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Stop au projet d'extension de l'aéroport Nantes Atlantique: un désastre climatique et sanitaireNous, citoyen·nes du collectif du Livre Blanc pour le Climat, sommes scandalisé·es par le projet d'aménagement de l'aéroport Nantes-Atlantique, qui permettrait l'accueil de 11,4 millions de passagers par an à l'horizon 2040 (contre 7,2 millions en 2019). L'aménagement prévoit même des réserves foncières afin d'agrandir l'aérogare et accueillir jusqu'à 15 millions de passagers et passagères par an en cas de forte demande. Ce projet est un non-sens climatique, sanitaire et économique. À l’heure où le trafic aérien est durablement affecté par la crise sanitaire et économique, investir 400 millions d’euros pour développer les capacités d’accueil de l’aéroport, au-delà des conséquences climatiques, est une hérésie. Le projet d'aménagement coûte ainsi : - Entre 120 et 150 M€ d’investissements pour mettre l’aéroport en conformité avec la réglementation - 300 M€ pour la rénovation de l’aérogare existante afin d'accueillir 11,4 millions de passagers à l'horizon 2040 - 100 M€ supplémentaire pour pouvoir accueillir tous ces passagers dans de bonnes conditions À l’heure où le transport aérien représente déjà 7% de l’empreinte carbone nationale (1) et qu'il continue de croître, que prendre l’avion est au moins 40 fois plus polluant qu’utiliser le train sur une distance nationale (2) et que les avions « verts » électriques ou à hydrogène n'ont pas démontré leur faisabilité et n’auraient qu'un impact limité, il est urgent de réduire le trafic aérien et les émissions de gaz à effet de serre du secteur pour se mettre en cohérence avec les objectifs de l'Accord de Paris. Il est impensable que l’Etat soutienne ce projet d'extension dont on peut estimer qu'il émettrait, en pleine capacité, entre 0,4 et 0,9 million de tonnes équivalent CO2 supplémentaires par an. À l’heure où la santé des populations survolées est déjà dramatiquement impactée par le trafic de Nantes-Atlantique, il n’est pas admissible d'augmenter encore le trafic aérien de l'aéroport. Si l'Etat s'engage à prendre un certain nombre de mesures pour tenter de baisser les nuisances sonores et sanitaires (couvre-feu de nuit 24h-6h, aides complémentaires pour les riverain·es, études d'impacts, augmentation de la hauteur de survol), l'augmentation de 50% du nombre de passagers par rapport aux chiffres de 2019, voire son doublement va clairement affecter la santé des populations survolées et des riverain·es de l'aéroport. Pour rappel, dans un avis datant de 2004, le Conseil supérieur d’hygiène publique de France estimait que le bruit des avions ou d'un aéronef constitue un problème de santé publique. De nouvelles études confirment qu'une exposition au bruit des avions crée un risque de mortalité plus élevé sur l’ensemble des maladies cardiovasculaires et affecte l'état de santé de manière générale (3). En 2008, la déclaration d'utilité publique du transfert de Notre-Dame-des-Landes publiait le chiffre de 56,000 vols par an comme seuil acceptable pour les riverain·es de l'aéroport Nantes Atlantique. En 2019, ce seuil acceptable était depuis longtemps dépassé pour l'aéroport de Nantes-Atlantique avec 63,200 vols commerciaux (+ 9,000 vols non commerciaux) pour 7,2 millions de passagers. À l’heure où la Convention citoyenne pour le climat demande l’arrêt des extensions d’aéroports et que d’autres extensions aéroportuaires ont été stoppées en Europe (Bristol, Madrid, Barcelone, Copenhague), il est temps que la France et nos décideur·euse·s politiques nationaux et locaux prennent position contre ces projets. Une quinzaine de projets d'extensions existent actuellement sur notre territoire. Malheureusement, le projet de loi issu des travaux de la convention citoyenne pour le climat prévoit explicitement le maintien du projet d'aménagement de l'aéroport Nantes-Atlantique. Nous refusons la fuite en avant d’une croissance sans limite du trafic aérien et demandons : - L’abandon pur et simple du projet d'aménagement actuel de l'aéroport Nantes-Atlantique visant à augmenter les capacités d’accueil de cet aéroport - Le développement d’alternatives plus cohérentes avec le défi climatique. Il faut investir dans le développement des modes de transport les moins polluants et notamment la relance du ferroviaire pour avoir une offre de trains de jour et de nuit de qualité et pouvoir ainsi faciliter l’abandon des vols courts, comme par exemple la connexion aérienne Paris-Nantes (concernée par l’interdiction annoncée par le gouvernement dont la portée réelle reste néanmoins à confirmer) ou la connexion aérienne Nantes - Lyon (560 854 passagers en 2019, + 55% de passagers par rapport en 2014, et 37 kt CO2 émises en 2019, alors que le trajet est possible en train en 4h24 et représente pour un passager 50 fois moins d’émissions d'eq. CO2 qu’en avion) (4). À l’heure de l’urgence climatique et alors qu’il reste beaucoup à faire pour développer des alternatives moins émettrices, nous ne laisserons pas des intérêts privés nous voler notre avenir et notre santé. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon du projet et mettre fin à cette dérive climatique ! Cette pétition est portée par le collectif du Livre Blanc pour le Climat, document co-rédigé par plusieurs associations et citoyen·nes nantais. Ce document présente les mesures nécessaires pour respecter la trajectoire climatique définie lors des Accords de Paris: https://alternatiba.eu/nantes/wp-content/uploads/sites/7/2020/01/LivreBlancClimatNantes280120.pdf Sources : (1) B&L Evolution https://www.bl-evolution.com/publication/climat-pouvons-nous-encore-prendre-lavion/ (2) https://ecolab.ademe.fr/apps/transport (3) https://theconversation.com/quels-sont-les-effets-du-bruit-des-avions-sur-notre-sante-148219 (4) https://www.greenpeace.fr/mettre-fin-aux-vols-courts-cest-long/ Crédit image : C.Bski5 079 sur 6 000 SignaturesCréée par Livre Blanc Pour le Climat N.
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M. Christian Estrosi, Libérez nous du tout voiture !Plus de cyclistes et un ZFE c'est l'opportunité: - de réduire la pollution de l'air et la pollution sonore -Respecter les engagements de limitation de hausse des températures de 1.5°C - Limiter les embouteillages - Limiter le coût d'entretien des infrastructures routières - Avoir une population en meilleure santé (500 morts prématurés par an) - Développer une économie de proximité - Développer l'attractivité de notre région pour attirer un tourisme plus respectueux de l'environnement Est ce que vous laisseriez votre enfant se rendre à l'école ou au collège à vélo ou votre grand mère faire son marché à vélo ? la réponse est trop souvent non et à juste titre. Il n'y a que peu d'alternatives au tout voiture dans de nombreux déplacements alors même que le vélo avec l'électrique démocratise encore plus ce déplacement accessible à tous. La métropole a un rôle déterminant à jouer dans cette transition274 sur 300 SignaturesCréée par Vincent G.
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Pour un démantèlement de l'aéroport d'AvignonC'est un aéroport inutile et coûteux qui ne sert quasiment qu'aux jets privés et aux baptêmes en avion de chasse à 4599€ l'heure, qui pollue notre territoire et récupère l'argent public. Par ailleurs, pour respecter nos accords en matière climatique, il faut a minima supprimer la moitié des aéroports en France et baisser drastiquement le traffic aérien. L'aéroport d'Avignon fait partie des aéroports les moins utiles. Avec une surface plus grande qu'Avignon intra-muros, son terrain pourrait laisser fleurir de beaux projets citoyens dans le respect de l'environnement et focalisé sur les enjeux de demain: adaptation au changement climatique, autonomie alimentaire, résilience, poumon vert de fraîcheur.1 570 sur 2 000 SignaturesCréée par Wo Con !
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Urgence climatique : pour le remplacement des vols nationaux superflus par des trains !La crise du coronavirus a mis le transport aérien sur pause, et la crise climatique impose de ne pas laisser le trafic repartir comme avant sur le long terme. En effet, le trafic aérien augmente année après année, ainsi que son impact sur le climat : les émissions de l’aviation pourraient être multipliées par quatre d’ici 2050 (4). On nous promet un avion à hydrogène qui sera au mieux mis en service en 2035 : il arrivera trop tard pour le climat. Et même si un avion vert voit le jour, il sera indispensable en parallèle de réduire le trafic aérien pour avoir une chance de tenir les objectifs des accords de Paris. Pour répondre à cet enjeu, il faut évidemment réguler le trafic aérien international puisque les vols internationaux représentent la majorité des émissions de CO2 du secteur aérien en France. Mais on doit aussi abandonner l’avion pour les trajets courts qui peuvent être faits en train, beaucoup moins émetteurs (5) - rappelons de plus que l'allongement des trajets en train par rapport à l'avion est souvent limité si l’on prend en compte les temps de trajets centre-ville – aéroports et le temps d’embarquement. Or le gouvernement ne vise, dans son projet de loi “climat”, que la suppression des vols intérieurs quand une alternative en train est disponible en moins de 2h30 ; il entend de plus préserver de cette interdiction les vols intérieurs de « correspondance » vers des vols internationaux. C'est largement insuffisant : le Réseau Action Climat a montré (6) que cela ne concernerait que 5 lignes sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes (hors Corse et Outre-Mer) et que le bénéfice climat sera très limité : cela ne diminuerait que de 6,6% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et de 0,5% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France. Cet engagement du gouvernement n’est d'ailleurs pas encore traduit dans les faits au moment où nous publions cette pétition. Notre collectif se mobilise en faveur de l’effort collectif de réduction du trafic aérien. Nous demandons : - La suppression des connexions aériennes qui peuvent se faire en moins de six heures en train, ou en train de nuit, notamment celles vers/depuis Paris, comme par exemple les lignes suivantes qui sont particulièrement émettrices (5) et/ou visées par la Convention Citoyenne pour le Climat : Paris-Nice, Paris-Toulouse, Paris-Marseille, Paris-Bordeaux, Paris-Montpellier, Paris-Biarritz, Paris-Brest, Paris-Pau, Paris-Lyon, Paris-Toulon, Paris-Nantes, Paris-Clermont, Paris-Rennes, Paris-Lorient, Paris-Agen, Paris-Quimper, Paris-La Rochelle, Paris-Limoges (liste non exhaustive). Cela doit évidemment concerner toutes les compagnies aériennes et s’inscrire dans un objectif de réduction globale du trafic. Et pour les vols de correspondance vers des vols internationaux, cette suppression doit être organisée en prenant en compte l'état de l'offre ferroviaire alternative existante et les besoins éventuels de renforcement de cette offre. - Le développement conséquent de l’offre de trains, de jour et de nuit (7), qui doit devenir accessible à tous, et qui doit permettre le maintien du lien entre les différents territoires. Les investissements dans le transport ferroviaire doivent ainsi absolument être renforcés (8). - L’accompagnement des salariés du secteur aérien, notamment en termes de formation et de reconversion vers d’autres emplois ou secteurs plus compatibles avec le défi climatique. Signer cette pétition, c’est demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. (1) Rapport BL évolution, juillet 2020, Climat : pouvons nous (encore) prendre l'avion https://www.bl-evolution.com/publication/climat-pouvons-nous-encore-prendre-lavion/ (2) https://www.greenpeace.fr/espace-presse/sondage-les-francais%C2%B7es-largement-favorables-a-un-changement-de-modele-economique-a-contre-courant-des-annonces-gouvernementales/ (3) Calculateur de l’impact climat de l'ADEME : https://ecolab.ademe.fr/apps/transport (4) Rapport Shift Project, mai 2020, Crise(s), climat : préparer l’avenir de l’aviation. https://theshiftproject.org/article/climat-preparer-avenir-aviation-propositions-shift-contreparties/ (5) Rapport Greenpeace France, janvier 2021, Aviation : Empêcher le redécollage des vols courts https://www.greenpeace.fr/espace-presse/rapport-aviation-empecher-le-redecollage-des-vols-courts/ (6) Rapport RAC, mai 2020, Climat : que vaut le plan du gouvernement pour l’aérien ? https://reseauactionclimat.org/climat-que-vaut-le-plan-du-gouvernement-pour-laerien/ (7) https://blogs.mediapart.fr/ouiautraindenuit/blog/170820/10-millions-de-voyageurs-choisiront-le-train-de-nuit-plutot-que-lavion-ou-la-route (8) Rapport RAC/FNH/FNE, octobre 2020, Transport ferroviaire : sommes-nous sur les rails ? https://reseauactionclimat.org/la-france-sur-de-mauvais-rails-pour-respecter-ses-objectifs-climatiques5 089 sur 6 000 SignaturesCréée par Les Groupes locaux Greenpeace de Paris-IDF
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Vitré, Mme Le Callennec : libérez-nous du tout-voiture !Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Mme Le Callennec, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc à adapter à la situation locale et aux objectifs envisagés par les porteurs de la pétition : - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (réduction du stationnement en voirie, mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - de continuer à développer mes solutions alternatives, dont la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) mais aussi le covoiturage, les transports en commun (TER, bus), l'autopartage, etc. - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière ou d’extension des capacités routières ; - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; Il reste beaucoup à faire dans nos villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Madame la Maire et Présidente de Vitré Communauté, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/31 sur 100 SignaturesCréée par Jacques L.
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Généralisation du 30km/h à l'ensemble du Grand AnnecySi Annecy veut tourner le dos à la politique du tout-voiture et devenir une ville apaisée et écologique, l’agglomération doit favoriser les modes de déplacement doux et généraliser le 30km/h sur l’ensemble de son territoire pour sécuriser les déplacements à vélo. À la demande de l’Assemblée générale des Nations Unies, la 3ème Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière qui s’est tenue à Stockholm en février 2020 en collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a rédigé une déclaration prônant la généralisation du 30km/h en ville : « Nous mettons l’accent sur la maîtrise de la vitesse, notamment le renforcement de l’application des lois pour éviter tout excès de vitesse. Nous prescrivons également une limitation de la vitesse à 30 km/h maximum dans les zones empruntées régulièrement et de manière planifiée par les usagers de la route vulnérables et les véhicules conjointement, sauf si de solides données factuelles démontrent que des vitesses supérieures sont sûres. Nous remarquons que les mesures prises pour réduire la vitesse en générale auront un impact positif sur la qualité de l’air et le changement climatique tout en étant essentielles à la diminution du nombre de morts et de blessés sur les routes. » De plus en plus de villes ont déjà franchi le cap comme Bruxelles ou, en France, Grenoble Métropole depuis 2017 et plus récemment Nantes, Toulouse et Lorient. C’est le sens de l’histoire. Nous demandons donc la généralisation du 30km/h à l’ensemble des voies de circulation du Grand Annecy où se côtoient les cyclistes et les véhicules. Soutiens : le groupe local Greenpeace d'Annecy Le collectif Moins d'Autos Plus de Vélos à Annecy est récent et ne demande qu'à grandir. Il est ouvert à tout citoyen souhaitant s'investir dans cette mobilisation. Le soutien d'associations ou de collectifs est également le bienvenu. N'hésitez pas à nous contacter à [email protected] .449 sur 500 SignaturesCréée par Moins d'Autos Plus de Vélos à Annecy I.
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Pau : Nous voulons + de repas végétariensAujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. M Fournier, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Pau? OUI, notre lycée doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR463 sur 100 Signatures
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Marseille : Mangeons sain pour préserver la planèteAujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Marseille ? OUI, Marseille doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4101 sur 200 SignaturesCréée par Juliette P.
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Luttons contre la maltraitance animale !La souffrance des animaux est un sujet extrêment concret et alarmant. Ma pétition vise à sensibliser aux conditions de vie et d'abattage des animaux, de faire comprendre qu'ils méritent de pouvoir vivre dignement et dans de bonnes conditions, et que nous surconsommons de la viande en permanence. Le climat n'attend pas et les animaux non plus ! Si nous voulons changer les choses, il vous s'y mettre dès maintenant, et pour cela, commencez par signer cette pétition.212 sur 300 SignaturesCréée par Eloise K.
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Non à l’extension de l’aéroport Marseille-Provence : ce projet est un non-sens climatique et socialL’aéroport de Marseille Provence a toujours été surdimensionné au regard du nombre de passagers, et pourtant le projet d’extension prétend accompagner une hypothétique croissance du trafic, alors même que la crise sanitaire a touché de plein fouet le secteur aérien, et considérablement freiné cette croissance pour les années à venir. Le projet, vieux de plus de 20 ans et maladroitement maquillé en “remise aux normes” et “augmentation du confort passager”, est tout simplement inadapté au regard des enjeux climatiques et sociaux actuels. A l’occasion de l’enquête publique qui s’est déroulée du 15 septembre au 16 octobre 2020, les citoyen·nes se sont massivement (83% des contributions) opposé·es au projet d’extension de l’aéroport. Nous partageons leurs conclusions et pointons du doigt les impacts climatiques (émission de CO2...), sanitaires (bruits, pollution de l’air...), et sociaux (embouteillages, hausse des loyers...) de ce dernier. Il convient de respecter leurs avis, et de ne pas laisser les intérêts d’un petit nombre d’acteurs politiques, économiques ou culturels, qui promeuvent le statu quo, outrepasser l’intérêt général. A titre d’exemple, nous rappelons que seuls 1% de la population mondiale produit 50% des émissions mondiales du secteur aérien, selon une récente étude. Au regard de l’effondrement du trafic lié à la pandémie de Covid-19, des engagements nationaux et territoriaux (Plan climat régional, Plan climat air énergie métropolitain) pour le climat, des recommandations des syndicats, ONG, scientifiques et citoyen·nes, nous estimons qu’il est nécessaire d’investir dans la reconversion du secteur en concertation avec ses salarié·es, plutôt que dans ce projet climaticide et inégalitaire. Nous refusons la fuite en avant d’une croissance sans limite du trafic aérien et demandons le développement d’alternatives en France et dans la région PACA. Il faut en particulier investir massivement dans le développement du train, de jour et de nuit, pour réduire notre empreinte écologique, comme le font d’autres pays européens comme l’Allemagne, la Suisse, l’Autriche ou la Norvège. Il est encore temps de stopper ce projet ! Nous appelons donc à poursuivre et accroître la mobilisation citoyenne en opposition au projet d’extension de l’aéroport de Marseille Provence. Ensemble, faisons en sorte que ce projet inadapté et climaticide ne voie pas le jour. Soutiens : Alternatiba Marseille, ANV-COP21 Marseille, Greenpeace Marseille, Extinction Rebellion Marseille, Attac Marseille, Citoyens pour le climat Marseille, Youth for climate Marseille, Collectif climat Pays d’Aix, Extinction Rebellion Aix, Attac Aix, Alternatives Territoriales Aix-Marseille Provence, Les Amis de la Terre Bouches-du-Rhône, FNE 13, FNE PACA Sources : https://rester-sur-terre.org/lmpact-climatique-du-transport-aerien-en-integralite/ https://www.lesechos.fr/industrie-services/tourisme-transport/aerien-1-de-la-population-mondiale-cause-la-moitie-des-emissions-de-co2-12660649 134 sur 10 000 SignaturesCréée par Alternatiba & Greenpeace Marseille
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Un mois pour la planète !Problème: Manifester est trop souvent transformé, par les médias, en des événements qui débordent. Les messages de fond ne véhiculent donc pas à la hauteur du problème. Demande: Pour éviter tout débordement, restons chez nous. Mais que les chaînes de télévision généraliste nous programment des soirées autre que du divertissement. Il est temps de voir la réalité en face. Je trouve que les films de Yann Arthus-Bertrand (Home, La soif du monde, Planète Océan et Human) sont très bien pour cette phase de réflexion plus profonde. Ils doivent être plus largement diffusés, autrement que sur YouTube ou les plateformes de VOD. Urgence: Si vous avez vu ces films, vous n'hésiteriez pas une seconde quant à la nécessité de signer en urgence. Réagissons en masse, mais dans la discipline et la sagesse.143 sur 200 SignaturesCréée par Maxime J.
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Chalon-sur-Saône : Nous voulons + de repas végétariensAujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Élève du Lycée Hilaire de Chardonnet - Sandro Caldari, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Chalon-sur-Saône? OUI, Chalon-sur-Saône doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR428 sur 100 SignaturesCréée par Sandro C.
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