• Saintes : Nous voulons + de repas végétariens
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Proviseure du Lycée Bellevue - Nadia Patour, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Saintes? OUI, Saintes doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4
    111 sur 200 Signatures
    Créée par Vanina B.
  • RAREFACTION DU POISSON EN MEDITERRANEE - COMMENT L'ENRAYER ?
    Vous êtes certainement déjà parti en vacances en Méditerranée ou, tout simplement, vous habitez en bord de mer. Vous appréciez manger une dorade ou un loup au restaurant en famille ou après une partie de pêche entre copains. Vous avez certainement déjà regardé avec un masque et un tuba le fond marin, depuis le bord, sans y voir un quelconque poisson. Le constat est implacable: le poisson se raréfie en Méditerranée! Les poissonniers vendent aujourd'hui des poissons qui sont à peine de la taille règlementaire minimum (23 cm pour la dorade) et les pêcheurs de loisir reviennent souvent bredouille d'une pêche du bord. Pourtant, il existe une SOLUTION SIMPLE pour que les poissons reviennent en Méditerranée, du poisson fourrage au poisson prédateur tel que la dorade, la bonite, le loup, .... RAISON PRINCIPALE DE CETTE RAREFACTION Les poissons n'ont aucun endroit le long des côtes pour se réfugier, manger ou se reproduire librement. Vous verrez toujours un chalutier ou une barge pêcher près des côtes (voire jusqu'au bord) avec ses filets de plus de 100 mètres de long. Or, la chaîne alimentaire marine est issue à plus de 95% du littoral: la bordure de nos côtes est donc le lieu privilégié des alevins comme des adultes. C'est aussi le lieu où les poissons prédateurs viennent se nourrir, ou plutôt venaient ... LES PROFESSIONNELS Les professionnels sont les premiers à pleurer quant à la raréfaction des poissons en Méditerranée mais sont malheureusement aussi les premiers acteurs de cette raréfaction car ils cassent la chaîne alimentaire marine en prélevant, près du bord, sans distinction les poissons de tout type et de toute taille. Car même si les poissons non commercialisables du fait de leur petite taille ou de leur espèce non attractive sont rejetés à l'eau, la plupart d'entre eux meurent après leur pêche. Il arrive même, l'été, de voir des pêcheurs professionnels poser leurs filets jusqu'au bord (même dans les chenaux entre deux zones de baignade - Canet en Roussillon - été 2020). ET LA PECHE DE LOISIR, alors ? Les pêcheurs de loisir, pêcheurs occasionnels par définition, ne prélèvent que peu de poissons du milieu halieutique. Qui plus est, leur pêche est souvent bien plus sélective … quand ces pêcheurs ne font pas du no-kill. ET LES RESERVES MARINES, alors ? C'est une idée noble qui montre ses limites, simplement du fait de la petite superficie de ces réserves comparée ... celle de la présente proposition. ET LES REGLEMENTATIONS CIBLEES, alors? Il existe bien des réglementations actuelles visant à limiter, par exemple, par quota, la pêche au thon. Ces règlementations s'apparentent plus à la préservation des espèces menacées qu'à de la préservation de la quantité des espèces dans nos mers. LA PROPOSITION Tout d'abord, il ne faut pas empêcher les professionnels de faire leur métier car c'est leur vie. Et leur activité nous est utile. Par contre, il faut aussi protéger efficacement le bord de mer. Par conséquent, demandons aux pêcheurs professionnels de laisser libre de toute pêche industrielle la bande côtière des 300 mètres. MAIS POURQUOI CES 300 mètres ET QUE DIT LA REGLEMENTATION ACTUELLE (arrêté du 27 mars 1991)? En se référant à http://www.dirm.mediterranee.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/le_balisage_de_la_bande_littorale_des_300_metres.pdf la règlementation stipule, entre autres, que: - "Pour assurer la sécurité des usagers et notamment des baigneurs, l'autorité de police (mairie et/ou préfecture maritime) institue sur la bande littorale des 300 mètres des zones de protection généralement balisées conformément à l'arrêté du 27 mars 1991. il s'agit de balisage de police avec des bouées de forme spécifique." A noter que cette règlementation s'est aujourd'hui étendue aussi aux petites embarcations de loisir non motorisées (barque, canoë, paddle, ...). IL Y A URGENCE Il ne se passe pas une journée où les actualités nous informent que telle espèce a disparu, telle autre est en voie d'extinction. Et le milieu marin n'est pas épargné. Mais il n'est pas encore trop tard pour retrouver une faune marine riche et diversifiée! COMMENT FAIRE? Tout simplement en modifiant cette règlementation du 27 mars 1991 (datant de 30 ans déjà) par l'interdiction de la pêche côtière professionnelle dans la bande des 300 premiers mètres des côtes. Cette modification facile est, de plus, appropriée car elle ajouterait une sorte de réciprocité: - les baigneurs et petites embarcations n'ont pas le droit de franchir la zone des 300 premiers mètres. - et les embarcations professionnelles n'ont pas le droit de rentrer dans cette même zone. La sécurité des baigneurs et des embarcations de loisirs est ainsi renforcée. A noter que, concernant les bateaux à moteur de loisir, la règlementation actuelle est toujours applicable (zone de baignade protégée, ...). IL N'EST DONC PAS ENCORE TROP TARD POUR AGIR, MAIS DANS 10 ANS, IL LE SERA PEUT-ÊTRE!
    314 sur 400 Signatures
    Créée par Pascal D.
  • Préservons la colline de Sauveterre
    Sur les hauts de Sauveterre, il y a un plateau, où les habitants de la région viennent se promener et apprécier une vue quasiment à 360 degrés sur le Rhône, les châteaux de Châteauneuf du pape, Roquemaure ou encore Caderousse et le Mont Ventoux, les dentelles de Montmirail et même les Alpes. Alors, nous sommes là aujourd’hui pour empêcher que ce projet ne se fasse. Nous avons le bon sens de notre côté : détruire un espace naturel au nom de l’écologie ne tient pas debout. La transition écologique et les objectifs de la COP 21 ont un sens dans une politique de développement durable, mais c’est un prétexte à beaucoup de projets mal intentionnés. Pour ce qui est de la couverture au sol par des panneaux solaires, l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maitrise de l’Energie), a donné les recommandations pour le choix de l’emplacement des dites centrales. 3 cas de figures : BASOL (sites pollués), BASIAS (anciens sites industriels) et BD TOPO (parkings). Et bien notre jolie colline ne rentre dans aucun de ces 3 cas de figure ! Oui oui, vous lisez bien, la colline de Sauveterre n’est pas considérée comme un lieu recommandé par l’ADEME. Pire encore, le premier commissaire enquêteur, expert indépendant, dans son rapport sur le PLU (Plan Local d’Urbanisme) de Sauveterre a donné un avis défavorable au projet de centrale. Or, le maire de Sauveterre est passé outre cet avis. Et avec la crise actuelle et la fermeture des salles de sport, les espaces naturels sont des espaces de liberté et de détente si précieux. Pour qu’on puisse continuer d’en profiter, ainsi que les générations à venir, nous avons besoin de votre mobilisation à tous, habitants de Sauveterre de Roquemaure et des communes avoisinantes mais aussi vous les amoureux de la nature et de la justice. Vous pouvez contacter le Collectif « Préservons la colline » qui répondra à toutes vos questions ou accueillera votre mobilisation. Facebook : https://www.facebook.com/groups/3135560439845258 Mail : [email protected]
    100 sur 200 Signatures
    Créée par Christophe C.
  • OUI au développement économique, NON si c’est au détriment des habitants et de l’environnement !
    Nous pouvons tous être demain confrontés à des aberrations de ce type, de grands projets technocratiques sans lien avec un développement durable et raisonné des territoires. Si le développement économique a du sens, il ne peut pas se faire au détriment de nos milieux naturels et de nos concitoyens. Nous soutenir dans notre démarche c'est nous préserver tous face à ces projets sans conscience écologique et sans humanité. Ce projet doit être validé en préfecture d'ici FIN MARS 2021 : il est important et urgent que nous puissions récolter un maximum de signatures d'ici là. Merci à tous !
    1 283 sur 2 000 Signatures
    Créée par Association Nouette-Abbaye 35 .. Picture
  • A Marseille respirer tue 2500 personnes par an, 7 personnes par jour !
    Ces bateaux qui sont en stationnement ou en réparation à la forme 10, font tourner leur groupe électrogène, qui fonctionne avec un fuel particulièrement polluant, 24h/24h et en augmente la puissance la nuit pour fournir l'électricité aux personnes de l'équipage et aux techniciens de réparation logés sur ces bateaux, ce qui produit une très forte pollution aérienne, entre autre aux particules fines, et sonore. La pollution de l'air engendrée par ces mastodontes de la mer est responsable de nombreux cas de cancers, de maladies respiratoires et pulmonaires et de diabète. Ces émissions toxiques mesurées aux environs directes du GPMM , du port de l'Estaque et des environs sont nettement supérieures à la moyenne nationale et 5 fois supérieures à la pollution aérienne du centre de Marseille. C'est pourquoi nous demandons expressément aux décideurs politiques, aux compagnies de croisières et aux armateurs de faire tout le nécessaire afin d'accélérer la mise en place de l'électrification des quais du port autonome et en priorité celui de la forme 10 se trouvant au centre du village de l'Estaque mettant en danger ces habitants et ceux vivant à proximité. Nous n'attendrons pas 2025 ! Les vies humaines doivent primer sur l'économie. Nous devons nous battre pour nos enfants et pour le respect de notre planète.
    3 477 sur 4 000 Signatures
    Créée par Chantal R.
  • Stop à la destruction de la plage de La Grande Motte
    Je demande aux élus de protéger la mer Méditerranée car il s’agit ici d’éviter que des produits toxiques la polluent : l’usine de construction de catamarans utilise des produits chimiques hautement toxiques. La sauvegarde de la plage du Grand travers et de la mer Méditerranée sont en jeu. Empêchons la destruction de cette plage (suppression de 3,5 hectares de plage) pour installer des hangars industriels qui utilisent des produits dangereux. Stop à la pollution de la mer Méditerranée, nous devons arrêter ce massacre !
    171 sur 200 Signatures
    Créée par Juliet F. P.
  • M le deuxième adjoint à la ville durable : libérez-nous du tout-voiture !
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. M Christophe Counil, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur Counil, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
    39 sur 100 Signatures
    Créée par Helen R.
  • La neige fond, les déchets ressurgissent !
    Malgré les remontées mécaniques, bars & restaurants fermés, nos montagnes ont vu un afflux de touristes laissant comme chaque année derrière eux un tas "habituel" de déchets dispersés à travers la nature. Ceux-ci ressurgissent avec la fonte de la neige, au détriment des cours d'eaux, de la faune et de la flore. L'objectif de cette campagne est de mobiliser un maximum de jeunes volontaires lors de leur temps libre, à faire une action concrète et de marquer le coup dans l'esprit des plus ignorants. Les beaux jours reviennent, profitez-en pour vous balader entre amis et de ramasser les déchets visibles, proposez un sac aux familles qui n'en ont pas, équipez-en votre voiture et ce sera déjà un beau geste, à notre échelle, pour l'environnement. Un rouleau de 10x30L environ 3€ en supermarché. Pensez au covoiturage et évitez les produits sur-emballés. Ne prenez pas de risque inutile (falaises etc.) ramassez déjà le visible =) Pour Info : -un masque FFP2 met jusqu'à 500 ans à se dégrader -un emballage plastique entre 300 et 400 ans -une canette de Coca 200 ans -un mégot entre 1 et 3 ans Merci !
    125 sur 200 Signatures
    Créée par Loop T. Picture
  • URGENCE: SAUVONS LES 145 TILLEULS DE SOISSONS!
    Le projet d’abattre encore de grands arbres de la ville, dont les 145 tilleuls sains du boulevard Victor Hugo, est-il acceptable en cette période de crise climatique ? Va-t-il se poursuivre par la destruction de tous les arbres de cette magnifique voie allant de St Jean des Vignes au parc St Crépin, puis de tous les autres grands arbres qui donnent à Soissons son charme et sa fraîcheur ? L’abattage des alignements d’arbres et des espaces boisés classés est interdit par la loi*. Un vieil arbre n’est pas du mobilier urbain, comme un vieux banc public qu’il faudrait remplacer ! Il a une capacité 100 à 200 fois supérieure à celle d’un jeune pour lutter contre le réchauffement climatique. Grâce à l’abondance de son feuillage, il diminue la température, stocke le carbone et les polluants responsables des gaz à effet de serre, produit de l’oxygène, absorbe les eaux pluviales, abrite une riche diversité d’oiseaux et d’insectes, dont les abeilles mellifères et…même le contempler est bon pour la santé ! Le triste résultat de cette politique d’un autre siècle se voit déjà ailleurs dans Soissons : fournaise aux beaux jours avec une augmentation de la température de 3 à 5 degrés, sans couvert ni ombre pour se promener agréablement à pied ou à vélo ou se reposer sur un banc. Il faudra maintenant attendre des dizaines d’années avant de retrouver les bienfaits de ce qui a été détruit. Notre ville d’art et d’histoire a certes besoin d’être modernisée, mais nous devons aujourd’hui lui conserver son caractère, ses atouts et son attractivité. L’engagement de la ville de « 2 arbres plantés pour un arbre coupé », la plantation de la mini-forêt urbaine et la végétalisation des espaces annoncée sont des contreparties bien maigres face à la destruction de tout ce qui existe déjà ! Il y a des alternatives : entretenir les rues et tailler les arbres, garder des sols perméables, mettre en valeur le patrimoine végétal qui fait de Soissons une ville agréable à vivre plutôt que tout détruire et refaire à neuf avec une utilisation démesurée de l’argent public. Nous ne voulons pas d’une ville bétonnée et standardisée, étouffante de chaleur et de pollution, et les 10 années à venir seront décisives pour l’avenir! Mesdames et Messieurs les élus et représentants de l’état, prenez soin du climat, de notre patrimoine, de notre santé et de notre bien-être, laissez vivre nos grands arbres ! Soissonnais en Transition, 11 février 2021 * Article L350-3 du Code de l’Environnement. Le Schéma de Cohérence territoriale et le Plan Local d’Urbanisme doivent permettre des projets d’aménagement et de développement durables.
    129 sur 200 Signatures
    Créée par Soissonnais en Transition
  • Stop à Amazon et son fret aérien sur le Cargoport de St-Exupéry !
    L’État français vient tout juste d’être condamné pour « carences fautives » dans la lutte contre le réchauffement climatique notamment au regard de sa passivité pour limiter les émissions carbones de la France (1). Mais la stratégie nationale bas carbone actuelle ne comprend pas les émissions importées ! Or, dans l’un de ses rapports le Haut Conseil pour le climat rappelle que l’empreinte carbone liée à nos importations est d’ores et déjà supérieure aux émissions nationales, et continue d’augmenter (2). Il est donc primordial de stopper les mécanismes de cette importation à outrance. Amazon est un acteur majeur de ce phénomène : un seul entrepôt de 140 000 m² représente 240 millions de produits neufs commercialisés chaque année. De plus, le projet d’entrepôt de Lyon (160 000 m²), localisé sur le site de l'aéroport Lyon Saint-Exupéry, a clairement vocation à s’appuyer sur le fret aérien pour le transport de marchandises. Après Leipzig en Allemagne, Lyon pourrait ainsi devenir un prochain hub aérien d’Amazon (3). Nous restons mobilisé·es sur cette thématique et demandons : – L’abandon définitif du projet d’entrepôt Amazon (ou du même type) dans toute la région, – L’adoption d’une politique de transports de marchandises respectueuse de l’environnement et de l’économie locale pour la région AURA / la métropole de Lyon et notamment – L’abandon du transport de biens de consommation par fret aérien. – L’abandon définitif du projet de pistes supplémentaires Nous sommes en effet révolté·es que le projet d’extension de l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry puisse être toujours envisagé comme ce fût le cas dans la réévaluation du PSA en 2019 (4). Le développement du e-commerce sur le cargoport de St Exupéry pourrait être l’un des facteurs pouvant justifier ce « besoin ». D’autant que, lors de la privatisation en 2016 de l’aéroport, le cahier des charges de la vente prévoyait que les repreneurs (consortium mené par VINCI) fassent de Lyon Saint-Exupéry le hub de fret de l’Europe du sud. Depuis, Saint-Exupéry se positionne comme la 1ère plateforme aéroportuaire française de fret (5). Il ne faut pas que la diminution post Covid (espérée) du trafic aérien de passagers puisse être compensée par une augmentation du transport de marchandise (6) ! DHL, leader du fret aérien (aussi implanté à Lyon), a vu depuis le début de la crise COVID la part de son activité liée au e-commerce passer à 50 % avec des pics à 62% durant le confinement (7). Ce dernier table sur une croissance de 40% d’ici à 2025 grâce au e-commerce. Amazon s’inscrit bien entendu dans cette dynamique avec notamment l’achat de 11 Boeing 767-300 en début d’année (8). A l’heure où le secteur aérien représente déjà 7% de l’empreinte carbone nationale, et alors que l'avion électrique ou à hydrogène restent chimériques, il est urgent de réduire nos émissions de gaz à effet de serre pour avoir une chance de tenir les objectifs de l'Accord de Paris. La réduction du trafic aérien est donc une nécessité, ainsi tout projet qui contribuerait à son augmentation doit être impérativement abandonné. Ainsi, il est primordial aujourd’hui de stopper le développement d’Amazon et de son fret aérien pour favoriser d’autres manières de produire et de consommer : – Favoriser des délais de livraison qui permettent l’utilisation de transports moins polluants et l’optimisation des charges afin de préserver la qualité de l’air, – Faire vivre nos commerces de proximité en leur évitant une concurrence déloyale encore plus redoutable, – Permettre à des entreprises de production française et locale de se développer sans subir l’intermédiaire d’un revendeur hégémonique pratiquant le racket sur les prix et l’espionnage industriel, – Favoriser les acteurs qui paient la TVA pour conserver nos services publics... Toutefois tout est actuellement fait pour faciliter l’implantation des entrepôts Amazon en France. Ces derniers ne sont toujours pas assujettis à la taxe sur les surfaces commerciales, et ne sont pas contraints d’effectuer des études d’impacts sur le commerce de proximité au préalable. A Saint-Exupéry comme ailleurs, les élus locaux responsables de ce projet d’implantation sont bernés par la promesse fallacieuse de création d’emplois. Pourtant le bilan net de création d’emplois dans l’économie locale d’Amazon est négatif ! Pour 1 emplois créé dans le e-commerce, 6 sont détruits dans les commerces de proximité. Depuis 2008, Amazon est responsable de la destruction de plus de 81 000 emplois (9). À ce jour, nous sommes toujours dans l’attente du jugement de la Cour d’appel de Lyon pour confirmer ou annuler le permis de construire obtenu par Amazon. C’est pourquoi il est primordial d’interpeller nos élus et responsables locaux pour dire STOP à ce type de projet, qu’il soit porté par Amazon, Alibaba ou autre. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon de ces projets et faisons en sorte que ces bombes climatiques et sociales ne voient pas le jour ! Signataire : Alternatiba ANV Rhône Sources : (1) : https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/02/03/climat-l-etat-condamne-pour-carences-fautives-dans-l-affaire-du-siecle_6068613_3244.html (2) : https://www.hautconseilclimat.fr/publications/rapport-2019/ (3) : https://siecledigital.fr/2020/11/07/amazon-prime-air-nouveau-hub-aerien-en-allemagne/ (4) : https://www.apej-jonage.fr/2019/11/25/enquete-publique-modification-du-psa-aeroport-saint-exupery-lyon-extention-piste/ (5) : https://cargoport.lyonaeroports.com/ (6) : https://www.lci.fr/population/video-tf1-compagnies-aeriennes-faute-de-passagers-air-france-se-rabat-sur-le-fret-de-marchandises-2168041.html (7) : https://www.bfmtv.com/economie/philippe-pretat-pdg-de-dhl-express-l-e-commerce-genere-50-de-notre-activite_AV-202009210064.html (8) : https://www.numerama.com/tech/680170-amazon-achete-desormais-ses-propres-avions-pour-faire-ses-livraisons.html (9) : https://cutt.ly/7kUuFoT
    3 451 sur 4 000 Signatures
    Créée par Alternatiba ANV Rhône
  • Stop à la croissance du trafic aérien à Bordeaux-Mérignac
    Notre collectif se mobilise en faveur de l’effort collectif de réduction du trafic aérien. Nous demandons sans retour possible : - L’arrêt définitif des navettes Bordeaux-Orly et la fin de la navette Bordeaux-Roissy - La fin des trajets aériens faisables en moins de 4h30 en train, y compris depuis/vers Bordeaux, comme par exemple la ligne Bordeaux-Montpellier - L’arrêt de tout projet d’extension de l’aéroport Bordeaux-Mérignac - Le développement d’alternatives plus cohérentes avec le défi climatique, en misant notamment sur la relance du ferroviaire et le développement des trains de jour et de nuit, pour pouvoir étendre progressivement l’interdiction des vols courts à mesure que des solutions de remplacement se mettent en place. Investir par exemple dans le développement de l’offre de train sur la ligne Bordeaux-Paris, mais aussi sur le (re)développement de l’offre sur des lignes transversales comme Bordeaux-Lyon, Bordeaux-Montpellier, etc. - Le fait de renforcer et améliorer les connexions ferroviaires entre Bordeaux et la gare TGV de Massy (pour relier l’aéroport d’Orly) ou la gare TGV de Roissy, pour faciliter le report des vols Paris-Bordeaux de correspondance vers le train. Nous, associations de défense de l’environnement, sommes scandalisés par le fait que, malgré l’annonce du gouvernement d’interdire les vols pour lesquels une alternative en train existe en moins de 2h30, des vols entre Paris Orly-Bordeaux et Paris Roissy-Bordeaux pourraient au final être maintenus, notamment sous prétexte de préserver les vols de correspondance vers des vols internationaux.(1) Au même titre, dans un contexte de crise climatique où il faut réduire le trafic aérien, nous ne comprendrions pas que des projets d’extension soient toujours considérés comme un futur possible pour l’aéroport Bordeaux-Mérignac et demandons un engagement clair à abandonner ces projets au lieu de simplement les reporter.(2) (3) A l’heure où le secteur aérien représente déjà 7% de l’empreinte carbone nationale, qu’il continue de croître année après année, et alors que l'avion « vert », électrique ou à hydrogène, n'a pas démontré leur faisabilité et n’aurait qu'un impact limité, il est urgent de réduire le trafic pour réduire les émissions de gaz à effet de serre du secteur aérien et avoir une chance de tenir les objectifs de l'Accord de Paris. Il serait donc impensable que les élus locaux et le gouvernement maintiennent des vols entre Paris (Orly et/ou Roissy) et Bordeaux et des projets d’extension des capacités d’accueil de l’aéroport Bordeaux Mérignac. En revanche, la sauvegarde de l’emploi est évidemment un enjeu prioritaire et il faut à la fois accompagner les travailleurs et les travailleuses qui seront impactés par la nécessaire transformation du secteur aérien et la nécessaire réduction du trafic, et donner la priorité à la création d’emplois locaux dans des secteurs plus compatibles avec le défi climatique. A l’heure de l’urgence climatique, nous demandons des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tou.tes, pour une société soutenable et juste. Ne laissons pas des intérêts privés nous voler notre avenir et notre santé. Il est encore temps d’agir et de dire NON au maintien des navettes Bordeaux-Orly Bordeaux-Roissy, et à tout projet d’extension de l’aéroport Bordeaux-Mérignac. Signez et partagez cette campagne, merci ! Sources : (1) https://www.sudouest.fr/2020/05/07/fin-de-la-navette-bordeaux-orly-le-maire-de-merignac-interpelle-l-etat-sur-l-impact-economique-7466202-2780.php (2) https://objectifaquitaine.latribune.fr/politique/2021-01-12/merignac-reste-attractive-et-investira-davantage-en-2021-871332.html (3) https://www.ouest-france.fr/nouvelle-aquitaine/bordeaux-33000/coronavirus-l-aeroport-de-bordeaux-touche-par-la-crise-reporte-ses-projets-d-extension-6881122
    2 763 sur 3 000 Signatures
    Créée par ANV COP21 Gironde
  • Denis Benoît : Directeur de la 3CPS et maire de Aouste-sur-Sye - libérez la 3CPS du tout-voiture !
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Mr Benoit, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux [le cas échéant si promesses il y a eu] et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le maire, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
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    Créée par Lea G.