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Protégeons le site de Grignon: appuyons la transition écologique, conservons notre patrimoineLe site de Grignon, au cœur des Yvelines, est un atout précieux de notre patrimoine. Le château construit au XVIIème siècle, le parc de 290 ha, la forêt et son arboretum sont aujourd’hui mis en danger par la privatisation du site. Nous avons jusqu’au 26 mars pour mettre en pause ce processus de vente dont l’appel d'offres semble destiné à favoriser des promoteurs immobiliers (comme Altarea Cogedim et Novaxia qui font partie des acheteurs retenus). Tous les projets de ces acteurs restent opaques, excepté le projet Grignon 2026 dont le contenu a été rendu public. Nous déplorons l’absence de collaboration avec les étudiants, les chercheurs et professeurs, le personnel AgroParisTech et les habitants de Thiverval-Grignon quant au rachat du site. Nous sommes pourtant impliqués, et désirons pouvoir peser en faveur de projets protégeant et valorisant le site exceptionnel de Grignon. Nous demandons : -L’interruption du processus de vente avant la date butoir du 26 mars. -L’ouverture du dialogue avec le ministre de l’Agriculture, Julien Denormandie, vendeur du site et lui-même ancien élève de Grignon, et avec le Ministère des finances afin qu'une réévaluation des critères de choix concernant la vente soit co-construite avec les enseignants-chercheurs, les étudiants, le personnel d'AgroParisTech et les habitants de la commune. -La transparence sur les candidats et leurs projets. -La transparence sur le jury et ses compétences en termes d’évaluation écologique et agronomique des projets. Face à l’absence de discussion possible, un blocage étudiant a été voté à la majorité absolue lundi 15 mars lors d’une assemblée générale. Nous sommes aujourd’hui plus de 300 étudiant.e.s de l’école réunis au travers de ce mouvement pacifique, censé établir un dialogue qui aurait dû être instauré depuis longtemps. De plus, ce projet de privatisation du site de Grignon va à l’encontre des objectifs affichés du gouvernement contre l’artificialisation des sols. L'intérêt de ce site porte bien au-delà de l’enceinte d’AgroParisTech. Les enjeux mis en cause concernent toutes celles et ceux qui souhaitent voir se développer des projets d’avenir en termes d’écologie, d’éducation et de culture. Citoyen·ne·s qui partagez nos préoccupations pour un avenir durable, opposez-vous à la privatisation du site de Grignon et signez la pétition !7 516 sur 8 000 SignaturesCréée par Stop Privatisation Grignon
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l'eau est un bien communDepuis plus de 30 ans les climatologues disent bien, qu'avec le dérèglement climatique, il n'y aura pas moins d'eau mais une dégradation de la répartition annuelle des pluies : inondations l'hiver et sécheresse l'été, Tous les ans les indemnités sécheresses et inondations coutent des milliards aux contribuables (sans parler des vies humaines ... ) alors qu'avec quelques millions on résoudrait en même temps les deux problèmes. Sans oublier l'énergie propre que peut fournir une turbine associée à une retenue, en France nous avons largement de quoi doubler notre production hydroélectrique ! C'est le climat qui a besoin d'eau et de végétation l'été. Le secret d'un bassin hydrologique en bonne santé c'est sa densité végétale (la référence étant la forêt de feuillus), plus on génère de biomasse plus on augmente le pouvoir de rétention d'eau des sols et donc de filtration, plus la densité végétale est importante et plus on alimente le cycle des pluies. L'eau est un bien commun qui commence par la pluie, les particuliers ont l'obligation d'infiltrer les pluies à la parcelle, les champs infiltrent toutes les pluie (même si on peut admettre quelques ruissellements épisodiques dans certaines parcelles quand justement les nappes sont pleines et qu'il faudrait capter ces ruissellements dans des réserves collinaires pour éviter les inondations ... ) , il n'y a que les villes qui rejettent 90% des pluies en rivières pour diluer les polluants des stations d'épuration, et c'est totalement illégal ! 80% des stations d'épurations françaises ne sont pas aux normes et polluent les rivières, avec la loi écocide tous les rejets de polluants (même dilués dans les rivières...) seront interdits, il faudra recycler l'eau dans les sols et donc la donner à ceux qui en ont besoin pour nourrir la population : les agriculteurs !244 sur 300 SignaturesCréée par laurent d.
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Pour une restauration universitaire plus verteAujourd’hui, 3 à 4 jours par semaine, ce sont deux repas carnés qui sont servis au restaurant universitaire de Corte. Les étudiants ou membres du personnel végétariens ne peuvent donc bénéficier des repas et tarifs du Crous une seule fois par semaine. Pour les autres, ils sont obligés de consommer la viande deux fois par jour s’ils prennent deux repas par jour au Crous (ce qui est courant car peu de chambres universitaire sont adaptées pour cuisiner). Une aberration dangereuse pour la santé, mais aussi dévastatrice pour la planète. En effet, à lui seul, l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial. C’est pourquoi nous demandons au Crous de Corte de proposer une alternative végétarienne chaque jour dans les restaurants universitaires. Aidez nous à végétaliser notre alimentation et à rendre les repas des restaurants universitaires accessibles à tous!75 sur 100 SignaturesCréée par Clemence B.
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Stop Panhard à SensNous appelons les Sénonaises et Sénonais, toutes et tous les habitantes et habitants des communes du Grand Sénonais, les commerçants, les artisans, les paysans du territoire à exiger l'abandon de ce projet. Le projet d’installation à Sens d’une plateforme logistique pour un mystérieux géant du e-commerce par la société Panhard est mené dans l’ombre, comme toujours, pour éviter les oppositions citoyennes : il a fallu des questions au conseil municipal du 23 novembre 2020 pour que quelques rares informations soient données. Ce que l’on sait : On parle de l’implantation d’une immense « plateforme logistique pour un géant du e-commerce » par le groupe Panhard, sur 40ha de terres agricoles. Les impacts néfastes qu’aurait ce projet sont nombreux : Destruction du patrimoine naturel et rural sénonais, dans la lignée des ravages déjà commis avec l’extension de la lèpre des zones commerciales et d’activité, alors même que des zones existantes périclitent. Nouveau recul de l’activité agricole, un atout majeur d’attractivité gaspillé. Augmentation terrible du trafic routier : Près de 1000 mouvements quotidiens Poids lourds, et plus de 2500 mouvements de « Véhicules légers », c’est-à-dire de grosses camionnettes Destruction des commerces locaux, au bout du compte, des pertes nettes d’emplois Nouveaux coûts de voirie et de réseaux récurrents pour la collectivité, qui devront être assumés quel que soit le destin de ce projet Pourquoi si peu de transparence et d’information publique ? Quels avantages fiscaux pour ce « géant » ? Quels bénéfices attendus en termes d’impôts locaux au regard des investissements initiaux et des coûts récurrents d’entretien des infrastructures ? Comparons avec un commerce « type » de notre ville, en termes d’imposition au m² ! Le principal argument des promoteurs de ce projet néfaste : les emplois créés. DES EMPLOIS CRÉÉS, VRAIMENT ? Ce véritable bouclier magique derrière lequel se retranchent les soutiens du projet est une illusion ! > 2000 emplois promis, ce sera dans les faits 200 ou 300, il suffit de voir ce qui s’est fait ailleurs > 1 emploi créé dans le e-commerce c’est 2,5 emplois détruits dans les commerces de proximité > Avec la Robotisation, à terme, c’est 0 emploi que nous aurons. > Des emplois précaires dans des conditions de pénibilité avérées : cadence de travail infernale imposée par des robot, pauses réduites, burn-out fréquents… C’est un rythme proprement inhumain. > Une rotation du personnel très élevée, les employés sont renouvelés très régulièrement, avec une formation minimale des salariés. > Aucune garantie sur la durée de cette activité Comment cela se passe-t-il sur d’autres sites à deux pas de chez nous ? > A Savigny-sur-Clairis, à 25km de Sens, la base logistique de 57.000m² du promoteur FM Logistique pour le compte de Carrefour a fermé après seulement 2 ans. 300 emplois perdus. > A deux pas, Ibiden qui a touché des subventions de la région pour s’installer, part en Hongrie en 2018. 300 emplois perdus Et si on regarde sur la France entière, les exemples sont légion, et les opposants arrivent souvent à empêcher ces projets de se faire pour sauver leur patrimoine naturel et les commerces de proximité.949 sur 1 000 SignaturesCréée par Sens Ecologie & Solidarité E.
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Auxonne : Nous voulons + de repas végétariensAujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Directeur du Lycée Prieur de la Côte d'or d'Auxonne - Monsieur Coqueugniot Francis , il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Auxonne? OUI, Auxonne doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR428 sur 100 SignaturesCréée par Marina P.
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« Moins de voiture en ville, plus d’espace pour vivre ! » #vivre en villeLes différentes crises que nous vivons nous incitent à réinventer nos vies en ville, en changeant notamment la façon de nous déplacer et d’investir l’espace urbain, et en interrogeant nos besoins de déplacement. Pour envisager l’avenir plus sereinement, il nous faut donc trouver un meilleur équilibre de mobilité urbaine nous permettant de nous déplacer de façon saine, efficiente et inclusive tout en minimisant les coûts d’infrastructure et l’empreinte environnementale associée. Dès lors, il est essentiel de privilégier le mode de déplacement élémentaire : la marche, accessible à beaucoup d’entre nous, gratuit, sain et neutre sur le plan environnemental. Ensuite, il convient de favoriser d’avantage qu’il ne l’est actuellement, le vélo et ses déclinaisons (comme les vélos utilitaires, vélos cargos, vélos taxi, etc.), car ces modes de déplacement sont à la fois sains, efficaces et économes en ressource et en infrastructure. Les transports en commun, les transports à la demande, le covoiturage et l’autopartage, doivent également être promus, en particulier dans les situations où la mobilité active n’est pas possible (e.g. handicap, longue distance, condition climatique, sécurité, topographie, etc.). Enfin, à l’instar de nombreuses villes qui ont déjà engagé cette transition (e.g Copenhague, Amsterdam, Bolzano, Padoue, Cambridge, etc.), il semble indispensable que la part des transports individuels motorisés diminue significativement, en réservant son usage aux situations non couvertes par les solutions précitées. Ce changement profond des parts modales pourrait être accompagné par une urbanisation multicentrique : un espace urbain de proximité, créateur d'activité et de lien social ; une urbanisation visant à éviter les phénomènes de report de circulation vers des périphéries ; un territoire où la qualité de vie s'améliorerait par cette capacité à rendre une taille humaine à des villes vivantes, vibrantes, inclusives et solidaires ! Pour en savoir plus : https://vm.caoua.org/dg/petition-liens.html Contact: [email protected] Web: https://colibris-wiki.org/devoituronsGrenoble/?PagePrincipale https://twitter.com/devoiturons610 sur 800 SignaturesCréée par Dévoiturons Grenoble C.
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STOP au bétonnage des terres agricoles à HATTEN !La Communauté des Communes d’Outre Forêt après avoir arrêté la modification du Plan Local d’Urbanisme Intercommunal, a entamé une procédure d’Utilité Publique à son profit et une autre de Zone d’Aménagement Concerté (ZAC) qui aboutiront à l’expropriation de ces paysans, à la création d'une vaste zone industrielle et urbaine. De village rural, HATTEN va devenir une cité industrielle. Dans ce contexte URGENT la signature du plus grand nombre permettra d’exiger l’abandon de ce projet destructeur de la qualité de vie et des espaces naturels apportant une augmentation dramatique du trafic routier et des risques potentiels sur la santé des habitants Devant le succès médiatique et populaire de notre 1er rassemblement citoyen du 25 mai 2024, nous nous montrons ambitieux ! Avant de remettre notre pétition nous augmentons le curseur à 2 500 signatures pour démontrer que nous sommes toujours plus nombreux a dire STOP !2 313 sur 3 000 SignaturesCréée par Collectif HATTEN DEMAIN A.
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Monsieur le Maire de la ville de Valenciennes : libérez-nous du tout-voiture !Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur Degallaix, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/65 sur 100 SignaturesCréée par Nicolas D.
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Nous voulons + de repas végétariensAujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site http://www.vegecantines.fr/ . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Pons ?41 sur 100 SignaturesCréée par Tatiana B.
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Saintes : Nous voulons + de repas végétariensAujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Proviseure du Lycée Bellevue - Nadia Patour, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Saintes? OUI, Saintes doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4111 sur 200 SignaturesCréée par Vanina B.
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RAREFACTION DU POISSON EN MEDITERRANEE - COMMENT L'ENRAYER ?Vous êtes certainement déjà parti en vacances en Méditerranée ou, tout simplement, vous habitez en bord de mer. Vous appréciez manger une dorade ou un loup au restaurant en famille ou après une partie de pêche entre copains. Vous avez certainement déjà regardé avec un masque et un tuba le fond marin, depuis le bord, sans y voir un quelconque poisson. Le constat est implacable: le poisson se raréfie en Méditerranée! Les poissonniers vendent aujourd'hui des poissons qui sont à peine de la taille règlementaire minimum (23 cm pour la dorade) et les pêcheurs de loisir reviennent souvent bredouille d'une pêche du bord. Pourtant, il existe une SOLUTION SIMPLE pour que les poissons reviennent en Méditerranée, du poisson fourrage au poisson prédateur tel que la dorade, la bonite, le loup, .... RAISON PRINCIPALE DE CETTE RAREFACTION Les poissons n'ont aucun endroit le long des côtes pour se réfugier, manger ou se reproduire librement. Vous verrez toujours un chalutier ou une barge pêcher près des côtes (voire jusqu'au bord) avec ses filets de plus de 100 mètres de long. Or, la chaîne alimentaire marine est issue à plus de 95% du littoral: la bordure de nos côtes est donc le lieu privilégié des alevins comme des adultes. C'est aussi le lieu où les poissons prédateurs viennent se nourrir, ou plutôt venaient ... LES PROFESSIONNELS Les professionnels sont les premiers à pleurer quant à la raréfaction des poissons en Méditerranée mais sont malheureusement aussi les premiers acteurs de cette raréfaction car ils cassent la chaîne alimentaire marine en prélevant, près du bord, sans distinction les poissons de tout type et de toute taille. Car même si les poissons non commercialisables du fait de leur petite taille ou de leur espèce non attractive sont rejetés à l'eau, la plupart d'entre eux meurent après leur pêche. Il arrive même, l'été, de voir des pêcheurs professionnels poser leurs filets jusqu'au bord (même dans les chenaux entre deux zones de baignade - Canet en Roussillon - été 2020). ET LA PECHE DE LOISIR, alors ? Les pêcheurs de loisir, pêcheurs occasionnels par définition, ne prélèvent que peu de poissons du milieu halieutique. Qui plus est, leur pêche est souvent bien plus sélective … quand ces pêcheurs ne font pas du no-kill. ET LES RESERVES MARINES, alors ? C'est une idée noble qui montre ses limites, simplement du fait de la petite superficie de ces réserves comparée ... celle de la présente proposition. ET LES REGLEMENTATIONS CIBLEES, alors? Il existe bien des réglementations actuelles visant à limiter, par exemple, par quota, la pêche au thon. Ces règlementations s'apparentent plus à la préservation des espèces menacées qu'à de la préservation de la quantité des espèces dans nos mers. LA PROPOSITION Tout d'abord, il ne faut pas empêcher les professionnels de faire leur métier car c'est leur vie. Et leur activité nous est utile. Par contre, il faut aussi protéger efficacement le bord de mer. Par conséquent, demandons aux pêcheurs professionnels de laisser libre de toute pêche industrielle la bande côtière des 300 mètres. MAIS POURQUOI CES 300 mètres ET QUE DIT LA REGLEMENTATION ACTUELLE (arrêté du 27 mars 1991)? En se référant à http://www.dirm.mediterranee.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/le_balisage_de_la_bande_littorale_des_300_metres.pdf la règlementation stipule, entre autres, que: - "Pour assurer la sécurité des usagers et notamment des baigneurs, l'autorité de police (mairie et/ou préfecture maritime) institue sur la bande littorale des 300 mètres des zones de protection généralement balisées conformément à l'arrêté du 27 mars 1991. il s'agit de balisage de police avec des bouées de forme spécifique." A noter que cette règlementation s'est aujourd'hui étendue aussi aux petites embarcations de loisir non motorisées (barque, canoë, paddle, ...). IL Y A URGENCE Il ne se passe pas une journée où les actualités nous informent que telle espèce a disparu, telle autre est en voie d'extinction. Et le milieu marin n'est pas épargné. Mais il n'est pas encore trop tard pour retrouver une faune marine riche et diversifiée! COMMENT FAIRE? Tout simplement en modifiant cette règlementation du 27 mars 1991 (datant de 30 ans déjà) par l'interdiction de la pêche côtière professionnelle dans la bande des 300 premiers mètres des côtes. Cette modification facile est, de plus, appropriée car elle ajouterait une sorte de réciprocité: - les baigneurs et petites embarcations n'ont pas le droit de franchir la zone des 300 premiers mètres. - et les embarcations professionnelles n'ont pas le droit de rentrer dans cette même zone. La sécurité des baigneurs et des embarcations de loisirs est ainsi renforcée. A noter que, concernant les bateaux à moteur de loisir, la règlementation actuelle est toujours applicable (zone de baignade protégée, ...). IL N'EST DONC PAS ENCORE TROP TARD POUR AGIR, MAIS DANS 10 ANS, IL LE SERA PEUT-ÊTRE!314 sur 400 SignaturesCréée par Pascal D.
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Préservons la colline de SauveterreSur les hauts de Sauveterre, il y a un plateau, où les habitants de la région viennent se promener et apprécier une vue quasiment à 360 degrés sur le Rhône, les châteaux de Châteauneuf du pape, Roquemaure ou encore Caderousse et le Mont Ventoux, les dentelles de Montmirail et même les Alpes. Alors, nous sommes là aujourd’hui pour empêcher que ce projet ne se fasse. Nous avons le bon sens de notre côté : détruire un espace naturel au nom de l’écologie ne tient pas debout. La transition écologique et les objectifs de la COP 21 ont un sens dans une politique de développement durable, mais c’est un prétexte à beaucoup de projets mal intentionnés. Pour ce qui est de la couverture au sol par des panneaux solaires, l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maitrise de l’Energie), a donné les recommandations pour le choix de l’emplacement des dites centrales. 3 cas de figures : BASOL (sites pollués), BASIAS (anciens sites industriels) et BD TOPO (parkings). Et bien notre jolie colline ne rentre dans aucun de ces 3 cas de figure ! Oui oui, vous lisez bien, la colline de Sauveterre n’est pas considérée comme un lieu recommandé par l’ADEME. Pire encore, le premier commissaire enquêteur, expert indépendant, dans son rapport sur le PLU (Plan Local d’Urbanisme) de Sauveterre a donné un avis défavorable au projet de centrale. Or, le maire de Sauveterre est passé outre cet avis. Et avec la crise actuelle et la fermeture des salles de sport, les espaces naturels sont des espaces de liberté et de détente si précieux. Pour qu’on puisse continuer d’en profiter, ainsi que les générations à venir, nous avons besoin de votre mobilisation à tous, habitants de Sauveterre de Roquemaure et des communes avoisinantes mais aussi vous les amoureux de la nature et de la justice. Vous pouvez contacter le Collectif « Préservons la colline » qui répondra à toutes vos questions ou accueillera votre mobilisation. Facebook : https://www.facebook.com/groups/3135560439845258 Mail : [email protected]100 sur 200 SignaturesCréée par Christophe C.
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