• 1 option végétarienne quotidienne dans notre lycée
    Deux fois trop de viande est consommée dans les cantines scolaires en France. Une aberration dangereuse pour la santé et dévastatrice pour la planète. Nous, élèves de Louis Pasteur à Lille, demandons l’instauration un voir deux menus végétariens obligatoires par semaine et de privilégier les produits de qualité, frais, locaux et bio ! En terme de gaz à effet de serre, 2 menus végétariens obligatoire par semaine, pendant une année, c’est l’équivalent de 1600 à 2160 aller retour Paris New York en moins. Soit 28 à 30 % de réduction des émissions liées à l’alimentation des cantines. Pourquoi faut-il agir maintenant ? Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Cher proviseur, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Un menu sans viande ni poisson ni poulet pour tou.te.s par semaine, ( si possible limiter les produits laitiers et les œufs ) - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. OUI, Pasteur doit être exemplaire. Notre restauration doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité.
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    Créée par Amandine D. Picture
  • "Lycée Saint Michel de Picpus : Initiative pour une option végétarienne à la cantine du lycée !"
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Saint Michel de Picpus, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE
    30 sur 100 Signatures
    Créée par Jeanne M.
  • Initiative pour une option végétarienne à la cantine du lycée Jacques Prévert
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Jacques Prévert, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE
    30 sur 100 Signatures
    Créée par Léo B.
  • Lycée Jacques Monod : Pour Une Option Végétarienne !
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée Jacques Monod, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Jacques Monod, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE
    46 sur 100 Signatures
    Créée par Ethan L.
  • Lycée Léonard de Vinci de Villefontaine: pour plus de végétarien au self
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation. C’est aussi un problème pour notre santé. Nous, élèves du lycée Léonard de Vinci, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat, et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : IPBES 2020 et FAO 2013 Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE
    29 sur 100 Signatures
    Créée par Martin M.
  • Lycée Renoir : Initiative pour une option végétarienne à la cantine du lycée !
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Renoir, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE
    28 sur 100 Signatures
    Créée par Eco-délégués du lycée
  • Sauvons le Bois des Coutures à Cléon !
    Fin août à Cléon, 2 hectares de forêt étaient rasés en quelques jours. Aujourd’hui dans le Bois des Brûlins, il ne reste plus trace des arbres cinquantenaires qui accueillaient les cabanes et les jeux des enfants, les balades du dimanche. La destruction du bois des Brûlins pourrait devenir le symbole des décisions politiques court-termistes qui ne peuvent plus être reproduites. Mais 13 hectares de forêt sont menacés un peu plus loin, dans le cadre du projet de ZAE des Coutures. Le 13 juillet 2017 déjà, dans l’enquête publique, la Préfète indiquait que « le projet nécessitera le déboisement de la quasi-totalité de la zone comprise dans un ensemble considéré comme un corridor écologique et constitutive d’habitats favorables pour des espèces de faune protégées ». La Métropole a déjà initié en 2020 la demande de dérogation pour détruire les espèces protégées présentes sur le site. Si rien n'est fait, nous pourrons dire adieu aux écureuils roux, hérissons d'Europe, aux chauve-souris, aux rossignols philomèle, ainsi qu'à la belle ancolie commune. Plus que jamais aujourd’hui, il faut stopper la destruction des espaces naturels et la bétonnisation, si nous voulons lutter contre le dérèglement climatique et préparer notre adaptation à ses impacts. Cet été, les éléments climatiques destructeurs se sont multipliés, jusqu’aux terribles inondations dans le Gard à la mi-septembre. Le rapport du GIEC publié en juillet est sans appel, c’est maintenant qu’il faut agir, y compris si cela veut dire revoir ou stopper des projets en cours. Plus tard, ce sera trop tard. L’arrêt de la bétonnisation, et la préservation de nos poumons verts, doivent être des priorités absolues pour répondre à l'urgence climatique, déclarée en décembre 2020 par la Métropole. Les nouveaux projets, l'aménagement du territoire, doivent être pensés désormais à la lumière de ce qui est bon pour notre santé, pour notre environnement et pour l'avenir de nos enfants. De nombreuses friches peuvent être utilisées pour accueillir de nouvelles activités ou des habitations. Utilisons l’espace dont nous disposons, construisons la ville sur la ville, et stoppons l’artificialisation. A Cléon, il est encore temps d’agir, sauvons le bois des Coutures !
    353 sur 400 Signatures
    Créée par Verts et Solidaires -.
  • Non au développement d’un aéroport dédié aux plus riches au cœur du vignoble de Saint-Emilion
    Pétition initiale : Il est urgent d’arrêter le projet de développement de l’aérodrome des Artigues de Lussac pour accueillir des jets privés : un non-sens social, économique et climatique ! La CALI (communauté d’agglomération du Libournais) et la communauté de communes du Grand Saint-Emilionnais ont pour projet d’acheter l’aérodrome des Artigues-de-Lussac, afin d’y développer un aéroport international réservé à “l’aviation d’affaires”, c’est-à-dire aux jets privés (1), ce pour desservir notamment les vignobles de Saint-Emilion. Plus de 6 millions d’euros d’argent public (2) doivent ainsi être investis pour faciliter les excès des plus riches au détriment de la santé des habitants du Libournais. Dites non à ce projet aberrant ! À l’heure où les politiques demandent aux citoyen·ne·s de faire des efforts pour réduire leur empreinte carbone, n’est-il pas intolérable de les voir soutenir l’essor des jets privés, qui émettent 10 fois plus de CO2 qu’un vol commercial (3) et 500 fois plus que le train (4) ? En 1h de vol ces avions émettent 2 tonnes de CO2, c'est-à-dire les émissions annuelles autorisées par personne dans un scénario permettant de respecter l’Accord de Paris ! Au lieu d’encourager un tourisme international réservé aux plus riches de la planète, ne devrions-nous pas plutôt soutenir le tourisme local ? À l’heure où les habitant·e·s apprécient le calme de ce secteur rural, il est inadmissible d’augmenter le trafic aérien de l’aéroport qui, de part ses nuisances sonores, va affecter la santé des populations survolées et des riverain·es de l’aéroport. Pour rappel, dans un avis datant de 2004, le Conseil supérieur d’hygiène publique de France estimait que le bruit des avions ou d’un aéronef constitue un problème de santé publique. De nouvelles études confirment qu’une exposition au bruit des avions crée un risque de mortalité plus élevé sur l’ensemble des maladies cardiovasculaires et affecte l’état de santé de manière générale (5). À l’heure de restrictions budgétaires dans les services publics et dans un territoire marqué par la précarité, n’est-il pas choquant de faire cadeau de 6 millions d’euros d’argent public aux plus riches pour qu’ils puissent voler au-dessus de nos têtes en jets privés ? À l’heure où la biodiversité s’effondre, il est urgent de stopper toute nouvelle artificialisation des sols. Cet aérodrome étant déjà implanté, pourquoi ne pas le transformer en une zone d’activité économique vertueuse et compatible avec les enjeux climatiques ? Les besoins dans les métiers de la transition ne manquent pas ! Nous demandons : - L’abandon pur et simple du projet de développement de l’aérodrome des Artigues de Lussac - La fermeture de l’aérodrome actuel et à sa place, le développement d’une zone d’activité dédiée à la transition pour des emplois d’avenir et de qualité. A l’heure de l’urgence climatique et alors qu’il reste beaucoup à faire pour développer des projets viables économiquement, socialement et environnementalement, nous ne laisserons pas des intérêts privés nous voler notre avenir et notre santé. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon du projet et mettre fin à cette dérive climatique ! Rejoignez-nous sur Facebook pour suivre les actualités de la lutte : https://www.facebook.com/Non-%C3%A0-la%C3%A9roport-du-Saint-Emilionnais-105670285231096 Soutiens : Extinction Rebellion Nouvelle-Aquitaine, ANV-COP 21 Gironde, Il est encore temps - Bordeaux, Youth For Climate Bordeaux Sources : (1) “La rentrée de la CALI”, Le résistant 12/09/2021 (2) Article de Sud Ouest, 07/07/2021 (3) Empreinte carbone des jets privés https://ouvaton.link/Sv6s8v (4) L'avion émet 50 fois plus de CO2 que le TGV https://bonpote.com/le-match-co2-train-vs-avion/ (5) Bruit avions https://ouvaton.link/ILZnKL
    7 325 sur 8 000 Signatures
    Créée par Les Braises .. Picture
  • STOP AU BETON - NON à l'urbanisation de 12 ha de surfaces agricoles et naturelles à HEM
    Un projet d’envergure dit « la Tribonnerie 2 » est envisagé (finalisation des études automne 2021) sur les terres cultivées de la Tribonnerie entre la rue de la Tribonnerie, la rue du Général Leclerc et la voie rapide (M6d). Il est prévu la construction de 250 à 300 logements ! Un projet sur près de 12 hectares de terres cultivées et naturelles et qui impactera en réalité plus de 20 hectares. Un projet qui - supprimerait des terres cultivées et naturelles de manière irréversible ; - impacterait la biodiversité du territoire ; - amènerait près de 600 voitures supplémentaires sur des axes déjà saturés (22 000 voitures par jour sur la voie rapide) ; - augmenterait la pollution de l'air déjà largement au-dessus de la valeur limite réglementaire (les particules PM 2,5 sont au double de la valeur et les PM 10 les dépasse largement) ; - élèverait les risques d’inondation (suppression de prairies potentiellement humides, suppression d’une zone tampon à proximité de la Marque) ; - mettrait en tension les services publics et privés (écoles, absence de transports en commun adaptés et dimensionnés, équipements…). Alors même, que la loi climat a été votée le 4 mai 2021 et dont l’objectif est de diviser par 2 le rythme d’artificialisation des sols notant que la biodiversité, le réchauffement climatique, le cycle de l’eau et les terres jouent un rôle crucial pour la planète. Alors même que le SCoT (schéma de cohérence territoriale) de l’arrondissement de Lille a pour objectif de réduire la consommation d’espaces agricoles et naturels. Alors même que le PLU 2 (Plan local d’urbanisme) de la MEL adopté le 12 décembre 2019 rappelle les objectifs d’ « utilisation économe des espaces naturels, la préservation des espaces affectés aux activités agricoles et forestières et la protection des sites, des milieux et paysages naturels » Pour rappel, la MEL bénéficie d'un des plus faibles taux d'espace naturel national soit environ 15% de son territoire. Ce projet va donc à l’encontre de toutes ces orientations et objectifs. Il est à contre sens des enjeux actuels ! « L'artificialisation des sols est aujourd'hui l'une des causes premières du changement climatique et de l'érosion de la biodiversité », dit le ministère de la Transition écologique. La transformation d'un espace naturel en sol artificialisé modifie, voire détruit, l'habitat des espèces animales ou végétales. Un sol artificialisé n'absorbe plus de CO2 et participe donc à la hausse des températures. Il perd également sa capacité à absorber l'eau de pluie, multipliant ainsi les risques d'inondations. Sur le plan agricole, l'artificialisation des sols limite la production alimentaire. Enfin, afin d'être accessibles et fonctionnels, ces terrains nécessitent quantité d'entretien et d'efforts d'aménagement, comme la construction de nouvelles routes. L’argument principal de la commune de Hem et de la MEL est de pouvoir répondre à une demande de logements, notamment les logements sociaux. Il existe sur la MEL de nombreux espaces (friches industrielles, friches commerciales, entrepôts…) encore non exploités, à valoriser et sur lesquels des nouvelles constructions ne supprimeraient pas d’espaces agricoles et naturels. Ces zones doivent être priorisées. La planification doit se faire aussi de façon régionale ! Pendant que la Métropole Européenne de Lille attire les entreprises, les commerces et l’activité ; les villes moyennes aux alentours sont parfois à la peine (perte ou stabilisation de la population, manque de dynamisme du marché de l’emploi et des commerces…). La MEL n’a pas vocation à devenir une région à elle seule ! Un autre projet est possible, répondant aux enjeux actuels et à l’urgence écologique, avec la création d’un grand espace naturel composé de forêts, de prairie et d’un espace de promenade (piétons et vélos), de biodiversité, d’agriculture locale type maraichage bio, qui préserverait les zones humides et la biodiversité, qui laisserait mieux respirer les habitants et proposerait une alimentation saine et locale. Le PLU 2 doit être modifié ; la zone concernée AUDM (urbanisation différée) doit être requalifiée en zone naturelle (NP). Pour faire entendre votre VOIX, signez cette pétition. Partagez là ! Rejoignez le collectif citoyen «la Tribonnerie autrement» : [email protected] https://www.facebook.com/latribonnerieautrement
    244 sur 300 Signatures
    Créée par La Tribonnerie Autrement
  • Non à l'Ecoparc du Genevois, sauvons les terres agricoles
    Le Projet « d’éco parc » du Genevois: 25 hectares de terres agricoles condamnées alors que Saint Julien a déjà perdu 73% de ses surfaces labourables en 10 ans. (source: chambre agriculture, Etude d’impact P122) 25 hectares qui disparaissent pour que s’installent des entreprises ou des commerces aux emplois précaires. Un coût d’aménagement de 11,7 millions d’euros qui sera supporté par les contribuables. Des conséquences désastreuses: La mort de 25hectares de terres agricoles broyées sous le béton alors que nous pourrions y produire une nourriture locale pour répondre aux défis de la souveraineté alimentaire et d’une nourriture de qualité pour tous, en mettant en place des jardins partagés et/ou un pôle agricole de proximité. Une menace de plus pour les commerces et la vie du centre ville de Saint Julien déjà en difficulté. La destruction d’un territoire de bocage repère de biodiversité aux portes de Saint Julien alors que l’urbanisation a déjà détruit des nombreux espaces naturels ces dernières années « L’éco parc », n’a donc d’écologique que le nom. Alors pour la biodiversité, pour un centre ville dynamique, pour produire une nourriture de qualité : refusons ce projet!
    201 sur 300 Signatures
    Créée par Emilie W.
  • Non à l'autoroute aérienne de Pressagny L'Orgueilleux !
    Pressagny L'Orgueilleux et ses alentours, c'est un très joli cadre, la seine d'un côté, la forêt de l'autre, et des oiseaux qui chantent. Oui, mais c'est aussi une autoroute d'avions légers, des dizaines de passages par jour dès qu'il fait beau, même pendant le confinement, émettant de longs vrombissements que ni les murs, ni les fenêtres/portes n'arrêtent. Des vibrations détectables et gênants alors même que l'avion est à plusieurs kilomètres. Un bruit énervant de plusieurs dizaines de secondes à plusieurs minutes par passage. Parfois, le même avion va, vient, revient, encore et encore, telle une mouche qui vous tourne autour. MOBILISONS NOUS POUR RÉDUIRE CETTE POLLUTION !!! MERCI POUR VOTRE CONTRIBUTION
    287 sur 300 Signatures
    Créée par Pascal D.
  • Des arbres et une coulée verte à Saint-Mandé
    On pense aujourd’hui à demain. On plante aujourd’hui pour demain. A défaut de pouvoir éviter le choc du réchauffement climatique, on voudrait pouvoir l’amortir. Et vivre dès maintenant dans des villes plus accueillantes, plus conviviales, et plus résilientes.
    2 843 sur 3 000 Signatures
    Créée par Des arbres dans nos rues