annecy. L’étude d’impact s’est limitée aux deux rives du lac et a totalement ignoré l’autre côté du tunnel avec pourtant un trafic attendu de 25 000 véhicules supplémentaires par jour. Dans ce souci d’équité, le projet de réaménagement de l’avenue d’Aix-les-Bains doit faire l’objet lui aussi d’une enquête publique. Soutiens : Groupe local Greenpeace d'Annecy Le collectif Moins d'Autos Plus de Vélos à Annecy est récent et ne demande qu'à grandir. Il est ouvert à tout citoyen souhaitant s'investir dans cette mobilisation. Le soutien d'associations ou de collectifs est également le bienvenu. N'hésitez pas à nous contacter à [email protected] .432 sur 500 SignaturesCréée par Moins d'autos plus de Vélos à Annecy
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Stop à l'implantation d'un entrepôt géant d'Amazon à Petit Couronne ! Ni ici ni ailleurs...Un entrepôt de 160 000 m2, 330 000 colis par jour, un flux quotidien de 1000 à 3000 poids lourds. Et cela, rien qu'ici ! Actuellement plusieurs projets du même type sont en cours en France. Alors que la crise sanitaire creuse les inégalités et détruit notre économie, Amazon et son patron Jeff Bezos, la plus grande fortune mondiale, profitent de la situation. Amazon a la folie des grandeurs, mais à quel prix ? Les géants du e-commerce fraudent massivement en évitant par exemple la TVA, ce qui crée une concurrence déloyale avec les autres commerces et représente un manque à gagner de 1,5 Milliard par an, soit le montant du déficit de l'hôpital public ! En trichant, Amazon menace la survie des commerces de proximité, déjà durement impactés par la crise sanitaire. En moyenne, pour un nouveau poste créé, l’entreprise détruit 4 emplois dans les autres filières du commerce. Les promesses d'embauche sont trompeuses, car la plupart des emplois promis seront de courte et/ou très courte durée lors des pics d'activité, et l'entrepôt géant sera probablement automatisé dans les 5 ans suivant sa construction. Amazon encourage la surproduction et la surconsommation, alors que l'urgence climatique nous demande de réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Cela n'est pas cohérent avec les objectifs de la France fixés par la signature de l'Accord de Paris ! Ce projet met en danger les habitant.e.s de notre Métropole. Les pompiers ont rendu un avis défavorable sur cet entrepôt, en concluant à une "incapacité opérationnelle à agir" en cas d'incendie. Un an après la catastrophe de Lubrizol, il n'est pas responsable de laisser s'installer près de nos villes une entreprise qui ne protège ni ses salarié.e.s, ni les habitants autour. Voici le monde selon Amazon. Et ce n'est pas le monde dont nous voulons ! ➡️ Nous devons empêcher l’expansion du groupe Amazon en luttant contre son installation dans la Métropole Rouennaise. Nous disons NON à la construction de cet entrepôt qui aura des conséquences désastreuses pour notre économie locale et pour le climat. Rejoignez le combat en signant cette pétition ! Pour plus d'infos : https://www.amisdelaterre.org/campagne/amazon-surproduction/690 sur 800 SignaturesCréée par Stop Amazon 7 6.
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On veut respirer à Rouen!Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Nicolas Mayer-Rossignol (président de la Métropole de Rouen), il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre agglomération en fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030, en prévoyant préalablement des alternatives accessibles à toutes les classes sociales; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre agglomération (mise en place de “rues scolaires”, développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.); - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur la lutte contre la pollution automobile afin de respecter les normes européennes de qualité de l'air. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire et Président de la Métropole, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/605 sur 800 SignaturesCréée par Groupe Local Greenpeace de Rouen
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DEFENSE DES HAIES BOCAGERESEn effet, trop souvent les machines utilisées brutalisent les haies (voir photo), qui s'étiolent progressivement et finissent ainsi par disparaître insidieusement. Mais il y a aussi l’exemple que peuvent donner les collectivités locales : mairies, intercommunalités, département. Elles sont en charge de l’entretien courant des haies en bordure de routes. Elles le sont parfois également de celui des chemins ruraux qui sillonnent notre campagne, normande pour ce qui me concerne. Les prestataires devraient avoir à signer un même cahier des charges "vertueux". Les haies bocagères ont une importance essentielle car : - elles fournissent une protection des cultures et bâtiments contre le vent. - Elles sont un frein à l’écoulement des eaux, à l’évaporation, à l’érosion. - Elles absorbent le carbone et ont donc leur rôle contre le réchauffement climatique. - Elles sont un réservoir de la biodiversité : petits animaux, oiseaux, insectes pollinisateurs, végétation…. - Elles sont une source d’énergie renouvelable, et aussi de bois d’œuvre. - Elles sont le marqueur de notre paysage.829 sur 1 000 SignaturesCréée par Jean-François P.
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